Gaslighting: Comment des psychopathes de gauche diabolisent et démoralisent leur opposition

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Par Brandon Smith - 1er avril 2021

Nous avons tous entendu ce vieil adage: «Tous les gouvernements mentent».
Et c'est un fait maintes fois démontré par l'histoire.
[...]

Si vous optez pour l'hypothèse que ces groupes vous mentent la plupart du temps, vous vous retrouverez du bon côté de l'histoire.
Cela dit, il y a des questions qu'il faut se poser si nous espérons un jour changer le monde et écarter ces menteurs du pouvoir.
Pourquoi mentent-ils?
Pourquoi est-ce devenu une règle?
Et comment peuvent-ils mentir et s'en tirer si souvent?

*

Pourquoi mentent-ils?  - Ce n'est pas parce que le pouvoir corrompt.
Ce cliché a peut-être du vrai, mais il est surtout un moyen d'occulter le plus gros problème parce que nous avons peur d'aborder l'horrible vérité.

La réalité, c'est que le pouvoir ne corrompt pas nécessairement, mais les corrompus recherchent le pouvoir.

Si les gouvernements et les autres institutions traditionnelles mentent toujours, c'est parce que des menteurs psychopathes les infiltrent et les envahissent toujours. Nous avons très peu de contrôles en place pour éviter cela, et le public en sait très peu sur les psychopathes.

Comprendre les institutions destructrices, c'est comprendre les traits de caractère et les méthodes des psychopathes qui les contrôlent.

Les psychopathes ne sont pas des gens très compliqués ni très intelligents, mais ils réussissent souvent parce qu'ils poursuivent leur but sans relâche.

[...]

Le pire des cas, c'est une psychopathie organisée pleinement réalisée: l'avènement d'une culture totalitaire dans laquelle le comportement psychopathique est récompensé et défendu par ceux qui détiennent l'autorité ou l'influence, tandis que l'honnêteté, la moralité et la liberté sont punies.

Au fil des générations, les psychopathes ont utilisé différents groupes et idéologies pour prendre le contrôle de la population.

Aujourd'hui les psychopathes organisés ont choisi la secte du socialisme, de la justice sociale, du pseudo-environnementalisme et de l'idéologie de gauche comme leurs véhicules. Essentiellement, c'est une version modernisée du communisme.

Et si nous examinons les habitudes des «mouvements» de gauche et mondialistes actuels, nous verrons beaucoup de similitudes avec le communisme historique, sans parler de nombreux comportements psychopathes.

L'utilisation du «gaslighting» comme arme est un pilier classique des psychopathes et par extension des régimes communistes, et elle est visible PARTOUT dans la politique et les médias en ce moment.

C'est peut-être ironique que je publie cet article un premier avril, car le gaslighting est effectivement une forme de tromperie.
Et, pour contrôler les gens, il est utile de les humilier et de les faire douter de leur propre vision de la réalité.

La définition élémentaire du gaslighting est la manipulation d'une personne par des moyens psychologiques pour lui faire douter de sa propre santé mentale.

Autrement dit, faire croire à une personne sensée qu'elle est peut-être folle. Cependant, cette définition n'est pas suffisante. Il ne s'agit pas seulement de vous faire mettre en doute votre santé mentale, mais aussi vos principes et votre morale.

L'Union soviétique communiste était connue pour avoir «gaslighté» sa population au moyen d'une propagande suggérant que quiconque défiait la volonté de l'État et réclamait la liberté était un «malade mental».
La police secrète (Tchéka) et le KGB avaient des hôpitaux spécialement destinés aux dissidents politiques appelés «Psikhushkas».
[...]

Dans la Chine maoïste, en particulier pendant la Révolution culturelle, Mao a ciblé la jeunesse chinoise impressionnable et crédule, l'endoctrinant pour lui faire croire qu'il y avait un «impérialisme institutionnel» caché dans toutes les facettes de la société chinoise.

Alors que la stabilité du communisme en Chine était remise en question,  Mao (écarté du pouvoir) savait qu'une rébellion était possible. Aussi, au lieu de sévir immédiatement avec l'armée, il a encouragé les universitaires et les jeunes à «se rebeller» et à «faire tomber les impérialistes secrets».

Il a redirigé le mécontentement social vers un fantôme inexistant afin qu'une rébellion ne se lève jamais contre lui et le Politburo.

Des militants chinois jeunes et stupides ont cru qu'ils se rebellaient alors qu'ils servaient en réalité les intérêts des élites gouvernementales.

Le gaslighting était omniprésent en Chine. Toute personne ayant la moindre croyance dans la liberté, le libre marché, les affaires, la propriété privée ou toute personne qui avait des objections contre les crimes des communistes était forcée de subir un procès, appelé «session de lutte», devant un tribunal fantoche .

