Violences du 1er mai 2018 : 18 mois de prison avec sursis requis contre Alexandre Benalla

post_thumb_default

 

Alexandre Benalla, ancien chargé de mission de l'Elysée, a vu ce 30 septembre le parquet de Paris requérir à son encontre 18 mois d'emprisonnement avec sursis et 500 euros d'amende. En cause notamment, sa participation aux violences commises lors de la manifestation du 1er mai 2018, à l'origine d'un scandale politique retentissant.

Le ministère public a demandé que l'ex-proche collaborateur d'Emmanuel Macron soit aussi condamné pour avoir utilisé frauduleusement des passeports diplomatiques et de service, ainsi que pour avoir porté un pistolet sans autorisation en 2017.

Une peine d'un an avec sursis a été requise à l'encontre de Vincent Crase, ex-employé d'En Marche ! présent avec Alexandre Benalla lors du cortège de la Fête du travail, ainsi que deux et quatre mois avec sursis contre deux policiers de la préfecture de police de Paris, jugés à leurs côtés dans un autre volet du dossier.

 

Extrait de: Source et auteur

Suisse shared items on The Old Reader (RSS)

Et vous, qu'en pensez vous ?

Poster un commentaire

Votre commentaire est susceptible d'être modéré, nous vous prions d'être patients.

* Ces champs sont obligatoires

Avertissement! Seuls les commentaires signés par leurs auteurs sont admis, sauf exceptions demandées auprès des Observateurs.ch pour des raisons personnelles ou professionnelles. Les commentaires sont en principe modérés. Toutefois, étant donné le nombre très considérable et en progression fulgurante des commentaires (259'163 commentaires retenus et 79'280 articles publiés, chiffres au 1 décembre 2020), un travail de modération complet et exhaustif est totalement impensable. Notre site invite, par conséquent, les commentateurs à ne pas transgresser les règles élémentaires en vigueur et à se conformer à la loi afin d’éviter tout recours en justice. Le site n’est pas responsable de propos condamnables par la loi et fournira, en cas de demande et dans la mesure du possible, les éléments nécessaires à l’identification des auteurs faisant l’objet d’une procédure judiciaire. Les commentaires n’engagent que leurs auteurs. Le site se réserve, par ailleurs, le droit de supprimer tout commentaire qu’il repérerait comme anonyme et invite plus généralement les commentateurs à s’en tenir à des propos acceptables et non condamnables.

Entrez les deux mots ci-dessous (séparés par un espace). Si vous n'arrivez pas à lire les mots vous pouvez afficher une nouvelle image.