Une mère du comté de Loudoun, en Virginie, a déclaré lors d’une réunion du conseil scolaire ce mois-ci qu’elle avait retiré ses enfants du système scolaire public après que son enfant de 6 ans lui ait demandé si elle était « née mauvaise » parce qu’elle est blanche.
“Tout d’abord, c’est au début du printemps 2020 que ma fille de 6 ans est venue me voir pour me demander si elle était née mauvaise parce qu’elle était une personne blanche. Quelque chose qu’elle a appris dans une leçon d’histoire à l’école“, a déclaré la mère lors d’une réunion du conseil scolaire le 26 octobre. La vidéo de son témoignage s’est depuis répandue sur les médias sociaux.
Le comté de Loudoun a fait l’objet d’une attention et d’une condamnation nationales au cours des dernières semaines en raison d’accusations de dissimulation d’un rapport d’agression sexuelle et de batailles continues sur le programme d’enseignement de la théorie des races critiques dans les classes. Les parents demandent la démission du surintendant Scott Ziegler et de l’ensemble du conseil d’administration de l’école en raison de la dissimulation présumée.
Un courriel datant du 28 mai et révélé ce mois-ci montre que Ziegler a parlé au conseil scolaire de l’allégation d’une agression sexuelle dans les toilettes des filles du lycée Stone Bridge. Cependant, lors d’une réunion du conseil scolaire en juin, Ziegler a déclaré que “l’étudiant ou la personne transgenre prédateur n’existe tout simplement pas” et qu’à sa connaissance, “nous n’avons aucun dossier d’agressions survenues dans nos toilettes”.
La révélation de l’e-mail a suscité de nombreuses accusations selon lesquelles le conseil scolaire aurait couvert l’agression, ce que le district a nié.
Quatre semaines plus tôt, la fille de Scott Smith, âgée de 15 ans, a déclaré aux enseignants qu’elle avait été violée dans les toilettes des filles de l’école secondaire Stone Bridge à Leesburg, en Virginie, par un étudiant qui avait été autorisé à entrer dans la salle de bain parce qu’il avait dit au personnel qu’il s’identifiait comme une femme.
Le garçon a été arrêté en juillet – un mois après la réunion – mais il aurait agressé sexuellement une autre fille, dans une autre école du même district, en octobre.
Il est maintenant en détention pour mineurs dans l’attente d’une comparution devant le tribunal pour tous les chefs d’accusation, y compris les agressions sexuelles et la sodomie forcée.
Un porte-parole des écoles publiques du comté de Loudoun, Wayne Byard, a déclaré à Fox News la semaine dernière que le district scolaire avait immédiatement signalé l’agression présumée au bureau du shérif le 28 mai. Il a déclaré que le rapport “ne pouvait pas être communiqué au grand public” à ce moment-là parce que “la nature de l’incident était encore en cours d’investigation“.
(Merci à moi)
Extrait de: Source et auteur
Comment imprégner les enfants d’une nouvelle forme de masochisme, d’une dégradation de l’image de soi, et au fur et mesure du risque de se renier. Il suffit de s’emparer de l’ECOLE, ce lieu de l’instruction pour le meilleur ou pour le pire.
Cela dit il va bien falloir enquêter sur ceux qui diffusent ce genre de programme scolaire. De remonter à la source. Les professeurs ne sont que des exécutants d’un programme dont les créateurs haïssent le blanc occidental. Ce programme n’est pas tombé du ciel. Il émane du cerveau de ses créateurs.
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De même qu’il va falloir creuser le sujet du « grand remplacement » des occidentaux par des gens venus d’ailleurs à qui il était facile de proposer un statut de travailleur détaché comme ce fut le cas pour les travailleurs de l’Est de l’EUROPE. Ces gens venus d’ailleurs (sans avoir conscience du programme ) n’ont pas de travail dans une grande majorité et sont assumés par les impôts des autochtones qui acceptent de payer pour disparaître. Alors qu’un nombre de ces considérable de ces autochtones souffre économiquement.
Le blanc occidental est vraiment en danger mais il ne le perçoit pas. Cette absence de discernement peut devenir son tombeau.
Exemple du lavage de cerveaux commis par les enseignants de gauche.