Zurich : vol et viol dans un train par des requérants d’asile nord-africains

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Un homme de 23 ans viole une femme travaillant sur son ordinateur portable dans un wagon-restaurant CFF vide : 68 mois de prison

Un requérant d'asile marocain débouté ayant des antécédents judiciaires pertinents a comparu devant le tribunal de district de Zurich pour viol. Les faits se sont déroulés au début du premier confinement.

C'est sans doute l'exemple type d'une affaire criminelle qui pourrait être exploitée à des fins populistes (sic) si on le voulait : trois requérants d'asile (sic) nord-africains volent une Suissesse de 50 ans lors d'un voyage en train dans un wagon-restaurant des CFF. L'un des agresseurs viole également la victime.

Lorsque le téléphone portable volé est retrouvé plus tard au domicile d'un des requérants, les suspects sont retrouvés. Un des principaux suspects est arrêté huit mois après le crime. Au tribunal, il n'avoue pas et ne fait aucune déclaration.

C'était le 20 mars 2020, vers 22h15 : une dame d'une cinquantaine d'années, qui occupe un poste professionnel élevé, travaillait sur son ordinateur portable dans le wagon-restaurant d'un train en marche. Elle était légèrement alcoolisée. C'était au début du premier confinement de la pandémie naissante. Dans le wagon-restaurant, il n'y avait ni personnel, ni autres clients.

Environ 10 minutes avant que le train n'entre dans la gare centrale de Zurich, un jeune homme s'est soudainement assis à la table de la femme et lui a demandé pourquoi il ne pouvait pas commander quelque chose à boire ici. Au même moment, la femme a été surprise par derrière par un deuxième homme qui l'aurait embrassée brusquement sur la bouche.

La femme a été surprise et s'est levée par réflexe. Selon l'acte d'accusation, un troisième homme lui a poussé la tête vers le bas à ce moment-là et lui a volé une chaîne en or d'une valeur de 2000 francs qu'elle portait autour du cou. Un des hommes aurait ensuite baissé le pantalon de la femme et l'aurait violée par derrière, debout, pendant quelques secondes, sans préservatif.

Outre le collier, les agresseurs ont également volé le téléphone portable, l'ordinateur portable et le portemonnaie de la victime. Il n'y avait pas de caméras de surveillance dans le wagon. Cependant, les trois hommes ont été filmés à leur sortie du train sur le quai de la gare de Zurich. Dans un premier temps, la femme s'est d'abord abstenue de porter plainte.

Le Marocain, aujourd'hui âgé de 23 ans, a été arrêté en novembre 2020. Une procédure pour mineurs est en cours contre ses deux complices présumés - deux demandeurs d'asile algériens qui n'avaient que 16 et 17 ans au moment du crime. L'un n'a pas pu être localisé et est en fuite, l'autre sera jugé par un tribunal des mineurs non public. Devant le tribunal de district de Zurich, le principal accusé se contente de dire en arabe, traduit par l'interprète, "Je n'ai pas fait ça." Il ne savait rien et n'a rien vu. Il refuse de répondre à toute question.

Le procureur demande une peine de prison de 66 mois pour viol et vol et une interdiction de séjour pendant 13 ans. L'homme a déjà été condamné à plusieurs reprises. La peine zurichoise doit être prononcée en complément d'une peine de 18 mois de prison prononcée dans le canton de Neuchâtel en novembre 2020 pour vol commercial et autres infractions. Une condamnation antérieure pertinente en France, où le Marocain a été condamné pour viol, revêt une importance particulière.

Lors de son premier interrogatoire, l'homme avait reconnu avoir eu des rapports sexuels avec une dame âgée dans le train. Toutefois, il s'agissait d’après lui d'un rapport consenti. La femme, qu’il ne connaissait pas, lui avait demandé d'avoir des relations sexuelles. Puis l'accusé a gardé le silence pendant la suite de l'enquête.

