LesObservateurs.ch, 10 ans déjà, le 1er février 2022.

Une seule demande pour cette 9ème année de l’existence de notre site : des soutiens plus nombreux et massifs deviennent  indispensables face à la terrifiante campagne de censure, de boycott et de condamnations de l’information libre et de la réinformation.
Ndlr. Le lendemain, le 2 février, ce sera l’anniversaire de Uli Windisch.

 

 

 

 

 

 

Une seule demande pour cette 10ème année de l'existence de notre site : des soutiens plus nombreux et massifs deviennent  indispensables face à la terrifiante campagne de censure, de boycott et de condamnations de l'information libre et de la réinformation.

 

Les méthodes ignobles, antidémocratiques et liberticides utilisées contre le Président Donald Trump sont en train de se généraliser partout. Résister à cette nouvelle forme de totalitarisme nécessite des moyens financiers importants. Des exemples concrets seront fournis tout au long de l'année2021.

Pour ce qui est des bilans périodiques, on se référera aux différents bilans mis à jour et  présentés  régulièrement. Voir 1-2 exemples ci-dessous.

Les chiffres au 28.01.2021 : articles publiés et repris : 80428; Commentaires retenus : 261.334  (sur plusieurs millions reçus). 

 

A. Bilan au 1er février 2020.

 

Le site LesObservateurs.ch fête ses  8 ans le 1er février 2020 (MàJ)

La progression  de notre site LesObservateurs.ch depuis sa création le 1er février 2012 se poursuit, création annoncée ce jour-là par la RTS au téléjournal de 19.30 à la  suite d’un pari fait avec le journaliste qui ne croyait pas en la possibilité de cette création  quelques mois auparavant. Pari gagné et promesse tenue mais depuis lors plus un mot, silence radio ou silence TV, malgré notre annonce annuelle et rituelle de chaque anniversaire.

Comme déjà dit à plusieurs reprises, et nous le  redirons encore souvent, le Service public médiatique suisse romand ne parle plus de nous, si ce n’est parfois de manière négative par l’intermédiaire de certains de ses journalistes par exemple. Il faut croire que nos critiques touchent juste. Un Service dit public qui a visiblement de la peine à accepter les critiques pourtant toujours fondées et argumentées. Par contre, ce Service dit public annonce le moindre petit article, événement insignifiant, pet dans l’eau ou anniversaire de telle feuille humoristique de gauche ou de telle autre petite revue confidentielle bienpensante. Plus jamais, depuis le 1.2.2012, je n’ai été invité, moi-même ou l’un ou l’autre de nos contributeurs, dans une émission de ce Service dit public. Nuance, téléphone il y a eu de la part de tel ou tel jeune journaliste de la RTS, une ou deux fois pendant ces huit ans,  qui souhaitait, par rapport à des sujets brûlants largement traités par nous de manière critique, avoir notre point de vue différent au nom d’un pluralisme constamment revendiqué. Malheur leur en a pris car le lendemain déjà on me signalait, de manière un peu gêné, contorsionné, que les responsables des émissions avaient décidé « d’angler autrement » le sujet et que je serai invité une autre fois. L’attente se prolongera donc au-delà des 8 ans !

Nombreux sont d’ailleurs nos lecteurs ulcérés, qui protestent sur notre site contre ce genre censure, car il faut bien appeler les choses par leur nom. Et la censure est clairement politique , idéologique, de la part d’ un univers médiatique très largement dominé par la bien-pensance et le gauchisme, comme dit et démontré à de très nombreuses reprises sur notre site. C’est  là d’ailleurs, faut-il aussi le redire, l’une des raisons de la création de notre site.

Il est à parier que si invitation il devait y avoir, il y aurait certainement mise en situation difficile, gênante, minoritaire, comme doivent le subir très souvent les invités de l’UDC (dont nous ne sommes pas membres, faut-il le rappeler encore une fois, bien que proches sur un nombre importants  de sujets puisque ce parti politique est le seul à être vraiment patriote, souverainiste, pour l’indépendance et la neutralité de la Suisse, contre l’UE mais européen, pour une limitation de l’immigration dans un pays qui compte près de 25% d’immigrés, opposée à une politique d’accueil irresponsable de migrants clandestins et de faux réfugiés, sévérité accrue envers la criminalité étrangère, politique sécuritaire ferme, opposée à une judiciarisation galopante,  pro-famille, et surtout et cela est capital pour nous et pour  l’avenir de la Suisse : inconditionnellement défenseur du système politique de la démocratie directe sérieusement bafouée depuis un certain temps, etc. ).

Le comble, au début de l’année 2020, j’ai reçu un mél du responsable des  experts invités de la RTS  me remerciant de faire partie de leurs experts ! Je ne publierai pas ici ma réponse.

