Alors que la quatrième conférence de Durban se tiendra à New-York en septembre prochain, l’essayiste Gilles-William Goldnadel rappelle les idées qui ont présidé à sa création en 2001. Les États-nations occidentaux ont bon dos et mauvaise presse. Les aréopages internationaux sont intouchables. L’idéologie anti-nationale et anti-occidentale veille au grain. Cracher sur la France, sur la […]
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Dans le texte :
« Le président de la République va-t-il en conséquence cautionner l’antisémitisme et le racisme anti-Blanc en même temps qu’il les dénonce? Prier pour la France en même temps que participer à une messe qui la maudit? Il pourrait s’en mordre les doigts. »
Mr Goldnadel est un peu trop « optimiste », car Mr Macron est une girouette politique et ne pratique que la diversion ou la stragégie du choc.
Son rôle n’est de défendre ni l’un ni l’autre, car ses objectifs sont ailleurs.
Dans le texte :
« Dans le monde de l’idéologie internationaliste, on n’écrase pas les vaches sacrées. On n’écrase que les États-nations détestables de l’Occident blanc détesté ».
Entièrement d’accord avec Mr Goldnadel, sauf qu’il serait bon de désigner ceux qui répandent cette détestation et « s’amusent » à vouloir éteindre les nations occidentales (d’abord). Les pseudos démocrates américains sont très doués en la matière.