La mentalité ukrainienne va modifier notre pays en profondeur

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Carla Montet: Actuellement, il y a environ 6 millions de réfugiés qui ont quitté l'Ukraine, et bientôt ils seront 10 millions.

En Suisse, 47’461 réfugiés ukrainiens avaient été enregistrés le 7 mai 2022.

Nous avons déjà expérimenté avec les réfugiés de Yougoslavie ce que signifie une immigration de masse venant d'une autre culture, et nous savons que cela va apporter des changements de mentalité en profondeur, qu'on le veille ou non.

À l'heure où la bienpensance nous gave avec l'idéologie de l'interchangeabilité des peuples, des races, des genres, des cultures, nous nous interrogeons sur l'avenir qui se dessine devant nous.

Zelensky et son équipe participent à une guerre par procuration au profit des intérêts américains, et qu'il joue sa survie ou qu'il y trouve son compte, peu importe, il ne demande qu'une chose, c'est d'avoir plus d'armes, plus meurtrières, pour continuer à s'entre-massacrer avec la Russie, comme si les destructions actuelles ne suffisaient pas, comme si la perte de souveraineté actuelle de l'Ukraine au profit de puissances étrangère était pire que de négocier avec la Russie.

Au-delà du discours sur le "héros Zelensky qui se bat pour l'indépendance de sa patrie", tout le monde sait qu'il ne peut même pas se permettre de commencer les négociations de cessez-le-feu avec Moscou sans l'autorisation du gouvernement Biden.
Notons que la fortune de Zelensky, placée dans les paradis fiscaux, est évaluée à 80 millions de dollars. Corrompu jusqu'à la moelle, il accepte ce que les États-Unis lui dictent, c'est-à-dire nuire à la Russie par tous les moyens possibles.

L'histoire jugera très sévèrement ce dirigeant si utile aux USA; il figurera au panthéon parmi les Caligula, Pol Pot, Allende, Ceausescu... et les pires dirigeants que l'humanité ait connus, en termes de nuisance envers leur propre peuple.

L'Ukraine est rongée par la corruption et la pauvreté, et la guerre a amené en plus une crise démographique, une crise de l'énergie, le pays est bientôt privé de son accès à la mer, ses infrastructures sont détruites; on peut dire que l'Ukraine a mal joué toutes les cartes qu'elle a reçues après la chute de l'URSS. Et malgré les déclarations théâtrales de Zelensky, affirmant que l'Ukraine ne cédera aucun territoire, tout le monde sait que ni la Crimée, ni le Donbass, ni la Transnistrie ne lui reviendront plus.

On ne peut pas nier que la mentalité ukrainienne est pour quelque chose dans ce désastre. Ce  pays, si riche en terres, en ressources naturelles, en ressources humaines, en scientifiques, se retrouve dominé par une corruption endémique. L'immoralité et la pauvreté sont telles que des femmes louent leur ventre aux stars de Hollywood qui ne veulent pas s'encombrer avec une grossesse.

Bien entendu, il y a aussi beaucoup de personnes honnêtes, valeureuses, éduquées dans ce pays, et chaque peuple a ses défauts et ses qualités – sans cela, les pays seraient interchangeables et privés de leurs particularités. Nous n'en sommes pas là, même si certaines élites du monde occidental travaillent assidûment dans ce sens en prônant la dilution des nations par l'immigration de masse.

La Corée du Sud n'est pas le Niger, la Suède n'est pas la Hongrie et il existe bel et bien une mentalité propre à chaque peuple. Le Cambodge a été détruit par une poignée de petits minets gauchistes parce que la mentalité khmère était impuissante face à cette minorité fanatisée.
En Suisse, les Pastèques ambitieux, diplômés en SSP ou en Lettres, ont pu mobiliser toute la jeunesse pour les enflammer avec leur bobard climatique et imposer leurs dogmes mensongers, parce que la mentalité suisse le permettait.

Une question lancinante vient à l'esprit: Est-ce que l'Ukraine est victime de l'invasion russe, de l'instrumentalisation par les États-Unis, ou sa propre mentalité y est-elle aussi pour quelque chose ?

Au début de la guerre en Ukraine, beaucoup de gens ont adhéré au discours officiel affirmant que "la Russie vient d'agresser un pays souverain", et que Moscou mène cette guerre pour conquérir des territoires, et, accessoirement, chasser la présence militaire menaçante de l'OTAN.

Nous ignorions, avant le 24 février 2022, à quel point l'Ukraine était déjà infiltrée par l'OTAN, même avant le putsch de Maïdan. L'organisation transatlantique a formé et équipé l'armée ukrainienne et ses milices de nazillons pour les utiliser contre la Russie.
Nous ignorions également la présence des laboratoires top-secrets installés par les USA et d'autres pays occidentaux pour y mener des travaux sur des armes bactériologiques et chimiques, en totale infraction aux lois internationales.