Une fête pour les 8 ans ? Le travail exigé par le site est tellement immense, constant, sans  interruption, sans vrais congés,  fait de très longues journées de travail, qu’il ne nous est hélas pas possible d’organiser une vraie fête, qui pourtant aurait vraiment toutes les raisons d’être. Notre suggestion : quelques lecteurs fortement et constamment présents sur le site ne pourraient-ils pas prendre en charge une telle fête ? L’année 2020 est longue et cela ne doit pas nécessairement  être fait tout de suite.

J’envie le Groupe TV Libertés en France qui fêtera lui le 31 janvier ses 6 ans à Paris. Convié, je dois avec beaucoup de regrets, renoncer à cause de différentes raisons impérieuses et aussi parce que notre site subit toutes sortes d’entraves et de blocages ces jours, en fait pas seulement ces jours. Les acteurs de TV Libertés ont une chance formidable et bien méritée : l’an passé plus de 500 personnes ont participé à cette fête annuelle et elles soutiennent constamment, fortement et massivement  ce groupe TV Libertés de diverses manières. La Suisse romande fait hélas pâle figure à côté d’un tel soutien et enthousiasme.

Nous avons par ailleurs de très belles collaborations avec ce groupe TV Libertés, qui compte, à part la TV, une radio et un site. Quand je suis invité, ce qui est arrivé plusieurs fois, il faut donc aller à Paris pour cela, les entretiens ne durent pas 1’30 mais 25’ et on a le temps de traiter un sujet selon un point de vue différent, non politiquement correct, qui aussi est le nôtre ! Grandeur et petitesse, au sens propre et figuré ! Je dirai que c’est même une vraie honte pour notre Service médiatique dit public, qui fait ce qu’il veut , d’autant plus depuis le refus par le peuple suisse,  mis sous pression et victime d’un immense chantage, d’en finir avec une  redevance obligatoire très chère et qui aujourd’hui fait bien sentir sont  immense pouvoir de domination, un  quasi monopole (6000 employés et un budget de plus d’un milliard). Un service dit public qui n’a en plus  pour ainsi dire de compte à rendre à personne, car même la grande masse des politiciens n’osent pas vraiment critiquer et mettre en cause un tel statut de quasi-monopole, cela même  dans une société qui se dit pourtant une démocratie exemplaire. La Suisse, démocratie exemplaire ? Peut-être en partie comme système politique mais en aucun dans le domaine du Service public médiatique. Les rares critiques viennent quasi exclusivement de l’UDC, dont les membres, quand ils sont invités, se retrouvent comme dit souvent à 1 contre 3 ou 4 parfois et sont en plus souvent  défavorisés, voire ridiculisés, moqués par des journalistes gauchistes largement dominants et sans complexe.

Il y aurait ici un travail de protestation  et de contestation à organiser par nos lecteurs. Ces derniers pourraient  faire appel à une aussi grande inventivité et créativité que les manifestants illégaux et autres agitateurs Verts pastèques, par exemple. qui envahissent des banques pour y  jouer  au tennis et qui en plus se vantent, de pair avec leurs avocats, un par manifestant, et parfois même avec les  juges, d’avoir été innocentés et  portés en triomphe après le procès. Pourquoi l’imagination au pouvoir devrait-elle être le privilège des illégaux et autres agresseurs et transgresseurs?

A côté de « l’urgence climatique », qui doit elle aussi pouvoir être critiquée, il y a une vraie URGENCE DE DEMOCRATIE MEDIATIQUE, surtout dans une  Suisse qui vante quotidiennement  sa démocratie et son pluralisme.

Il faut faire apparaître et connaître  au grand jour cette URGENCE DE DEMOCRATIE MEDIATIQUE de manière encore plus spectaculaire puisqu’on ne veut pas l’admettre et que l’on fait tout pour  la nier énergiquement, alors que l’absence de pluralisme (qui ne se réduit nullement à la diversité, tant évoquée pour masquer l’absence de vraie pluralité politique et idéologique) est patente, omniprésente et quotidienne, au point que même les citoyens les plus ordinaires nous disent ne plus supporter cette partialité idéologique constante.

Répétons toutefois que malgré cette situation totalement inadmissible, et sans doute à cause d’elle,  notre site continue d’aller très bien et poursuit allègrement son développement. De nouveaux développements sont même prévus ; ils seront révélés en temps voulu. Pas de promesses de politiciens, même si ces derniers pourraient nous soutenir au nom de ce pluralisme médiatique tant nécessaire et ne pas se contenter de venir nous lire sans trop oser le dire.