Au cours des séances révolutionnaires, des dissidents étaient appréhendés, humiliés et contraints de s'incliner devant la foule de vrais croyants à la foi communiste.
La foule les assaillait d'accusations de crimes et d'immoralité, tentant de les convaincre du mal de leurs pensées.
Si le dissident s'inclinait et se soumettait au collectif, demandant pardon, alors il pouvait être autorisé à vivre, mais il devait réellement CROIRE qu'il avait péché. Il devait adhérer pleinement à l'idéologie communiste et implorer son absolution.

De nombreuses victimes qui ont subi de telles séances ont continué à croire pour le restant de leurs jours qu'elles étaient des criminels. Elles croyaient réellement être des gens horribles, même si elles n'avaient pas la moindre idée du motif de leur châtiment.

Le gaslighting est un puissant outil d'assujettissement, car il fait croire aux personnes bonnes, qui aiment la liberté, qu'elles sont des personnes mauvaises qui ont besoin de restrictions.
C'est aussi un moyen pour un système corrompu de maintenir le contrôle de la population, car il normalise le comportement psychopathique et supprime la conscience morale en convaincant les gens que la moralité est une chose «relative» ou une «question de perspective», et que certains comportements abusifs et destructeurs sont «nécessaires» pour parvenir à un monde meilleur.

Si vous pouvez embrouiller une population au point de lui faire remettre en question sa propre moralité, ou si vous pouvez la convaincre de douter de sa santé mentale, alors vous pouvez l'empêcher de se rebeller contre vous.

Ce sont les méthodes éprouvées des psychopathes. Si vous vous demandez pourquoi les conjoints ou les membres de famille maltraités restent avec leurs agresseurs et même les défendent, c'est parce que les psychopathes utilisent le gaslighting pour désarmer leurs victimes. En effet, si vous êtes fou ou inconsciemment perfide, alors peut-être que vous n'êtes pas maltraité en réalité. Peut-être que vous êtes protégé contre vous-même, et peut-être que la société est protégée de vous?

Et si vous vous rebellez et vous défendez contre votre agresseur, là vous êtes vraiment un être humain horrible. Vous avez attaqué votre «protecteur». Vous êtes maintenant un danger pour la société. Vous êtes maintenant un terroriste. Le seul moyen d'éviter d'être qualifié de terroriste ou de fou est d'accepter silencieusement la maltraitance.

J'observe cette tactique de mainmise sur les gens partout dans le monde, et elle devient plutôt répandue ici aux États-Unis. La manifestation au Capitole en est un parfait exemple.
Des millions d'Américains respectueux de la loi ont été abusés et opprimés par l'establishment au moyen du confinement et de la censure, tandis que des groupes de gauchistes comme BLM et Antifa étaient autorisés à courir partout dans le pays en pillant et en brûlant.

Les Américains conservateurs ont réagi par une manifestation après les élections, voyant que de tels débordements risquaient d'être aidés dans un proche avenir par le gouvernement fédéral dirigé par Joe Biden. Ils ont envahi le bâtiment du Capitole, sans armes, pour se faire entendre. Puis ils sont repartis pacifiquement.

Par la suite, les médias nous ont bombardés pendant des mois avec le narratif selon lequel la manifestation du Capitole était une «insurrection» et un acte de terrorisme intérieur. Ainsi, BLM arrive à piller et à brûler sur son passage dans des dizaines de villes américaines et cela s'appelle des manifestations pacifiques. Mais les conservateurs manifestent devant un seul bâtiment et forcent les portes, et c'est considéré comme un acte de guerre. C'est du gaslighting.

[…]

Pour finir, il n'est pas possible de traiter du gaslighting sans parler de l'agenda de la «justice sociale».

L'expression «suprématie blanche» est répétée par les grands médias et les politiciens jusqu'à la nausée.

Et plus précisément, les conservateurs sont dénoncés comme «la plus grande menace terroriste» pour les États-Unis depuis des décennies à cause de nos supposées tendances suprémacistes blanches. La récente flambée de crimes de haine contre des Asiatiques est le nouveau prétexte de cette campagne de propagande.

Oubliez que des millions de conservateurs sont noirs ou bruns, et non blancs. Oubliez que la majorité des crimes de haine visant des Asiatiques ces deux dernières années ont été perpétrés par des agresseurs noirs (comme je l'ai noté dans l'article de la semaine dernière), et que l'un d'entre eux est même un militant connu du BLM.

Oubliez aussi qu'environ 50% des crimes violents aux États-Unis sont commis par des Noirs selon le FBI. D'une manière ou d'une autre, toute cette anarchie est la faute des Blancs en général et des conservateurs en particulier!

