Il y a 65 ans, Budapest se levait contre la tyranie communiste…

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Aujourd’hui oubliée par la plupart de nos contemporains, l’insurrection nationale hongroise d’octobre 1956, il y a 65 ans, fut un événement considérable. En effet, pour la première fois depuis la division de l’Europe conçue lors de la réunion de Yalta, en 1945, un peuple se révoltait contre le système le plus criminel de tous les temps, à savoir le communisme.

Certes, la répression fut sanglante, mais cette révolution n’en demeure pas moins héroïque et exemplaire… Le Peuple hongrois, en  ce mémorable automne 1956, a redonné l’espérance à tous les peuples asservis par la barbarie communiste. Quelques décennies plus tard, en novembre 1989, le mûr de Berlin s’écroulait mettant définitivement, espérons-le, fin à l’ignominie marxiste.

Ce n’est donc pas un hasard si, aujourd’hui, la Hongrie nous montre à nouveau la voie à suivre face aux nouveaux dangers, à savoir l’immigration sauvage et l’islamisation qui en découle, qui menacent la liberté et l’identité de l’Europe…

N’oublions jamais la révolte de Budapest fin octobre 1956…

Roland Hélie

Pour information :

Pour mieux comprendre ces événements, en 2016, Synthèse nationale a publié le texte intégral en deux volumes de l’étude magistrale de l’historien britannique Davis Irwing sur l’insurrection de Budapest. Il en reste quelques exemplaires que vous pouvez vous procurer de la manière suivante :

Budapest, insurrection Tome 1 cliquez ici

Budapest, insurrection Tome 2 cliquez là

 

Article publié sur le site Synthèse nationale.

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4 commentaires

  1. Posté par filip Frayman le

    A l´époque le PCF s´était felicité que ses kamarades soviétiques aient  » restauré l´ordre » a Budapest ( 50 000 morts, quamd méme ! ). Le PCF, un parti qui ne sent vraiment pas bon, un parti qui a chanté les louanges des dictateurs sanguinaires soviétiques , Lenine, Staline…
    Et ces gens osent donner des lecons de démocratie !!

  2. Posté par Pierre-Alain Tissot le

    L’écrasement de la révolution hongroise de 1956.
    C’est une des raisons de la méfiance de beaucoup de nationalistes identitaires envers les appétits grandissants de la Nouvelle Russie de Poutine.
    Pour le moins des nationalistes encore lucides…

  3. Posté par antoine le

    L’Histoire n’est malheureusement plus enseignée …
    Le terme  »Patrie » a été complètement dénaturé, puisque aujourd’hui se déclarer Patriote signifie, aux yeux de la gôche verdâtre pro-immigationniste, être d’extrême-droite, fasciste ou nazi … !
    La manipulation des mots fait peine à voir et l’échelle dans l’hémicycle de l’extrême-gôche à l’extrême-droite devient :
    – Camp du  »bien » : Vert de gris, Vert pastèque, PS, PLR
    – Camp du  »mal » : UDC
    Ce sont des termes de langage inadmissibles et surtout condamnables !

  4. Posté par miranda le

    On peut remercier la Hongrie d’avoir montré le chemin à d’autres pays pour leur libération. Et d’être assez lucide pour nous démontrer les pièges tendus par l’Union Européenne, aujourd’hui.

    On ne peut pas s’empêcher de penser aujourd’hui à la France et aux et aux européens qui vont probablement oser encore de telles actions qui mèneraient quand-même au sacrifice de nombreuses vies.

    Espérons que les Français sauront faire une révolution intelligente qui ne mènera pas trop de gens au sacrifice. A la condition de ne pas se laisser guider par des FARFELUS qui risquent de les mener dans une véritable souricière. Une vidéo ici démontre bien comment cela peut finir en souricière si l’on « suit » le joueur de flûte. Et cette vidéo n’a pas encore subit de censure.
    https://www.youtube.com/watch?v=zoMIIMPTHmA

    Il y a des révolutions qui peuvent se faire plus tranquillement. En sachant qu’un tyran ne peut exister sans de fidèles collaborateurs de toutes catégories . Mais la fascination que savent exercer les tyrans par une captation des esprits naïfs ou… intelligents… semble l’emporter. L’ESSENTIEL ETANT LA CAPTATION. Le tyran en général, sait capter les esprits, les occuper, les envahir, de façon à devenir leur unique préoccupation. Tout en suscitant de l’émotionnel paralysant.

    Et c’est dans cette fascination-piège paralysante que se perdent les minutes et les heures les plus importantes pour la réflexion qui pourrait mener à des actions intelligentes..

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