Pour continuer dans la même voie et offrir les nouveaux développements prévus, il nous faut absolument des soutiens plus nombreux et massifs, de toutes sortes, aussi donc en espèces sonnantes et trébuchantes. Il nous faut absolument pouvoir engager cette fois 1-2 personnes à temps partiel et rémunérées, certes pas autant et aussi massivement que les ONG fiancées par Soros, mais quand même correctement  et permettant de vivre de ce travail. Tel est un de nos souhaits les plus vifs  et impérieux.  Nos visiteurs peuvent aussi nous aider à trouver de telles personnes. Parmi les compétences requises il y a évidemment une très bonne connaissance de la langue français, une capacité attestée et une pratique de rédaction, une connaissance pratiques des réseaux sociaux, la création d’événements et une expérience des sites internet.

Merci d’agir pour nous soutenir concrètement, en tout, et ne pas se contenter de profiter de notre site qui, sans avoir les moyens du Service dit public, participe néanmoins à une vraie pluralisation de l' information et à la nécessaire réinformation, sans prétendre vouloir  « former et éduquer » le peuple.

LesObservateurs.ch ont publié et repris plus de 72.000 articles, retenu plus de 250.000 Commentaires (sur plusieurs millions), et comptent toujours entre 10.000 et plus 20.000  visiteurs uniques quotidiens, et plus de 82.000 abonnés sur Facebook.

Finalement, le plus important : un nouvel et immense merci à tous nos contributeurs, à leur immense travail, engagement  et dévouement sans lesquels notre site n’existerait plus. C’est le plus beau cadeau car demain, 2 février 2020, en plus des 8 ans du site, c’est aussi mon propre anniversaire !

Uli Windisch, 1er février 2020.

PS. Pour les lecteurs qui voudraient davantage d’éléments sur les caractéristiques et les objectifs de notre site LesObservateurs.ch, je rappelle un seul exemple d’article plus détaillé (il y en a de nombreux) sur ce sujet et dont j’indique ici simplement le lien :

https://lesobservateurs.ch/2018/08/16/lesobservateurs-ch-qui-quoi-comment-pourquoi-a-quelle-fin-et-aussi-la-lutte-contre-les-traitres-et-les-fascistes-de-gauche/

 

 

B. Rappel. LesObservateurs.ch : Nouvel appel aux dons et  nouvelle Mise au point urgente. 3.03.2019. MàJ.

 

Les différents bilans intermédiaires de notre site Lesobservateurs.ch ont montré une progression importante  et un succès qui dépasse toutes nos attentes, cela depuis sa création il y a un peu plus de six ans.

Mais plusieurs problèmes sérieux et certains graves se posent. Cela est aussi  le cas pour toute une série d’autres sites  faisant partie du courant de la Réinformation.

Un seul exemple : le cri de détresse du site de grande qualité Boulevard Voltaire qui a un impact  considérable :

« Les ennemis de la liberté d’expression sont en train de tirer à boulets rouges sur votre site d’information libre … C’est un mouvement de grande ampleur…des groupes d’activistes  d’origine américaine se sont carrément donné pour mission d’empêcher le financement de sites  et organisations politiquement incorrects…Depuis des semaines , un groupe d’activistes anonymes (les « Sleeping Giants ») se livre sur les réseaux sociaux à des opérations d’intimidations pour empêcher les annonceurs de passer leur publicité sur notre site bvoltaire.fr…Ils agissent de la manière la plus abjecte qui soit… », etc., Paris, Communiqué de BdVoltaire, 20.10.2017

Bien d’autres exemples pourraient être cités, mais venons-en aux problèmes de notre propre site LesObservateurs.ch :

...Ensuite, la faiblesse des dons malgré la totale gratuité encore  en vigueur pour l’instant. Nos multiples rappels à ce sujet n’ont eu que peu d’effet. Cela ne peut continuer ainsi. Le site doit parvenir à s’autofinancer, uniquement avec les dons et la publicité, sans que les contributeurs eux-mêmes continuent à contribuer en payant de leur poche : certains qui le faisaient ne le peuvent tout simplement plus, notamment suite à la péjoration de leur situation financière personnelle.

Il est tout de même incroyable que des personnes qui viennent tous les jours sur notre site n’ont jamais versé le moindre centime tout en faisant des dépenses inconsidérées quotidiennement et en finançant les médias politiquement corrects par l’achat régulier de leurs produits et des abonnements! Des dons de l’ordre de frs. 20.-, 50.-, 100.-, 200.-, voire davantage, n’auraient rien de scandaleux et deviennent indispensables. Sans cela le passage au paiement deviendra, cette fois ci, vraiment inévitable. Un très grand merci toutefois aux quelques rares lecteurs qui ont fait des dons parfois même supérieurs  à ces montants et à tous les autres donateurs aussi bien sûr.

