Reporters sans frontières vole au secours de Heidi.news: une journaliste était menacée d’un « Nuremberg »

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Cenator.

L’ONG Reporters sans frontières (rien que le nom est tout un programme) a porté plainte parce qu’une journaliste du site très bien-pensant et très bien subventionné Heidi.news a été attaquée par un commentateur énervé pour ses positions sur le confinement.

Lorsque la manne publique tombe sans qu’on doive se soucier du lendemain, il est impossible de comprendre l’irritation du citoyen lambda, qui se voit ruiné par les mesures de confinement, sans que les médias – que ces mêmes citoyens font vivre – ne relaient leur colère.

Le commentaire disait :

«Le 16/10/1946, le journaliste nazi Julius Streicher fut pendu à Nuremberg pour avoir endormi le peuple sur les crimes du troisième Reich : …le Tribunal a conclu qu’un tel soutien médiatique à des crimes de guerre constituait lui-même un crime…

Il faudra penser à requalifier en crime contre l’humanité le fait d’avoir : ruiné l’économie, contaminé la population avec ses propres peurs irrationnelles, provoqué des drames en santé mentale et des suicides, ainsi que mis l’épidémie à profit pour s’enrichir avec des chimères ainsi que ruiner l’état de droit et les libertés fondamentales.»

source : RSF Suisse dénonce les menaces de mort proférées contre une journaliste de Heidi.news

***

Les journalistes subventionnés ne réalisent pas que la rançon de la pensée unique et de la censure qu’ils imposent, c’est la haine. C’est une réaction normale.
Par contre, il n’est absolument pas normal que ces mêmes
journalistes sèment la haine envers tous ceux qui vont à l’encontre de leur idéologie.

Les dénicheurs de « discours de haine » n’ont pas de leçons à donner, après l’hystérie haineuse qu’ils ont orchestrée autour de Trump, d’Orban, de Blocher et de tous ceux qu’ils estampillent «populistes».

Ces apparatchiks trouvent naturel depuis longtemps d’avoir la prérogative de définir ce que la population doit haïr ou aimer. En cas de dérèglement de la machine, ils s’indignent en chœur, ils redressent le dérapage en faisant appel à la justice, exigent dédommagement, censure, répression, mise à mort sociale... et par là encore plus de pouvoir.

Aux yeux de beaucoup de gens qui sont réduits au silence, les « nouvelles » subventionnées ne sont rien d’autre qu’une propagande très biaisée, imbibée de l’idéologie de gauche, un lavage de cerveau qui détruit notre pays, une désinformation aux conséquences mortifères.
Les journalistes de la bien-pensance gavent la population de pseudo-informations, très éloignées du réel et encore plus de ce que les gens devraient entendre pour pouvoir comprendre le monde, décider impartialement que voter, bref être réellement informés. 

Et cette bien-pensance, qui use et abuse de la reductio ad Hitlerum envers l’opposition, s’indigne et porte plainte contre un simple pékin qui fait pareil à leur égard – là, tout à coup, ça devient intolérable !

Dès que les médias officiels ont à faire à des conservateurs, du type UDC, du type Zemmour... ou comme notre site,  les qualifications d’extrême droite et de populiste pleuvent, le terme de fasciste et les allusions aux heures les plus sombres ne sont jamais loin.

Pourtant, ceux qui instrumentalisent la Shoah, pratiquent la persécution, l’exclusion, le dénigrement de ceux qui s’opposent à leur idéologie marxiste, ce sont bien aussi certains de ces journalistes subventionnés.

*

Lorsqu’on regarde dans l’histoire moderne les immenses souffrances que le marxisme a amenées partout, absolument PARTOUT dans le monde, et qu’on voit le pouvoir politico-médiatique continuer à endoctriner la population suisse avec cette idéologie, du berceau au tombeau, n'y a-t-il pas parfois de quoi souhaiter un nouveau Nuremberg.

Contrairement au nazisme,  totalement rejeté et honni' et à juste titre, le communisme  et ses dérivés ont toujours  pignon sur rue et siège dans nos parlements !

