Macron : Etat d’urgence et coup d’Etat permanent – Régis de Castelnau dans Le Samedi Politique

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Macron : Etat d’urgence et coup d’Etat permanent – Régis de Castelnau dans Le Samedi Politique

Depuis près de deux ans, l’Etat sous la présidence d’Emmanuel Macron a tous les pouvoirs ou presque. L’Etat de droit est devenu un Etat qui a tous les droits, à commencer par celui de ne plus les respecter. Etat d’urgence permanent, pass-sanitaire, séparation des pouvoirs aux oubliettes, électoralisme qui frise avec le clientélisme… La tolérance de nos institutions est-elle au bout du rouleau ? Avons-nous déjà enterré les contre-pouvoirs ?

Avec le vote du texte de « Vigilance » sanitaire, la démonstration est faite que le torrent de députés LREM des législatives a conféré tous les pouvoirs à Emmanuel Macron. Le Sénat a été relégué à un rôle d’opposition sans pouvoir. Du côté du Conseil d’Etat et du Conseil constitutionnel, on oscille entre pantouflage et camaraderie politique. Les médias n’interrogent plus les méthodes autoritaires devenues ordinaires. Une situation qui, à l’aube de la présidentielle, a de quoi inquiéter.

L’avocat Régis de Castelnau, animateur du blog vududroit.com et auteur de « Une Justice Politique – Des années Chirac au système Macron, histoire d’un dévoiement » chez l’Artilleur, revient sur les dérives juridiques et judiciaires d’un exécutif en roue libre depuis près de 5 ans.

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Un commentaire

  1. Posté par miranda le

    Nous sommes vraiment à plaindre. Parce que tout se qui se déroule sous nos yeux pourrait ne pas se dérouler sous nos yeux. Parce que nous ne voulons pas voir que nous sommes capables d’avoir des stratégies tout aussi subtiles que nos gardiens de prison internationaux.

    Ces despotes ne peuvent pas tenir, sans leurs collaborateurs et sans leurs protecteurs.

    Quand à ceux qui subissent, il faudra bien qu’un jour LEUR MENTAL SE REVEILLE, car nous avons tous la capacité d’imaginer des stratégies de défense. Si nos despotes sont encore au pouvoir, c’est que nous le voulons bien.

    Si nous conscientisons leurs protecteurs, il y aura peut-être un éveil. Mais nous ne cherchons aucun contact, aucun échange avec ces derniers, du genre une discussion qui les éveillerait.

    Leur faire savoir que c’est l’heure du choix, DE LEUR CHOIX , que leurs enfants et petits enfants risquent de vivre , comme nous, sous un totalitarisme à perpétuité.

    La question majeure qui serait à leur poser : CHOISISSEZ-VOUS LE TOTALITARISME comme mode futur de vie pour vos enfants et petits enfants ou bien préférez vous qu’ils connaissent la démocratie que vous avez connue?

    Ils auront à choisir très vite, car leur remplacement est, aussi, programmé. Les autres programmés ont surtout des allures de miliciens « augmentés ».

Et vous, qu'en pensez vous ?

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