Lorsque nous avons réalisé à quel point la Russie n'avait pas eu d'autre choix que de débuter la guerre, la crédibilité de l'OTAN et celle de nos journalistes subventionnés ont volé en éclats. Ces derniers continuent sans relâche de saturer les Occidentaux avec leur narratif mensonger, qui sonne de plus en plus comme un chant du cygne.

Face à ces discours monochromes qui annoncent la victoire de l'Ukraine, face aux nouvelles qui accusent la Russie, d'autres témoignages nous sont parvenus, dénonçant des tortures, exactions, assassinats et humiliations commis par des milices ukrainiennes. Ces informations convergentes nous ont convaincu que la guerre menée par la Russie est une guerre explicable. En effet, pour la Russie, l'enjeu était de sauver la population du Donbass, de mettre fin aux exactions des néo-nazis et d'écarter le danger créé par l'OTAN.

Initialement, nous avons été surpris que Poutine et son staff aient déclenché cette guerre, risquant la vie de leurs soldats, et aient été prêts à se mettre tout l'Occident à dos et à subir des sanctions économiques (même si personne ne pouvait imaginer que l'Europe accepterait de se faire hara-kiri dans une surenchère de sanctions).
Nous n'aurions pas pu imaginer que l'Occident, qui fait la morale à la planète entière au nom du droit international, serait capable de balayer d'un revers de main tout ce qu'il avait proclamé jusque-là comme juste, moral et légal, pour faire exactement le contraire. À savoir:

- sacrifier l'Ukraine (et l'Europe) pour nuire à la Russie,

- détruire le droit de propriété avec des confiscations arbitraires,

- faire alliance avec des néo-nazis sadiques, les armer,

- pratiquer un racisme culturel et sportif envers le peuple russe,

- que les pays protégés par leur statut de neutralité se rangent du côté des USA,

- que la Gauche occidentale, antimilitariste, puisse pousser les gouvernements à armer davantage l'Ukraine, en poussant celle-ci à refuser toute négociation pour arrêter les combats – sans compter que cette Gauche réclame encore plus de sanctions qui nous nuisent,

- que nos médias et les reporters sur place puissent à ce point diffuser la propagande anti-russe sans nuance, et qu'une nouvelle vérité incontestable soit mise en place, à savoir la culpabilité unilatérale de la Russie dans cette guerre.

- que les chaînes d'information venant de Russie puissent être bloquées pour éviter que la population n'accède à des informations alternatives.

 

Le discours des médias suisses, depuis le début de la guerre en Ukraine, porte unilatéralement sur des crimes attribués sommairement aux soldats russes uniquement viols, exécutions de civils, bombardement d'hôpitaux, de crèches, etc.
Les Romands ont des reporters de guerre sur place, comme Maurine Mercier pour la RTS, qui renforcent régulièrement le narratif sur les Russes violeurs, massacrant des civils. Maurine Mercier affirme que ce sont les Russes qui sont responsables du massacre de Boutcha, comme de toutes les autres exactions sur les civils, il n'y a même plus besoin d'enquête pour le savoir.
Ce type de journalistes acquiert ses convictions en prenant ses renseignements exclusivement du "bon côté", c'est à dire via les guides du pouvoir ukrainien, qui leur expliquent ce qu'il faut dire dans leurs reportages.

Les témoignages de réfugiés ukrainiens en Suisse, recueillis par nos médias, vont également tous dans le bon sens: nous n'avons rien entendu d'autre de leur bouche que le renforcement de la propagande qui sert le camp de Zelensky.

Mais grâce à des sources alternatives, des sources russes, mais aussi de Subcarpatie, région d'Ukraine où habitent des minorités magyarophones, nous avons appris des choses qui nous avaient été cachées par ceux qui dominent l'information: la répression des minorités linguistiques, des tortures, viols, pillages, assassinats dissimulés en "disparitions", perpétrés par diverses milices nazies, qui ont sévi en Ukraine durant les huit dernières années.
Orban avait bien dit, lors de l'invasion musulmane en 2015, alors que la Hongrie était vilipendée parce qu'elle refusait d'accueillir des migrants, que lorsque des réfugiés partiraient d'Ukraine à cause de la guerre, ce serait pire et majoritairement à nos frais.
Nous comprenons maintenant le sens de ses paroles.

 

Ci-dessous, des vidéos que nous avions renoncé à publier fin février, car elles étaient censurées les unes après les autres, tout comme les témoignages de tortures et d'assassinats par les nazis ukrainiens.

La vidéo ci-dessous, "Nouvelle normalité en Ukraine", est encore disponible sur YouTube. Elle est très parlante sur la mentalité du pékin moyen en Ukraine, qui filme ou photographie ces tortures publiques, alors que le réflexe normal serait de détacher ces personnes.