Pourquoi cette différence de traitement entre ces deux horreurs absolues ?

Parce que le travail de prise de conscience qui a été fait avec le nazisme après la chute du IIIe  Reich n’a jamais été fait avec le communisme.
Journalistes, intellectuels de gauche, enseignants de gauche, c’est là votre crime, et il est infiniment plus grave que les opinions politiquement incorrectes que vous pourchassez quotidiennement.

Reporters sans frontières n’a voulu entendre que la menace de pendaison (certainement symbolique), tout en bottant en touche la partie « Nuremberg ».

L’inabordable réalité, c’est que notre civilisation aurait besoin d’un Nuremberg du marxisme et du marxisme culturel afin de pouvoir survivre plus agréablement, se débarrasser de sa politique migratoire suicidaire, de son culte du « Big Other » suicidaire, des théories du genre suicidaires, de la destruction suicidaire de ses traditions, de tout le déconstructionnisme et des mensonges des Khmers Verts, qui nous poussent vers une politique énergétique suicidaire.

Un Nuremberg sans pendaisons, puisque la peine de mort n’existe plus, un Nuremberg qui ne détruirait aucune nation, comme l’Allemagne ou les États-Unis en train d'détruits par la culpabilisation que répand le marxisme culturel.

Pour que nous ayons encore un avenir, nous aurions besoin d’un nouveau Nuremberg, d’une condamnation qui mettrait sur le même plan, dans les esprits, le marxisme et le nazisme.

Hélas, le lavage de cerveau via la manipulation de masse politico-médiatique nous éloigne chaque jour un peu plus de la  perspective qu’une justice historique soit rendue.

*

Comment en sommes-nous arrivés là?

Nous pensons que Poutine a une part de responsabilité dans la situation actuelle. Il était en position de se faire entendre, néanmoins il n’a jamais vraiment dénoncé au monde les horreurs de l’idéologie soviétique, les massacres, les viols de masse, les pillages, la répression, la terreur, l’hypocrisie de l’égalitarisme, le mythe du prolétariat, etc.

Nous comprenons que Poutine n’ait pas voulu infliger à son pays, déjà à genoux, les indemnisations qu’il aurait fallu verser aux pays que l’Union soviétique avait dévastés, mais sur le plan idéologique, cet homme, qui a été formé par le KGB, a manqué son rendez-vous.

Bien sûr, la Russie elle-même avait été dévastée par le système soviétique, tout comme l’Allemagne par les nazis, mais ce n’est pas une excuse. Poutine n’a pas pu faire face à l’Histoire, et il a axé ses objectifs sur la restauration de la fierté nationale, sans vraiment rendre responsable l’idéologie marxiste des crimes du passé. Il aurait pu faire les deux, et la Russie aurait pu mener la guerre culturelle en continuant le travail de Soljenitsyne, en devenant leader des conservateurs, mais Poutine s’est seulement empressé de combattre militairement l’avancée de l’OTAN, erreur stratégique fatale, et maintenant, c’est trop tard.

Notons que les milliardaires qui sont derrière le parti Démocrate américain, avec le Deep State, sont encore plus responsables que Poutine du désastre idéologique qui détruit le monde libre. Ces puissances maléfiques devraient être jugées pour leurs guerres « pour exporter la démocratie », pour la diffusion de leurs absurdités idéologiques, pour le délire de la cancel culture, du woke, pour leur soutien à tout ce qui est toxique, pour leurs ingérences à l’étranger via les révolutions de couleur.

Actuellement, seule la fin de l’esprit actuel du parti Démocrate aux États-Unis pourrait amener un assainissement, car c’est le point névralgique de la baudruche marxiste et il faut qu’elle se dégonfle à jamais.

Comme les Alliés se sont mis d’accord, jadis, pour le procès, nous aurions besoin de Poutine, d’Orbán, de Kaczyński, de Trump pour un nouveau Nuremberg du communisme, et il faudrait que ces leaders œuvrent ensemble avec les éminences grises des conservateurs pour que le monde aux racines chrétiennes survive.
Nous ne parlons pas simplement de faire un parc d’attraction touristique des Goulags, ou un Musée du communisme comme l’a fait la Hongrie. Il faudrait un vrai procès du marxisme et de ses dérivés.