La victime n'a pas été en mesure d'identifier l'auteur des faits et, selon le procureur, elle a d'abord désigné comme auteur un tiers non impliqué, contre lequel la procédure pénale a dû être abandonnée. Toutefois, cela n'importe pas étant donné les déclarations antérieures de l'accusé. La femme avait été prise par surprise et ne pouvait pas dire qui avait fait quoi.

De plus, la victime a eu beaucoup de mal à parler de l'incident pendant l'enquête, elle a été gravement traumatisée et a dû suivre un traitement psychiatrique. La femme, qui souhaite mettre un terme à l'affaire rapidement, a également renoncé à son droit de se constituer partie civile.

L'avocat de la défense demande l'acquittement et soutient que sa cliente a fait une erreur d'identité. Les déclarations faites lors de l'interrogatoire de garde à vue ne correspondent pas à la vérité, selon lui. Le motif de ces fausses déclarations ne lui paraît toutefois pas clair. […] Le crime n'a probablement été commis que par deux hommes, et son client n'était même pas présent dans le wagon-restaurant. […]

Le tribunal condamne néanmoins l'accusé conformément à l'acte d'accusation et lui inflige une peine de 68 mois, en plus des 18 mois du jugement neuchâtelois. Une interdiction d'entrer dans le pays pendant 13 ans est également prononcée. Les juges estiment les déclarations de la victime "absolument convaincantes et véridiques". A la question de savoir si l'accusé avait menti lors de son premier interrogatoire, le tribunal répond clairement par la négative. L'homme avait donné des informations très détaillées sur le déroulement des faits au cours de nombreuses questions et de nombreux interrogatoires. […] Le fait que la victime n'ait pas pu attribuer le viol à une personne précise est compréhensible voire évident. La dame travaillait sur son portable et avait été complètement prise au dépourvu. Les agresseurs ont également profité de sa légèrealcoolissation. […] Comme elle a été complètement surprise et que les agresseurs étaient plus nombreux qu'elle, elle ne pouvait pas se défendre. […]

Source en allemand : NZZ 17.11.2021 (abonnés) / en anglais : Medforth

Traduction Albert Coroz

7 commentaires

  1. Posté par Pépé Le Moko le

    Très majoritairement les suissesses sont a fond pour une immigration sans limite, donc j’ai de la peine a m’apitoyer sur leur sort, le summum étant les politiciennes suisses majoritairement socialo ou vertes, qu’elles dégustent maintenant le fruit de leur amour pour leurs allogènes chéris !

  2. Posté par Niak le

    Allez parler de diversité à la victime, peut-être aura-t-elle changé d’avis, quoique la mode est de victimiser les auteurs. 68 mois de prison avec sursis ? Ils doivent dégager du territoire c’est tout.

  3. Posté par miranda le

    Il est très dommage qu’un spray avec un produit « endormissant », n’existe pas pour la protection des femmes par ces temps d’immigration sauvage. Mr SOROS ferait oeuvre d’humanité en offrant ce petit cadeau aux milliers de femmes susceptibles d’être confrontées à cette lâche barbarie.
    Sinon, nous femmes serons contraintes de porter plainte pour immigration mal organisée, mal contrôlée, mal sélectionnée, ayant une incidence dramatique sur nos vies. Car il semble que ce ne sont pas que des travailleurs qui souhaitent entrer en Europe, mais aussi plusieurs catégories de voyous.
    Il suffisait (si besoin est de faire venir des « travailleurs »), de créer des HOT SPOTS de sélection en Afrique et au Maghreb. Cela ne s’est pas fait et mérite que l’on porte plainte devant les tribunaux. De très bons juristes sauront gérer le problème.

  4. Posté par bonardo le

    Expulsion faux réfugiés .
    Il faut stopper ces criminels ,si non le peuple va se révolter !

  5. Posté par Sonny Walker le

    Cela empire de jour en jour; mais comment pourrait-il en etre autrement avec toutes nos raclures criminelles de la gauche-bobo-ecolo qu on devrait assigner dans un bagne ?

  6. Posté par monde-tombé-sur-la-tête le

    68 mois de prison ou?
    Que fait encore cette raclure sur notre sol?

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