L'appât racial utilisé par les gauchistes ces dernières années est un excellent exemple de gaslighting: dire aux gens qu'ils sont responsables de maux qui n'ont aucun lien avec eux, puis exiger qu'ils déclarent soumission et fidélité à une idéologie qui cherche à les asservir, en leur faisant croire que c'est le moyen de les laver des péchés dont ils n'étaient même pas coupables.

Pour qu'un contrôle totalitaire de la population puisse être établi aux États-Unis et en Occident, il faut nous embobiner au point de nous faire croire que nos valeurs de liberté, de vérité et de méritocratie sont, d'une manière ou d'une autre, intrinsèquement mauvaises.
Il faut nous faire croire que nous sommes fous de vouloir la liberté.

Soyons clair: il n'y a que trois façons d'arrêter ce lavage de cerveau et ce gaslighting des personnes libres:

 

1) Nous soumettre, accepter le faux narratif comme vrai et céder à l'esclavage psychologique.

 

2) Nous séparer complètement des totalitaires de gauche et des psychopathes organisés et suivre notre propre chemin.

 

3) Enlever les psychopathes du tableau et reconstruire sans leur influence.

Tant qu'une de ces trois choses ne se sera pas réalisée, tous les psychopathes, les gauchistes et les mondialistes continueront d'essayer de nous avoir à l'usure et au gaslighting.

C'est ce qu'ils font déjà. Ils ont vu que cela a marché dans le passé et ils sont bien déterminés à atteindre leurs objectifs.

Brandon Smith  [email protected]

Source: Gaslighting: How Leftist Psychopaths Demonize And Demoralize Their Opposition

Traduction libre: Albert Coroz pour lesobservateurs.ch

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Wikipédia – « Gaslighting » ou le « détournement cognitif

extraits:

[...]

Étymologie

La pièce datant de 1938 Gas Light […], ainsi que les adaptations cinématographiques de 1940 et 1944 ont inspiré l'origine du terme qui désigne l'utilisation systématique de la manipulation psychologique du personnage principal sur sa victime. Dans cette pièce, le mari essaye de faire croire à sa femme et à son entourage qu'elle devient folle  [...]

Film -1944 - Hantise (Gaslight), de George Cukor

Fonctionnement

Essentiellement, le gaslighting consiste en une inversion des rôles coupable-victime. L'objectif de l'abuseur est de supprimer les réactions d'autodéfense de sa victime pour échapper aux sanctions qui lui sont dues. Cela lui permet également de reproduire ses abus plus facilement.

Le gaslighting est un cas particulier de diversion basé sur des manipulations verbales ou autrement subtiles (gestuelle, expressions faciales, intonations, attitude, etc.).
À titre comparatif, dans les phénomènes de bouc-émissaire, la culpabilité des souffrances d'un groupe est injustement attribuée à une entité externe au groupe d'abuseurs. Alors que dans le gaslighting, la culpabilité de la souffrance de la victime est injustement attribuée à la victime elle-même.

Dans le gaslighting, l'abuseur fait porter le chapeau des souffrances de sa victime à la victime elle-même ou à ses attributs ou capacités mentales ou psychologiques. Le manipulateur amène la victime à remettre en cause chacun de ses choix, sentiments, émotions, valeurs, etc. et la fait douter de sa santé mentale. Par exemple, pour dégrader l'estime de soi de la victime, l'abuseur peut l'ignorer fortement, puis la reconsidérer fortement, puis l'ignorer de nouveau, etc. Ainsi, la victime abaisse ses propres standards relationnels et affectifs et se perçoit davantage comme indigne d'intérêt8. Mais aussi, elle ne parvient plus à faire confiance à ses sentiments d'attachement.

Les manipulateurs peuvent aussi utiliser les phrases suivantes de manière récurrentes ou à chaque fois que leur pouvoir est remis en question9,10 :

  • « Tu es trop susceptible. »
  • « Tu prends les choses trop à cœur. »
  • « Tu te fais des idées. »
  • « De toute façon, tu n'es jamais content(e). »
  • « Tu te trompes ou confonds (comme toujours). »
  • « Ça ne va pas ? Tu dis des choses très bizarres. »
  • « Tu ne sais pas ce qui est bon pour toi. » (après avoir fait souffrir)
  • « Tu es seul(e) maître de ce qu'il t'arrive. » (après avoir mis dans une situation compromettante sans l'accord de sa victime voire contre son gré)
  • « Tu es trop faible pour y arriver seul(e). »
  • « Tu n'as aucune volonté (de t'en sortir).

[...]

Sociopathie

Le gaslighting est très régulièrement utilisé par les sociopathes.
Les sociopathes sont des personnes qui, sur une base très régulière, exploitent les autres, n'ont pas de considération pour les intérêts d'autrui, et transgressent les lois et les mœurs sociales. [...]