*

Heidi.news se sent offensé, mais c’est bien sa ligne idéologique, le marxisme culturel, qui instrumentalise à tout-va la Shoah.
Ses adeptes s’en sont servi pour culpabiliser la population et étouffer tous les problèmes insolubles causés par l’invasion migratoire.
Ils font une exploitation abusive du droit d’asile en mettant en parallèle l’invasion actuelle avec l’exode des juifs persécutés sous le nazisme.
Et ces mêmes qui se servent des victimes juives de jadis, détestent les juifs forts et vilipendent les  sionistes, qui préfèrent la protection d’une armée forte à une idéologie de gauche victimaire.

Et vu que les juifs de jadis, ça s’use à force de s’en servir à tout propos, les gauchistes fabriquent artificiellement de nouveaux groupes victimaires pour diviser le monde en « privilégiés » et en « opprimés » et surtout pour instrumentaliser ces nouveaux opprimés, car la lutte pour leurs droits va prouver leur supériorité morale, supériorité qui ne tolère aucune contestation.

Dernière victime en date selon leur délire : c’est la planète entière qui serait opprimée, et son oppresseur serait la civilisation des Blancs, qui détruirait la planète par sa production de CO2 et devrait payer une rançon.

En réalité, le seul danger planétaire, c’est leur pollution mentale.

Et ceux qui soutiennent ces délires, comme Heidi.news, autre représentant assez fidèle de la pensée unique, pleurent lorsqu’il y a retour de boomerang et qu’un lecteur s’énerve dans un commentaire !

Cette belle équipe de chochottes va porter plainte contre les commentateurs pas gentils, mais elle n’a pas une once d’indignation contre la persécution des personnes qui ne pensent pas comme elle sur les réseaux sociaux, contre leur exclusion de l’espace public, ou contre les attaques visant les sites patriotes, souverainistes et conservateurs comme le nôtre.

Notre réalité, la voici. Nous travaillons avec des bénévoles, d’arrache-pied, 365 jours par an, et nous ne coûtons pas un centime à l’État.
Nous subissons constamment des attaques juridiques, des pressions, des menaces, sans parler de la diabolisation, de l’estampillage « d’extrême droite », du mépris, uniquement parce que le camp de la bien-pensance ne supporte pas de ne pas avoir le monopole de l’opinion, ne tolère pas une vue différente sur la société et sur le monde.
Hélas, contrairement à Heidi.news, nous ne disposons pas des services juridiques des ONG subventionnées pour nous défendre,

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Ci-dessous la liste des collaborateurs et -trices de Heidi.news

Serge Michel

Directeur éditorial

Journaliste. Prix Albert Londres de reportage, a été rédacteur en chef adjoint du Temps et directeur adjoint du Monde, pour lequel il a aussi créé Le Monde Afrique. Il est l’un des co-fondateurs de Heidi.news.

Tibère Adler

Directeur de la publication

Avocat, entrepreneur, administrateur de sociétés. Il a été CEO du groupe Edipresse et directeur romand du think tank Avenir Suisse. Il est un des co-fondateurs de Heidi.news.

Jérome Bontron

Directeur artistique

Fondateur et directeur d’un important bureau suisse de création visuelle. Accompagne en 360° l’identité visuelle de projets d’ampleur internationale. Il est l’un des co-fondateurs de Heidi.news.

Paul Ackermann

Rédacteur en chef

A été directeur de la rédaction du HuffPost en France et responsable de l’édition du Figaro.fr. Il a développé la plateforme communautaire de 20minutes.fr et a participé au lancement du Bondy Blog au sein de L’Hebdo.

Nicole Pomezny

Responsable des opérations

Titulaire d’un Master en relations internationales, ancienne coordinatrice romande du think tank Avenir Suisse. Elle dirige les opérations au sein de Heidi.news.

