France : Moham(m)ed est le prénom le plus donné chez les garçons née en 2020 (INSEE)

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  • 1. Mohamed + Mohammed : 4558
  • 2. Léo : 4496
  • 3. Gabriel : 4415

Source : INSEE


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Lina et Mohamed, en tête du top 10 des prénoms les plus donnés aux bébés en 2020 en Seine-Saint-Denis (INSEE) – https://t.co/np6BGjQ8Zr pic.twitter.com/G4YU5IcWhf

— Fdesouche.com est une revue de presse (@F_Desouche) August 1, 2021

 

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4 commentaires

  1. Posté par Tenpy le

    Je n’ai aucune pitié, a peine de la compassion pour les français. Ça fait 50 ans qu’ils votent mal et laissent faire. La cause à effet est claire. Faut arrêter de se plaindre maintenant. Reinstaurez l’obligation de prénoms selon le calendrier pour commencer a inverser la tendance.

  2. Posté par Stephane Montabert le

    L’analyse anthroponymique ou l’étude des prénoms des nouveaux-nés

    Cet outil d’analyse a été popularisé par l’analyste politique Jérôme Fourquet qui l’utilise notamment dans son dernier livre L’archipel français. Naissance d’une nation multiple et divisée. Il lui permet ainsi de montrer le poids démographique croissant des populations issues de l’immigration arabo-musulmane. Il s’agit néanmoins d’une méthode éprouvée. Si Jérôme Fourquet l’a utilisée pour la première fois dans le cadre d’un travail pour la Fondation Jean Jaurès, la méthode onomastique a également été utilisée par Georges Felouzis en 2005 pour analyser les phénomènes de ségrégation scolaire ou encore par Libération en 2012 pour mettre en évidence la faible présence des personnes issues de l’immigration ou représentant la diversité parmi les membres des cabinets du gouvernement Jean-Marc Ayrault

    L’analyse anthroponymique ci-dessus doit être correctement interprétée. Il convient de rappeler que « toutes les personnes portant un prénom originaire des mondes arabo-musulmans ne sont pas nécessairement musulmanes », comme le note Jérôme Fourquet. Par ailleurs, ces chiffres sont des tendances et ne peuvent pas être considérés comme exacts à l’unité près. Enfin, ils ne concernent ici que les prénoms arabo-musulmans : pour identifier plus largement les prénoms d’origine étrangère, il serait par exemple intéressant d’y intégrer ceux originaires d’Afrique de l’Ouest comme le fait en partie l’auteur pour les prénoms féminins (Fatoumata, Aminata, Hawa, Bintou, etc.)

     L’analyse effectuée par Jérôme Fourquet présente surtout de nombreux avantages. D’abord, elle permet de suivre l’évolution des prénoms donnés depuis 1900 et permet d’identifier différentes phases comme le montre le graphique ci-dessus. Par ailleurs, la méthode utilisée est particulièrement robuste puisque l’auteur écarte de son étude un certain nombre de prénoms aux origines ambiguës ou doubles tels que Sarah – appartenant tant à la culture hébraïque qu’arabo-musulmane. Ainsi, les chiffres produits par Jérôme Fourquet sont une estimation basse. Enfin, la robustesse de la méthode utilisée s’illustre également par le fait que d’autres études avec d’autres méthodes aboutissent à des résultats équivalents. Michèle Tribalat, dans le cadre de l’enquête Teo de l’INED et de l’INSEE conduite en 2008, arrivait à une conclusion équivalente en montrant que sur la période 2006-2008, les naissances intervenues dans un foyer comptant un ou deux parent(s) musulman(s) représentaient 18% des naissances en France.

    https://observatoire-immigration.fr/natalite-et-immigration/

  3. Posté par pascal le

    pourquoi ne pas dire le titre complet en ajoutant a la fin du titre: en Seine-Saint-Denis ? Ah oui j’oubliais …

  4. Posté par Jean Louis le

    Juste une envie de vomir ……….la fin d’une grande nation ……. Bientôt la vie au bled et la charia dans nos belles villes de Provence et de toutes la France pardon francarabia.
    Envie de partir loin loin mais loin .

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