Si ce nouvel appel aux dons devait rester sans effet massif, nos lecteurs qui se dispensent de tout don provoqueront un système payant ; ils pourront alors se contenter des médias bien-pensants, payants et dotés de moyens, comparativement, gigantesques, même s’ils pleurent tous les jours  en jouant aux victimes et en prétendant qu’ils sont vitaux pour  la survie du pays, à sa cohésion, au fédéralisme, au pluralisme (ne riez pas), etc. ; cela tout en étant massivement orientés idéologiquement dans le sens d’une minorité politique arrogante et qui n’a rien de pluraliste. La menace, sans gêne aucune, «d’extinction des lumières » et d’un « désert médiatique » en cas de fin du fameux monopole du Service dit public a fait rire bien du monde mais a réussi à convaincre.

Nous ne mentionnons pas, en plus, le coût, lui aussi très considérable, de la maintenance informatique et des attaques informatiques massives, les plus scandaleuses et perverses, sans doute effectuées par de grands défenseurs de la liberté d’expression. Passons aussi sur les accusations totalement mensongères  concernant les prétendus faux, les dites Fake News et autres Décodex, très vite massivement ridiculisés et retournés contre eux-mêmes. Sur près de 62.000 articles publiés et repris en six ans, combien d’erreurs chez nous ? Certains ont cherché vainement pendant des jours et des jours pour en trouver, ceux-là même notamment qui passent quotidiennement et massivement leurs infos aux multiples filtres du gauchisme, de la bien-pensance et autre politiquement correct. D’autres nous envoient délibérément de vrais faux, des Fake News, pour nous piéger  et nous faire perdre du temps. D’autres encore scannent régulièrement la totalité de notre site afin de trouver de quoi nous attaquer et nous dénoncer. Avec un succès égal à zéro mais réussissant tout de même à nous nuire. Cela mérite sans doute aussi un diplôme de défenseur exemplaire de la liberté d’expression.

Tout est fait pour tenter de nous nuire et de bloquer notre site ; sans parler du boycott systématique des médias officiels bien-pensants et grassement lotis par nos impôts. Un service public pour tous les publics ? Alors que nous ne sommes plus jamais invités depuis les six ans dans ces médias dits de Service public, si ce n’est  pour tenter de nuire à notre image. En fait cela est totalement scandaleux, et en plus contraire aux prétentions répétées en boucle avant la votation sur No-Billag du 4 mars 2018.

Pourtant, avec notre inattendue et très considérable audience, nous participons aussi à une vraie information du public, sans prétendre abusivement  « former » et « éduquer » la population ! Oui, nous osons parler de Réinformation en nous opposant à la bien-pensance médiatique officielle et massivement  financée par nos impôts et des taxes très importantes imposées à tous de manière contraignante, obligatoire. Or, pour nous, pour notre de site de réinformation par exemple, rien, aucun soutien financier pour notre  participation, pourtant bien réelle, au pluralisme médiatique! Que des tentatives de nuire de manière perverse.

Il faut vraiment que nos lecteurs réalisent cette  situation et en tirent des conséquences concrètes, sonnantes et trébuchantes, s’ils veulent continuer à recevoir une  information différente et à si peu de frais (un euphémisme ). Or ce travail bénévole a quand même un coût, et même très important.

Rappel : si un grand nombre de contributeurs  sont totalement bénévoles (une immense reconnaissance à eux),  l’engagement de rédacteurs rémunérés, au moins à temps partiel, va devenir indispensable étant donné l’énorme travail que suppose le développement ininterrompu du site ; ce développement aussi a un coût important. De même, nos lecteurs n’ont apparemment aucune idée non plus de l’ampleur du travail administratif et de son coût croissant.

Autre problème grave et dispendieux en temps : les Commentaires. Beaucoup de sites n’ouvrent même pas leurs articles aux Commentaires des lecteurs et nous les comprenons très bien aujourd’hui. Malgré nos avertissements multiples, cette rubrique des Commentaires devient pour certains un vrai défouloir, inacceptable et scandaleux, et cela est très injuste par rapport aux nombreuses personnes qui prennent la peine de rédiger de remarquables Commentaires, très riches, pluriels et bien argumentés. Cela constitue un complément remarquable aux  articles. Et le ton humoristique de certains provoquent nombre d’éclats de rire plus que bienvenus devant nos écrans.

Le problème : les commentaires représentent  une masse énorme  et donc un travail de tri gigantesque. Là aussi la qualité risque hélas de faire les frais de la vulgarité, grossièreté, du racisme, de l’antisémitisme, etc. Sur les millions (oui des millions) de commentaires, spams, etc., reçus, seuls 220.000 ont été publiés, et c’est ce tri qui occupe plusieurs personnes, toujours bénévoles et qui pourraient consacrer davantage de temps à la publication. Pour certains Commentateurs, cette rubrique devient un défouloir quotidien, parfois obsessionnel, près de 10 commentaires par jour. Nos avertissements ne servant à rien, nous préparons une procédure de bannissement  systématique et tout commentateur va devoir  nous fournir sa véritable identité (tout en pouvant demander à être repris sous pseudonyme pour des raisons valables). Cela aussi enlèvera hélas  une dimension importante au site, une nouvelle fois  à cause de personnes malfaisantes, avec fréquemment l’intention de nous nuire.

