Des centaines de migrants ont tenté ce 1er octobre d'entrer dans l'enclave espagnole de Melilla : «Environ 700 personnes ont tenté de s'approcher du périmètre» de sécurité autour de la clôture en vue de la franchir, a ainsi affirmé à l'AFP un porte-parole de la préfecture de Melilla.
Aucun de ces migrants, tous originaires d'Afrique subsaharienne, n'a réussi à entrer dans l'enclave, a-t-il ajouté, précisant qu'ils avaient été tous repoussés par les forces de l'ordre marocaines. Si des centaines de personnes ont déjà essayé de rentrer à Melilla par le passé, «nous n'avons jamais observé [un groupe de] 700» personnes, a poursuivi ce porte-parole.
Selon lui, la tentative de ce groupe était «très bien organisée» : «Ils essayaient d'entrer à différents endroits du périmètre pour diviser les forces de sécurité qui essayaient de les empêcher d'entrer, une approche relativement nouvelle».
La dernière entrée massive de migrants à Melilla a eu lieu fin juillet lorsque 238 migrants sont parvenus à franchir la clôture. Situées dans le nord du Maroc, Melilla et Ceuta sont les seules frontières terrestres de l'Union européenne avec l'Afrique et attirent nombre de migrants souhaitant rentrer illégalement en Europe.
Les tentatives de passage des clôtures mesurant plusieurs mètres de haut de ces deux enclaves, qui entraînent parfois des morts, sont assez fréquentes. Mi-mai, plus de 10 000 migrants, en grande majorité Marocains, avaient profité d'un relâchement des contrôles du côté marocain pour entrer, cette fois par la mer ou par la digue marquant la frontière, dans l'autre enclave de Ceuta.
Cette vague migratoire exceptionnelle avait eu lieu dans un contexte de crise diplomatique majeure entre Madrid et Rabat, provoquée par l'accueil en Espagne, pour y être soigné du Covid, du chef des indépendantistes sahraouis du Front Polisario, Brahim Ghali, ennemi juré de Rabat.
Extrait de: Source et auteur
L’essentiel est de savoir qui a donné le coup d’envoi, ou qui a encouragé cette soudaine vague à pénétrer vers l’Europe. On retrouve toujours les mêmes « acteurs ». SOROS et Ses fidèles ONG au service du Nouvel ordre mondial. Ce flux de migrants et « faux réfugiés » est une entreprise d’ensevelissement de l’Européen. Mais on lui a tellement dit à l’Européen que ne pas accueillir » l’autre venu d’ailleurs » est un acte odieusement raciste, que ce dernier n’ose plus élever la voix, même lorsque cela met sa cité en danger.
Toutes ces vagues migratoires sont AUSSI de nécessaires diversions pour que le « mortel européen » ne s’aperçoive pas où on veut le mener. Le « mortel » européen n’est toujours pas en train de s’apercevoir de sa disparition proche, ainsi que celle de sa nation, déjà bien engagée.
Moralité, une culture politique ça se prépare, ça s’apprend, ça se cultive très tôt dans une vie. L’instruction civique n’est rien à côté de cette nécessité de savoir comment l’on est géré et par qui on est géré et quel est l’intérêt de vivre dans une nation bâtie sur le droit.
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L’européen, sauf quelques petits millions de cerveaux dynamiques et observateurs, n’ y a jamais été préparé. Aussi c’est avec une grande naïveté qu’il s’enfonce dans les sables mouvants vers lesquels on le fait cheminer.
Est-ce que les quelques millions de cerveaux dynamiques et observateurs vont sauver l’Europe? On aimerait y croire. Mais on les remercie d’avance car tous ceux qui s’opposent aujourd’hui se mettent réellement en danger. Et devraient être soutenus par l’immensité de la masse. Masse assez inerte hélas.
Quelques 40 millions d’adultes français n’ont pas réagi pour exiger les traitements pendant la pandémie, alors peut-on compter sur eux pour sauver leur nation????