 

Attention, images choquantes : Un soldat russe mort retrouvé gelé et enchaîné à un poteau
Publié le 13 mars 2022

Documenter la réalité - Les forces ukrainiennes ont trouvé un soldat russe mort enchaîné à un poteau avec un lance-roquettes anti-char, peut-être pour l'empêcher de déserter. En conséquence, il est mort de froid.

https://www.youtube.com/watch?v=dUPEQJ_hsKc

https://nypost.com/wp-content/uploads/sites/2/2022/02/Screenshot_20220301-004648_Telegram-1.jpg?quality=90&strip=all

La température était bien au-dessous de 0°C – un homme accusé de collaboration avec les Russes attaché à un poteau, dénudé.

 

Ukraine

Dans toute l’Ukraine, des personnes attachées à des poteaux pour "pillage"
20 mars 2022 Hueman
Diverses vidéos et photos de personnes en Ukraine attachées à des poteaux dans la rue. Ces personnes ont été accusées d'avoir volé ou pillé alors que le pays est en guerre et vulnérable. Aussi barbare qu'elle soit, cette pratique semble être très répandue.

 

 

La "justice" est réduite à ça dans l’État failli appelé autrefois Ukraine:

source et autres vidéos similaires: https://www.thelibertybeacon.com/what-on-earth-is-happening-in-ukraine-mob-rule-societal-breakdown/

What On Earth Is Happening in Ukraine – Mob Rule? Societal Breakdown?

Tortures en Ukraine. Interview avec Laurent Brayard. 05.05.2022. (Stratpol 3:25)

suite sur Rumble et Odysee :
Telegram : https://t.me/stratpol ,
Odysee : https://odysee.com/@STRATPOL
Rumble :
https://rumble.com/user/Stratpol

 

Bulletin N°83. Mission humanitaire dans le Donbass. 05/12/2022 (version courte 14:22)

https://www.youtube.com/watch?v=6vZq7Gyeobg

voir aussi:

https://lesobservateurs.ch/2022/05/04/ukrainiens-rentrez-chez-vous-vous-avez-deja-detruit-votre-pays-vous-nallez-pas-detruire-aussi-la-hongrie/

https://lesobservateurs.ch/2022/04/04/probablement-la-grande-majorite-des-refugies-dukraine-ne-voudront-pas-retourner-dans-leur-pays/

 

5 commentaires

  1. Posté par maury le

    https://www.bvoltaire.fr/guerre-en-ukraine-lopinion-publique-italienne-serait-elle-en-train-devoluer/
    Sur la guerre en Ukraine, les analyses les plus réalistes viendraient-elles d’Italie ? Depuis quelque temps, si la condamnation de l’invasion russe reste unanime, si les efforts humanitaires en direction des Ukrainiens n’ont pas faibli, quelques voix critiques et réalistes s’élèvent, en Italie, contre une guerre qui s’enlise et dont on réalise, mais un peu tard, que les conséquences pour l’Europe vont être dévastatrices.

    C’est d’abord le général Leonardo Tricarico, ex-chef d’état-major de l’armée de l’air, qui met en garde, depuis plusieurs semaines, contre l’attitude inconsidérée des va-t-en-guerre de tout poil. Ainsi a-t-il déclaré, au micro de Radio Radio, le 28 avril dernier : « En ce moment, tous les pays de l’OTAN trahissent l’esprit du traité de l’Atlantique Nord, car s’ils ont la patience de se pencher sur l’article 1, il est écrit que tout le monde s’engage à régler pacifiquement les différends qui pourraient les affecter : vous pensez que quelqu’un essaie de le faire ? » Et de poursuivre : « Je crois que nous avons tous perdu la lumière de la raison […] je ne vois plus de sagesse, je ne vois plus de focalisation sur les intérêts nationaux, je ne vois plus une miette de realpolitik. […] Aujourd’hui, invoquer l’esprit du traité de l’Atlantique Nord, c’est faire en sorte que tout cela s’arrête. »

    Déclarations renforcées par celles du général Marco Bertolini, ancien chef du commandement opérationnel des dirigeants interarmes et ancien patron de la légendaire Brigata Folgore, la brigade parachutiste des forces spéciales italiennes, cité dans le blog Strategika : « Jusqu’à présent, la Russie n’a pas frappé un pays de l’OTAN, puisque l’Ukraine n’est pas membre de l’Alliance, et même l’évocation d’une telle possibilité ne fait qu’envenimer les esprits et réduire les possibilités de réconciliation, que je considère comme indispensables. Je répète : “indispensables”. »

    Alors, lorsque le général Tricarico a entendu les récentes déclarations de Jens Stoltenberg, secrétaire général de l’OTAN, au journal Welt am Sonntag, son sang n’a fait qu’un tour. Cette déclaration : « Kiev a un besoin urgent d’armes plus lourdes, il faut intensifier les livraisons, faire plus et se préparer à un engagement à long terme », car « c’est la seule façon pour les Ukrainiens de repousser avec succès l’invasion russe. Le pays doit être préparé à une longue guerre avec Moscou qui pourrait durer des mois, voire des années » (sources fanpage.it).