Invitation urgente : que bien des commentateurs choisissent la voie plus gratifiante pour eux de la rédaction d’articles à nous proposer plutôt que l’éructation sous l’emprise de sentiments nauséabonds, ici le terme convient vraiment. Ils doivent savoir qu’ils nuisent aux commentateurs de qualité. Minable. Ces propositions d'articles sont à envoyer directement à l'adresse e-mail du site.

Autre demande impérative : pour nos remarquables contributeurs et commentateurs, une demande insistante : une relecture systématique de leurs textes car nous ne disposons pas de correcteurs (nous ne pouvons pas non plus nous en offrir, contrairement aux médias officiels bien-pensants qui ont du personnel en très grand nombre et surpayé. Cette autre activité nous prend elle aussi beaucoup de temps ! Les commentaires et les articles mal écrits, à la va vite, seront eux aussi de plus en plus purement et simplement supprimés. Cela aussi prend beaucoup de temps.Il en va aussi de l’image de notre site.

Nous serions vraiment désolés de devoir passer à un système payant et nous répétons que nous n’avons plus de temps à perdre avec ceux qui nous en font perdre beaucoup. Mais encore une fois, un merci incommensurable à tous ceux qui nous aident, participent activement, concrètement, qualitativement, constamment et bénévolement.

La réparation des attaques massives et scandaleuses contre notre site a elle aussi un coût très important et ces attaques s'amplifient.

Sans vos dons nous ne survivrons pas.

Merci d’avance.

Uli Windisch, rédacteur en chef ,23 novembre 2017; mise à jour le 9 juin 2018

PS. En réponse à une question de visiteur : le coût du site est actuellement de frs 50.000 à 70.000 env.  par an ; s'il fallait payer les contributeurs bénévoles ce serait entre frs 500.000.- et 600.000.- par an et nous n'existerions plus depuis longtemps.

Il nous faut pourtant envisager en plus d'engager  des contributeurs rémunérés, certes modérément et à temps partiel, étant donné l'extension ininterrompue du travail nécessaire. Cette précision est aussi un appel à candidatures, en plus de ce nouvel appel aux dons. 

 

 

C. LesObservateurs.ch : Qui, quoi, comment, pourquoi, à quelle fin ? Et la lutte contre les traîtres et les fascistes de gauche, 16.08.2018. MàJ : 30.01.2020

Réponses à quelques questions qui reviennent constamment à propos de notre site.

Les Observateurs.ch ne sont pas une énième revue politique ou littéraire faite par et pour les élites, réservée à un public restreint de spécialistes, à portée confidentielle et sans impact politique  sur l'orientation générale de notre société. Cela doit constamment être répété.

Le pari était de faire un site largement accessible à des publics très divers avec un objectif tout aussi  clair : bien sûr lutter contre le bien-pensance, le politiquement correct et le gauchisme omniprésents et largement dominants dans les milieux politiques, culturels et les médias, ces derniers-les médias- relayant et privilégiant systématiquement les premiers et avec lesquels ces mêmes médias sont en osmose. D’où le fameux fossé entre la base de la population et les « zélites », largement bien-pensantes et n’hésitant même pas à ne plus tenir compte de la majorité de la population, si ce n’est pour la mépriser, voire pour en parler comme d’une « lèpre ». Mépris pour ceux qui pourtant ont construit nos pays ; et à aller jusqu’à parle du nécessaire  « sang neuf » des migrants, migrants qui n’ont dans leur quasi-totalité rien à voir avec des réfugiés ; mieux, qui n’ont pour beaucoup aucune qualification et dont un grand nombre sont tout simplement des criminels, à qui on a sans doute simplement ouvert les prisons, comme l’ont déjà fait nombre de dictateur; en sachant qu’avant de partir ont les a sans doute encore  entraîné à revendiquer tout ce qui leur plaît au nom du fait que leurs pays d’origine auraient été exploités, pillés, etc. par nos pays.

Nous lutterons de toutes nos forces pour que la Suisse ne continue pas à glisser davantage encore vers une Suisse socialiste, courant de plus en plus envahissant et dominant en matière politique et culturelle et qui réussit, à force de monopole et de propagande médiatique, à influencer les sensibilités collectives pourtant nullement acquises a priori à de telles tendances de fond, souvent implicites et non conscientes, mais très efficaces à la longue, même auprès de ceux qui s’en défendent !  C’est un phénomène à la fois d’influence profonde, parfois inconsciente, même niée, et d’aveuglement parmi les plus réussis dans nos sociétés à monopoles bien-pensants.