Anne Isabelle Barson

Responsable du marketing

Titulaire d'un master en management des médias, arts et création. Tour à tour consultante en stratégie numérique et Manager communication et marketing dans le secteur public, les services et l'industrie.

Adriane Bossy

Chargée de communication et réseaux sociaux

Titulaire d’un Master en management public et communication politique de l’Université de Genève. Passionnée par l’actualité et la politique suisse, elle a effectué son stage de fin d’étude dans l’entreprise de relations publiques Access Public affairs & Communications.

Lukas Stöcklin

Responsable de la technologie

Ingénieur médias. En tant qu’indépendant, a été en charge de différents mandats dans le développement web et la mise en place de solutions informatiques pour plusieurs clients en Suisse.

Loïc Monney

Assistant Marketing & Business Development

Titulaire d’un Bachelor en Sciences Économiques de l’Université de Neuchâtel. Passionné par le monde de l’innovation et de l’entrepreneuriat. Co-fondateur de Uni’novv, association universitaire visant à unir les individus autour de l’innovation.

Sarah Muehlheim

Senior graphic designer

Travaille depuis de nombreuses années auprès de Jérôme Bontron. En quête d’élégance. Amoureuse du fond et de la forme, soucieuse de la typographie et de l’équilibre des blancs.

Yann Longchamp

Développeur Web

Designer d’interactions et ingénieur des médias. Mets ses multiples compétences au service de projets numérique mêlant différents supports.

Journalistes

Annick Chevillot

Responsable du Flux Santé

Journaliste et auteur de «Poisons quotidiens» pour les éditions Bon à Savoir. A été rédactrice en chef de Femina et cheffe de rubrique société et magazine durant une dizaine d’années.

Sarah Sermondadaz

Responsable du Flux Sciences

Ingénieur de formation et journaliste scientifique, est passée de l’informatique à l’information. Aime tout autant parler data que faire parler les data. A collaboré plusieurs années avec Sciences et Avenir.

Fabrice Delaye

Journaliste

Suit depuis 25 ans l’univers des sciences, de la technologie et des start-up. Collaborateur de L’Hebdo puis de Bilan après avoir été correspondant de L’Agefi aux Etats-Unis en association avec la Technology Review du MIT.

Sophie Gaitzsch

Journaliste

Journaliste, titulaire d’un Master en relations internationales. A auparavant collaboré avec de nombreux médias suisses dont l’ATSLargeur.coml’HebdoLe Temps et La Liberté.

Marc Guéniat

Journaliste

A débuté dans le journalisme en 2007 à la Tribune de Genève, avant de devenir indépendant. Entre 2012 et 2019, a travaillé comme responsable enquêtes auprès de l'ONG Public Eye et s'est spécialisé dans le commerce de matières premières et la corruption.

Florent Hiard

Journaliste

Ancien paléontologue, géologue de formation, un temps enseignant de sciences, de géographie et de mathématiques. Parle autant de l'histoire de la Terre que de la conquête spatiale et de robotique.

Kylian Marcos

Journaliste nouveaux formats

Journaliste, titulaire d'un master en médias numériques du Griffith College de Dublin. Porte un oeil intéressé sur le développement des médias sur le World Wide Web. En charge du développement des nouveaux formats chez Heidi.news.

Lorène Mesot

Journaliste

Après une plongée dans le monde passionnant du vivant et un bachelor de biologie, réalise un master de journalisme. A collaboré avec LargeNetwork et Radio Fréquence Jura.

Yvan Pandelé

Journaliste

Journaliste science et santé, ingénieur de formation. Des avions aux systèmes, des systèmes aux cerveaux, des cerveaux au langage. S'est fait la plume en écrivant sur la médecine et ceux qui la font.

Julien Pralong

Journaliste

Tombé dans la marmite de l'info à la naissance, Julien a été durant près de quinze ans journaliste à la rédaction sportive de l'ATS. Il collabore avec Heidi.news depuis septembre 2020.

Noémie Roten

Spécialiste en économie de la santé

Economiste et diplômée d’un master en philosophie et politique publique a été senior researcher dans le domaine de la politique sociale chez Avenir Suisse. Est aussi co-présidente de l’association ServiceCitoyen.ch.