    Dans les colonnes d’Il Tempo, le général tonne : « Qui l’a autorisé à dire cela ? Toutes les règles sont en train de sauter… Stoltenberg est le ventriloque des États-Unis. » Même intonation du général dans le quotidien Libero en date du 9 mai : « Stoltenberg ne peut pas parler au nom de Zelensky. Il est secrétaire général de l’OTAN, qui est une organisation supranationale et ne pourrait donc déjà pas parler au nom de pays individuels. Il y a ici le petit détail que l’Ukraine ne fait pas partie de l’OTAN. Ce n’est pas Stoltenberg qui peut imposer les conditions. […] Depuis le début de la guerre, les deux vrais concurrents ne sont pas Poutine et Zelensky mais Poutine et Biden. […] Ce n’est pas la première fois que Zelensky montre qu’il veut ouvrir à d’éventuelles médiations, mais il est toujours freiné – ajoute-t-il – par l’OTAN et les USA plus que par l’Europe. L’Europe a disparu, sa voix n’émerge jamais que pour confirmer ce que dit l’OTAN. Et l’OTAN dit ce que disent les États-Unis. »

    Un constat amer, effaré et lucide, d’autant plus étonnant que l’Italie est, historiquement, un pays « atlantiste ». L’opinion publique italienne serait-elle en train de se retourner ou, tout au moins, de décélérer, à la perspective de la gigantesque crise énergétique et économique qui se profile, en conséquence des sanctions imposées à la Russie ?

    Plus surprenante encore est, en effet, l’interview au Corriere della Sera de Carlo De Benedetti, figure historique et très écoutée du capitalisme de gauche transalpin. Celui-ci n’a pas de mots assez durs contre la façon dont l’Union européenne mène cette guerre : « Mais les intérêts des États-Unis d’Amérique et du Royaume-Uni d’une part, et de l’Europe et en particulier de l’Italie d’autre part, divergent absolument. Si Biden veut faire la guerre à la Russie à travers l’Ukraine, c’est son affaire. Nous ne pouvons pas et nous ne devons pas le suivre. […] Mais l’Europe a un intérêt commun : arrêter la guerre, au lieu de l’alimenter. Si les USA veulent utiliser l’Ukraine pour faire tomber Poutine, qu’ils le fassent. Si les Russes veulent Poutine, qu’ils le gardent. Quel rapport avec nous ? »

    Évoquant les conséquences de cette guerre sur les mouvements migratoires qui, selon lui, iront s’intensifiant de manière exponentielle en raison des famines, il conclut sèchement : « Nous, par exemple, n’avons pas les mêmes intérêts que les pays baltes : ils craignent les Russes ; nous, la faim et l’immigration. » Les voix – et voies – de la raison commencent à se faire entendre de part et d’autre des Alpes. Seront-elles entendues au palais de l’Élysée

  2. Posté par antoine le

     »Nous ignorions, avant le 24 février 2022, à quel point l’Ukraine était déjà infiltrée par l’OTAN … »
    Depuis l’invasion de la Crimée par la Russie en 2014, presque tous les merdias de la bienpensance ont  »oublié » de nous informer sur la situation qui se dégradait inéluctablement en Ukraine.
    – Non respect des accords de paix.
    – Meurtres, assassinats au Donbas
    – Corruption à tous les niveaux
    – Présence de la CIA pour la formation de l’armée ukrainienne
    – Installation High-Tech des laboratoires de recherches (virus, microbes, etc …)
    – Activités très louches de Hunter Bidon fils du président !!
    – etc …
    Tout cela ne mérite PAS qu’on paie une redevance TV soit disant pour des programme de qualité (dixit M. G. Marchand).
    – L’Eurovivion est polluée par la politique, c’est décevant et très désagréable !
    La Russie n’a pas à envahir ses voisins ! Mais une partie d’échec géopolitique est en train d’être jouée … les cartes sont rebattues … il y aura beaucoup (trop) de PERDANTS en Europe.
    M. Bidon le sénile, manipulé par Obama, pourra encore manger des glaces et chercher sa maman …

  3. Posté par UnOurs le

    Et apparemment, ce valeureux défenseur des valeurs occidentales, comme diraient certainement nos journalistes de la RSR, a déjà de forts liens avec la Suisse (il y a une vidéo le montrant s’entraîner devant un drapeau suisse) :

    https://twitter.com/ILRUSSO1/status/1513857251295047680

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