L’illustration concrète et quotidienne de l’orientation de gauche des médias et tout particulièrement de ceux du Service public, largement dominante, et excluant massivement et par tous les moyens possibles, les points de vue opposés, conservateur, traditionnel et patriotique ( même si par de rares concessions on cherche à faire croire le contraire) constitue un autre fil conducteur de notre site.  Par rapport à notre site , le boycott est évident , alors que nous participons nous aussi et de manière plus que marginale comme  animateur du débat public.

Les effets de cette réinformation se font paradoxalement davantage sentir dans d’autres pays que la Suisse, des pays où l’on assiste depuis peu à de véritables prises de pouvoir de ces visions du monde patriotiques, conservatrices, prônant des valeurs plus traditionnelles et naturelles.

Ce paradoxe devra être analysé plus précisément pour la Suisse puisqu’il empêche de  vrais changements politiques au niveau des différents pouvoirs. Il s’agit bel et bien d’une véritable perversion des fondements du système politique suisse, fondements parasités par les pouvoirs bien-pensants afin d’imposer cette fameuse dictature des minorités à l’ensemble de la population, toujours avec le relais pavlovien des médias de gauche encore plus bien-pensants.

Notre  système politique rend impossible un phénomène politique comme la victoire du président Trump et le changement total de société qui est en cours.

Il faut en prendre acte, en tirer les conséquences et chercher de nouveaux moyens pour combattre et vaincre ces monopoles multiples. Oui une quasi-dictature bien-pensante de type socialiste, omniprésente, s’est installée en Suisse, totalement contraire aux fondements démocratiques, pluralistes et prévus pour la participation de tous. Cela paraît exagéré, absurde, irréel, la preuve d’une folie, etc.,   ce que tout ce monde bien-pensant dira, toujours sur le mode du dénigrement et du mépris, alors qu’ils savent que c’est la vérité. La seule question : comment contrer encore plus efficacement et renverser ces différents pouvoirs monopolistiques,  illégitimes.

Nous lutterons dans toute la mesure de nos moyens contre des autorités prêtes à renoncer à la plupart  des fondements de notre système politique pour  accepter les conditions posées par exemple par  l’UE et se soumettre à cette dernière ; cela est en cours au moment même où l’autoritarisme et même le totalitarisme  de cette UE, sont maintenant activement contestées par plusieurs pays qui refusent avec fermeté et détermination la marche dans cette direction, tout en voulant néanmoins une autre Europe, comme nous aussi et depuis longtemps. Nous militons en effet depuis longtemps pour une Europe des patries, démocratique, participative et fédéraliste (au sens suisse du terme, à savoir décentralisée et non pas encore plus centralisée).

Le plus grave  en ce moment est le fait que les autorités  politiques et autres (toujours à l’exception de l’UDC dont nous ne sommes pas membres et regrettons qu’elle soit seule à vouloir défendre de manière inconditionnelle  le modèle politique suisse historique dans sa totalité (ce qui n’exclut pas bien sûr certaines adaptations nécessaires) commencent à ne plus respecter la démocratie directe, et donc la volonté du peuple, allant  jusqu’à ne plus appliquer les résultats des votations populaires qui vont dans un sens opposé à leurs souhaits et à celui de l’UE.

Il s’agit d’une véritable trahison et nous pensons que le terme de traîtres est parfaitement justifié pour désigner ce refus des autorités de continuer à défendre inconditionnellement les fondements les plus essentiels de la Suisse qui ont permis à notre pays de devenir ce qu’il est aujourd’hui, après des siècles et des siècles d’application de ses fondements.

Aux politiques, médias et journalistes qui qualifient les citoyens qui ont les mêmes exigences que nous  de passéistes, de réactionnaires, de nationalistes étriqués, de populistes, et surtout «d’extrême droite » (terme adoré surtout par les médias et la gauche, ce qui revient souvent au même) nous répondrons dorénavant en les qualifiant tout simplement de traîtres  à la patrie et de fascistes de gauche et cela systématiquement et constamment.

Car ces traîtres et ces fascistes de gauche savent parfaitement que les qualificatifs qu’ils utilisent pour nous désigner et tenter de nous discréditer sont démagogiques, totalement mensongers et ont pour seul but de nous discréditer auprès de la population, population qui les déteste aussi, et de nous faire taire. En utilisant des termes aussi graves nous nous mettons simplement au même niveau qu’eux et cela en tout cas jusqu’à ce qu’ils acceptent des débats de fond sur ces sujets plutôt que la minable invective gratuite, caricaturale, simpliste, mensongère, indigne d’une activité politique et médiatique réellement au service du pays, invective d’ailleurs inefficace et tout au plus susceptible de créer des tensions politiques de plus en plus grave dans la population, car cette dernière ne peut pas non plus accepter d’être ainsi traitée, stigmatisé, dénigrée, méprisée, voire « racisée », un autre terme favori de la pauvreté et fausseté révoltante de  leur langage, mais qui convient mieux pour eux-mêmes que pour les citoyens exemplaires qu’ils méprisent tout en les félicitant quand ils votent comme eux ! Minables, cessez votre comédie !