Olivier Dessibourg

Chroniqueur scientifique

Physicien de formation, multiple Prix Media des Académies suisses, ancien responsable Sciences du Temps, il est l’un des co-fondateurs de Heidi.news, dont il a été rédacteur en chef adjoint jusqu'à avril 2020. Il dirige désormais la communication de la Fondation GESDA.global dédiée à la diplomatie scientifique..

Correspondants

Anne-Sophie Labadie

Correspondante depuis Hong Kong

Après 10 ans à l'AFP, elle collabore depuis 2016 pour des médias francophones depuis Hong Kong, point de chute idéal pour explorer la fascinante Asie.

Salomé Parent

Correspondante depuis Paris

Journaliste freelance, couvre Israël et les Territoires palestiniens pour plusieurs titres de presse francophone. Essaie d’y voir clair dans cet Orient qu’on dit si compliqué.

Matteo Maillard

Correspondant depuis Bamako

Journaliste basé à Bamako. Écrit et photographie entre l’équateur et le Tropique du Cancer. Correspondant du Monde, toujours attaché à la Suisse. Appât idéal: Gruyère ou thiéboudiène. Retrouvez-le chaque jeudi dans Le Point du jour.

Lionel Pousaz

Correspondant depuis Boston

Journaliste et consultant en communication scientifique, basé à Boston. Il a notamment dirigé l’équipe de presse de l’Ecole polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL).

Jade Albasini

Correspondante

Journaliste RP et artiste indépendante. Elle a façonné ses deux carrières entre Berlin et la Suisse. Aujourd'hui, elle travaille pour de nombreux médias dont Le Temps, L'illustré et Le Nouvelliste.

Sophie Woeldgen

Correspondante depuis Beyrouth

S'est tournée vers le journalisme après des études de médecine et d'économie. Est auparavant passée par La Gruyère, la RTS, Le Temps. Voyageuse et photographe dans son temps libre.

Monica Schütz

Correspondante

Musicologue et journaliste. A travaillé avec différentes institutions en lien avec la musique classique en Suisse et au Brésil, partie du monde à laquelle elle reste très attachée. Collabore régulièrement avec la RTS comme animatrice et chroniqueuse.

Jean-Mathieu Albertini

Correspondant depuis Rio

Journaliste indépendant depuis 2015, travaille principalement pour Mediapart, Radio France et à l'occasion pour des médias au long-cours. Se concentre sur le Brésil, qui est de toute façon beaucoup trop grand, mais ne s'interdit pas de faire des sauts dans les pays voisins.

Daniel Eszkenazi

Correspondant depuis Mumbai

Journaliste indépendant depuis 2012, basé à Mumbai depuis fin 2019 après des séjours à Tokyo et Buenos Aires. Il a été correspondant économique du Temps à Zurich entre 2004 et 2012.

Jean-Philippe Jutzi

Correspondant depuis Verbier

Journaliste jusqu’en 2003, plusieurs postes à responsabilités dans la presse écrite romande. Porte-parole de l’Aide humanitaire de la Confédération, puis de la Conseillère fédérale Micheline Calmy-Rey. Membre de la direction de Présence Suisse. De 2013 à 2020, conseiller culturel et responsable de la communication aux Ambassades de Suisse de Paris puis de Pékin.

Romaine Jean

Correspondante depuis Sion

A été rédactrice en cheffe des magazines Radio et TV de la RTS, journaliste, présentatrice du 19.30, productrice et créatrice d’ « Infrarouge » notamment. Membre du Conseil de la Magistrature du Valais, chargée de cours aux HEIP à Paris et présidente de la section suisse de l’UPF.

Caleb Okereke

Correspondant depuis Kampala

Caleb Okereke is a Nigerian journalist based in Kampala, Uganda. He’s worked with the AFP in Lagos and has written for BBC, CNN, The Guardian UK, Aljazeera, and Deutsche Welle. He is the co-founder of Minority Africa.