Effets et auto-diagnostic

Selon Mme Ramani-Durvasula, psychologue clinicienne, ressentir un besoin d'enregistrer ses conversations avec une personne, pour être sûr de ne pas avoir inventé des choses, indique que l'on est très probablement victime de gaslighting9.

Parmi d'autre indices, une culpabilité systématique : se dire « c'est (toujours) de ma faute » au moindre désagrément.

[...]

Solutions

Hilde Lindemann argumente énergiquement sur le fait que l'habileté de la victime de gashlighting à résister à la manipulation dépend notamment de « son aptitude à faire confiance à ses propres jugements ». [...]

La victime doit apprendre à douter des perceptions et messages d'autrui au moins autant qu'elle doute de ses propres perceptions. Elle doit en particulier identifier et remettre en question les perceptions qu'elle doit à autrui, même partiellement, par opposition aux perceptions qu'elle ne tient que de son expérience sensorielle propre. Elle doit apprendre à décrire ses souffrances factuellement sans minimisation, au plus proche de ce qu'elle ressent et en toute indépendance d'autrui.

Une victime de gaslighting développe souvent des cognitions autodestructrices qui la rendent hyper tolérante à la critique, à la dévalorisation et à la violence. Pour les aider, les acteurs extérieurs doivent savoir se mettre à la place de la victime, être patients, compatissants, prudents et prompts à remettre leur propre perception de la victime en question.

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Même sujet: La Bande des pédagogues de l’antiracisme ou la fabrique de racistes, roman-feuilleton contemporain

Voir ici le premier épisode publié sur notre site.

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illustré par une vidéo:

Le moment déchirant où les enfants apprennent le privilège des Blancs

L'école qui a essayé de mettre fin au racisme.

Vidéo en anglais 4 minutes pour comprendre le contexte: comment une école britannique enseigne à ses élèves à découvrir et à éradiquer les préjugés raciaux cachés.

sous-titres disponibles - 30 juin 2020

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Souvenons-nous qu'avant l’arrivée des modes climatique/ LGBT/ féministe/ antiraciste/ décoloniale, etc., bref, avant que la révolution woke ne débarque, les partis de la droite patriotique avaient le vent en poupe: l’UDC,  l'AfD, la Lega, etc., la droite souverainiste était en croissance.

En Europe, en Suisse, aux États-Unis, partout, les Verts étaient en déclin, et avec l’arrivée de Trump, l’Occident pouvait espérer un rééquilibrage avec la Chine et la poussée des pays musulmans.

En Suisse romande, Lisa Mazzone, Adèle Thorens venaient à la RTS expliquer les raisons du recul de leur parti.

L’exemple de la résurrection des écologistes est parfait pour comprendre l’opération de gaslighting planétaire en cours, l'enfumage culpabilisant mis en place via les marxistes en recherche de pouvoir à tout prix, prêts à jeter en pâture notre civilisation à nos ennemis.

Quelle opportunité la vague verte a-t-elle été pour des partis en déclin et pour des étudiants munis de diplômes en « ne savoir rien faire d'utile», d'entamer une carrière pour sauver la planète !

Actuellement, il n’y a plus personne d'audible dans nos médias qui remette en cause les dogmes de l'urgence climatique (idem pour le féminisme, etc.), et nos politiciens se bousculent avec leurs programmes écologistes, endossant même une culpabilité pour avoir pris du retard.
Lorsqu'un Mehmet Gultas reproche à un UDC ou à un PLR/PDC le retard pris par leur parti dans son programme Vert, les politiciens plaident tous coupables et s'excusent en montrant leurs progrès en la matière.
Plus personne n'ose nier l'urgence, ou même remettre en question les idéologies égalitaristes.

Pourtant la Suisse est championne dans le domaine du respect de l’environnement, de l’égalité des droits, et même sans l'intoxication par gaslighting, la Suisse en faisait déjà trop.

Albert Coroz

Un commentaire

  1. Posté par nonconsensuel le

    La Suisse n’est pas « la championne » dans l’égalité des droits. Il y a un effort minime et c’est tout. Les fortunés sont en possession de la « justice ». Faut se renseigner d’avantage sur les nombreux cas d’abus de pouvoir( droite et gauche toutes confondues ). La Suisse ne fait pas trop en ce qui concerne ses citoyens. Seule préoccupation majeure… l’accueil des mineurs « non-accompagnés » et la poursuite des privilèges des fortunés, comme partout dans le monde. Le gaslighting consiste également en à faire croire que l’actuelle droite serait meilleure. Or l’évidence montre que depuis des années y sont bras dessus – bras dessous avec leurs copains de la gauche. Parmi les seuls politiciens honnêtes, M.Ueli Maurer tire un signal d’alarme quant aux tendances liberticides et de toute évidence la Suisse est concernée en égale mesure. Malheureusement.

Et vous, qu'en pensez vous ?

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