Retour à la spécificité médiatique de notre site LesObservateurs.ch.

Pour nous, lors de la création du site, il était  capital de ne pas devenir une publication confidentielle réservée à quelques initiés déjà convaincus. Sur ce point aussi il s’agit d’une réussite puisque, contrairement à des revues confidentielles et fières de l’être, nous touchons entre 5.000 et 15.000 visiteurs uniques par jour, après 6 ans de travail ininterrompu tout de même. Et chaque jour environ 60% sont des lecteurs différents.

Nous nous battons donc pour participer au sauvetage de la Suisse, modèle historique et de plus en plus envié, sauf par l’UE et nos soumis eurolâtres, et pour lutter contre ce monopole médiatique et journalistique de gauche insupportable, même dans le Service dit public, monopole totalement contradictoire avec un autre fondement essentiel du modèle suisse : le pluralisme, la liberté d’information et d’expression, le débat vraiment démocratique ; oui, même en Suisse on tente de plus en plus d’étouffer ces traits constitutifs politiques fondamentaux, tant désirés partout, et qui doivent continuer à nous caractériser. C’est l’étranglement délibéré de ces fondements qui est par exemple à la base du rejet de la « classe politique » et de la « haine des journalistes ».

Notre travail critique a aussi pour objectif de remédier à ces graves tendances dont les acteurs cités ci-dessus ne semblent pas vouloir prendre acte, et encore moins reconnaitre leur responsabilité dans leur engendrement.

Comme tous les aspects que nous traitons dépassent très largement la seule Suisse, nous espérions en plus une  audience internationale. Sans trop y croire. Mais comme les phénomènes insupportables et inacceptables contre lesquels nous luttons touchent en fait tous les pays, cette audience internationale s’est vite ajoutée à la nationale et cela au point de devenir plus importante que la nationale ! Totalement inattendue, c’est aussi le résultat d’années d’engagement total et de liens avec nombre d'autres sites de réinformation, francophones notamment.

                        Les attaques contre notre site : un exemple et un cas d’école

Plus notre audience et notre succès grandissent, plus les attaques sont violentes,  de type totalitaire même

L’exemple d’une « recherche universitaire » typique  du gauchisme marxisant des sciences dites « humaines » qui s’attaque avec virulence et fanatisme à notre site.

Ces chercheurs veulent nous envoyer dans l’enfer de la droite de la droite de la droite… Ils font  de la politique en prétendant faire de la science ! MDR.

Cela en dit une nouvelle fois long sur une partie des dites « sciences humaines ».

Un mot de plus tout de même mais pas 30 pages comme en compte leur texte, résultat de recherches de plusieurs chercheurs pendant de nombreux mois et aux frais et salaires généreux  de qui ?

J’ai pourtant déjà expliqué maintes fois que j’avais diminué fortement  mes activités universitaires (pas totalement, car à ma grande surprise je suis toujours sollicité dans ces milieux, il est vrai surtout à l’étranger et je continue mes recherches ) car je ne pouvais plus admettre le dévoiement politique, médiatique et universitaire actuel en ces matières et voulais intervenir plus directement au niveau médiatique, public et politique, au moyen d’internet afin de contribuer aux changement intellectuels, politiques  et médiatiques en cours et qui me semblent absolument indispensables afin de pouvoir continuer à vivre dans nos sociétés qui étaient exemplaires et partout enviées, et aujourd’hui vilipendées, attaquées au point d’être fragilisées, menacées dans leur existence même,  et cela avec la complicité de multiples acteurs institutionnels de nos propres sociétés.

Voyons, un peu, un tout petit peu, ce qu’est cette « recherche » de la revue française marxiste Réseaux consacrée à notre site LesObservateurs.ch ?

Chercheurs marxistes ? Ce n’est pas seulement nous qui le disons. Même le Journal Le Temps, pas spécialement de droite a relevé cette omniprésence dans les universités, cette fois à propos de l’Université de Lausanne . « L’Université de Lausanne reste un foyer pour les marxistes », Le Temps, 5.5.2018.

Titre et auteurs de la recherche en question : Thomas Jammet et Diletta Guidi :«Observer les Observateurs, Du pluralisme médiatique au populisme anti-islam, analyse d’un site de « réinformation » suisse et de ses connexions », Revue Réseaux, vol 2, no 202-203, p.241-271. Le premier chercheur vient d’une université française, la seconde de celle de Fribourg.