Nicolas Rouger

Correspondant depuis Tel-Aviv

Journaliste indépendant, rédacteur au quotidien Haaretz, et saxophoniste le reste de la nuit. Branché environnement, technologies (du bitcoin au tracteur) et luttes sociales, il essaie de naviguer les eaux troubles de la routine israélo-palestinienne.

3 commentaires

  1. Posté par Cenator le

    NTD Français
    Guillaume de Thieulloy, éditeur de presse
    “Le régime socialiste en France aujourd’hui est un régime de parasites au sens précis du mot, c’est à dire qu’il est entrain de siphonner toute l’énergie, toute l’intelligence, toute la force, tout le courage français pour ses propres intérêts, qu’on est même pas capable de définir d’ailleurs, parce que une fois c’est la défense des droits LGBT, un fois c’est la promotion de l’avortement partout dans le monde, une fois c’est la spoliation fiscale pour tout le monde, enfin c’est toujours la même chose, c’est on détruit les intérêts de la France pour des choses qui n’ont rien à voir avec la France. La France est un pays riche qui est assassiné par le socialisme. Aujourd’hui, vous avez deux millions de personnes, de français qui vivent à l’étranger pour échapper au matraquage socialiste. La France meurt du socialisme c’est une évidence. Le socialisme, y compris le socialisme promu par des partis de droite malheureusement. ”

    “Notre opposition au communisme, c’est l’opposition à la révolution qui prétend faire en sorte, qu’il n’y ai rien au dessus de l’homme, que les majorités parlementaires puissent changer la nature de l’homme, non les majorités parlementaire n’ont pas ce pouvoir ! ”

    Guillaume de Thieulloy, éditeur de presse et journaliste, s’oppose au communisme qui est contre la loi naturelle et contre nos consciences. Pour lui, le socialisme en France est un régime de parasites qui a assassiné la France, qui siphonne toute l’énergie, toute la force et tout le courage français.
    https://www.youtube.com/watch?v=Sj-pFxBeW9E

  2. Posté par Marc le

    A part quelques un tous les noms sont Suisse ! C’est triste de tous les voir manger dans l’assiette de l’ennemi pour mentir aux Suisses et lad détruire, celle que leurs parents ont créés et gardés contre les invasions divers et les idéologies soit nauséabond soit dangereuses. Ce sont des traîtres, ils ne valent pas mieux que ceux de la 2ème guerre sous Joseph Goebbels. Ces traîtres utilisent les même principes que Goebbels
    Avoid abstract ideas – appeal to the emotions.
    Constantly repeat just a few ideas. Use stereotyped phrases.
    Give only one side of the argument.
    Continuously criticize your opponents.
    Pick out one special « enemy » for special vilification.
    Leurs maître n’est plus Hitler mais Soros ou d’autres cachés à l’ombre des merdias qui avec leurs milliards jouent à dieux.
    Honte à ces pseudo-journalistes, je me demande comment ils arrivent à se regarder dans un miroir sans pleurer. A vomir

  3. Posté par antoine le

     »Les journalistes subventionnés ne réalisent pas que la rançon de la pensée unique et de la censure qu’ils imposent, c’est la HAINE. C’est une réaction normale. »
    C’est de la haine envers leurs lecteurs et auditeurs qui sont en même temps des con-tribuables qui paient des impôts pour les subventionner …
    Arrêtons les subventions et on se sentira beaucoup mieux !
     »Dernière victime en date selon leur délire : c’est la planète entière qui serait opprimée, et son oppresseur serait la civilisation des Blancs, qui détruirait la planète par sa production de CO2 et devrait payer une rançon. »
    Un humain respire et exhale du CO2, quelle que soit la couleur de sa peau …
    Donc accuser que les Blancs de détruire la planète par le CO2 c’est du RACISME !
    NB: Le CO2 n’est PAS coupable du réchauffement climatique !
    Grâce au CO2 la végétation se développe sur Terre !
    http://sites.bu.edu/cliveg/files/2019/02/Chen-NSUST-2019.pdf
    Ne confondons pas CO2 et pollution !

Et vous, qu'en pensez vous ?

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