Lausanne – hypercentre – Un quinqua est violemment tabassé par des dealers

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Insécurité en ville Tabassé par des dealers, il portera plainte contre Lausanne

Un quinquagénaire, victime d’une violente agression un dimanche matin alors qu’il rentrait du Flon, tient aussi la Municipalité pour responsable de ce qui lui est arrivé.

Laurent Antonoff  - 28.10.2021

C’est dans les escaliers qui relient la rue de Genève aux Terreaux que Roberto a été agressé.

Roberto* porte encore les stigmates de son agression, plus de dix jours après les faits. Un large pansement lui recouvre l’oreille gauche, son visage reste tuméfié et son avant-bras plâtré. Dans la nuit du 17 octobre dernier, ce quinquagénaire d’origine italienne raconte avoir été roué de coups par des dealers, au centre-ville de Lausanne, après avoir refusé de leur acheter la cocaïne qu’ils lui proposaient. «Je n’ai rien vu venir.»

Roberto est en colère. Mais il n’en veut pas qu’à ses deux agresseurs. «Tout le monde connaît au moins une personne qui a été violentée à Lausanne. J’estime que la Ville n’en fait pas assez pour garantir la sécurité de ses habitants.» Ce chef d’entreprise a donc décidé de porter plainte contre ceux qui l’ont amoché méchamment, mais aussi contre les autorités qu’il juge responsables de l’insécurité en ville. [...]

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Tabassé par des dealers: il portera plainte contre… la Ville de Lausanne

Dimanche 17 octobre, un homme a été victime d’une violente agression par des trafiquants de drogue. Il tient aussi la Municipalité pour responsable.

par pmi
Le quinquagénaire a été agressé dans les escaliers qui relient la rue de Genève aux Terreaux.

Le quinquagénaire a été agressé dans les escaliers qui relient la rue de Genève aux Terreaux.

Florian Cella

Dans la nuit du 17 octobre à Lausanne, après avoir bu un verre avec des amis au Flon, un quinquagénaire a été violemment agressé par des dealers, parce qu’il avait refusé de leur acheter de la drogue. Il aura une oreille arrachée, un poignet cassé, l’arcade sourcilière fendue et des hématomes à l’œil et sur le corps. Le lendemain, alors qu’il est au poste de police pour porter plainte, les policiers tentent de le dissuader, selon l’article de 24 heures.

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2 commentaires

  1. Posté par antoine le

    1ère règle : Toujours être en groupe ! L’union fait la force ! Les dealers ou autres racailles attaquent des proies faciles !
    2ème règle : Avoir toujours son spray au poivre ! On ne sait jamais, cela peut servir !
    3ème règle : Apprendre les bases de l’auto-défense !
    Proposition qui ne sera JAMAIS accepté par la municipalité de Lausanne : constituer des patrouilles citoyennes non armées !
    https://lesobservateurs.ch/2018/03/02/lausanne-le-directeur-de-la-police-soppose-aux-rondes-de-resistance-helvetique-cest-un-trouble-incontestable/
    Cela date de 2018, que font les municipaux (ir)responsables de la police ?
    Ils chouchoutent les dealers et veulent en accueillir encore plus !!

  2. Posté par David contre Goliath le

    Le problème , c’ est que ce monsieur devra financer sa plainte de sa poche, et ne bénéficiera évidemment pas de  » l’ aide juridique gratuite », dont nombre d’ étrangers font usage aux frais du contribuable.
    Et, de plus, il se retrouvera confronté aux avocats de la ville de Lausanne, eux aussi rétribués par … le contribuable.

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