Version en ligne : https://www.academia.edu/33601884/OBSERVER_LES_OBSERVATEURS_Du_pluralisme_m%C3%A9diatique_au_populisme_anti-islam_analyse_d_un_site_de_r%C3%A9information_suisse_et_de_ses_connexions

Rappelons que le langage est ici typique de certains travaux dits de sciences sociales, à savoir une terminologie  qu’il faut relire plusieurs fois pour tenter de comprendre, même par des personnes « proches du sérail ». Il s’agit en fait de s’entreparler comme dans une secte ; notre travail, par contre, vise et réussit à  toucher un vaste public toujours considéré par nous comme n’étant pas idiot, même si non initié au jargon de bien des sciences dites humaines.

Allez, 2-3 citations : … un docte professeur d’université considéré comme un spécialiste(c’est donc moi UW qui suis visé) :« cristallise les thématiques les plus en vogue dans ce qui est couramment qualifié de « réacosphère » ou de « faschosphère ».  Couramment qualifié ? Par qui ? C’est plus fort qu’eux, d’emblée il faut diaboliser.  Pour nous, en revanche, ces antifascistes sont les nouveaux fascistes.

Ensuite ça bégaie :  : « En montrant comment ce site se rapproche de plus en plus nettement de la mouvance  de l’extrême droite… ». On y est de nouveau!

« La question onomastique demeure largement ouverte ». Alors là tout le monde saisit immédiatement.

Les socialistes seraient ma bête noire. Pour une fois c’est vrai mais plus compliqué : je ne veux pas d’une Suisse  au monopole sociétal et politico-médiatique socialiste, alors ça, NON, et je continuerai à me battre de toutes mes forces là-contre, tout en étant pour un vrai pluralisme, contrairement à eux.

LesObservateurs.ch « adopte progressivement une posture caractéristique du discours « néo-réactionnaire »…. Nous voilà redéfinis encore une fois sous un autre angle. En général dans la démarche scientifique on trouve des illustrations empiriques ; ici niet, juste des affirmations, des tentatives de noircir, pardon de brunir, ceux qui osent dire la réalité, toute la réalité, en fait ils procèdent par « stigmatisations », tant dénoncées par ailleurs.

Notre site illustre aussi « les porosités idéologiques »  en marche en Europe ». C’est pas beau ça ?

La meilleure : ces chercheurs-idéologues semblent regretter que contrairement à la France on ne puisse nous soumettre à une « instance de régulation ».

Chercheurs-idéologues, et en plus flics du NET et de la pensée? :

« Il profite par ailleurs de l’absence d’une loi sur les médias en Suisse, qui lui permet de revendiquer un traitement journalistique de l’actualité sans avoir à s’en justifier auprès d’une instance de régulation. En effet, si la notion de site de presse en ligne fait l’objet d’une définition juridique en France depuis la promulgation de la loi « Hadopi 1 » de 2009, il n’en existe pas d’équivalent en Suisse (Barrelet et Werly, 2011) », p11.de l’article de 30p. Ils oublient qu’il n’est pas nécessaire d’être journaliste pour écrire sur le NET et que nous voulons délibérément le moins possible de journalistes. Beaucoup de personnes sont plus cultivées que les journalistes et savent écrire en tout cas aussi bien qu’eux.

Là ça devient grave et tout cela au nom de la science. Ils rêvent donc que l’on nous interdise ?De nous soumettre à de nouveaux pouvoirs de censure? Voilà une vraie attitude de « chercheur ». Sciences sociales ou police de la pensée ?

Si ces allumés avaient les pleins pouvoirs ? Ils l’ont déjà massivement dans les Universités et viennent en Suisse car 4 à 5 fois mieux payés qu’en France, selon le grade universitaire atteint, pour ensuite encore tenter d'interdire la liberté locale!

A propos d’argent, ces chercheurs ne manquent pas de signaler que deux journalistes qui avaient participé au site lors de sa création et qui l’ont quitté. Oui c’est vrai mais ce qu’ils ne disent pas c’est que l’un d’eux est venu uniquement parce qu’il y avait de l’argent au début et qu’il espérait en retirer un vrai beau gros salaire de journaliste. Ce qui était totalement inconcevable. Quant à l’autre que je ne connaissais pas mais qui m’avait été recommandé comme étant "de droite", j’ai réalisé après peu de temps qu’il venait en Porche  aux réunions et qu’il me téléphonait depuis son bateau! Oui, il y a très peu de journalistes de droite et surtout convaincus et prêts à se battre. J’oubliais : je ne savais pas non plus qu’il avait été viré d’un quotidien établi.

Enfin, ces chercheurs-idéologues ont cherché et citent tous les aigris et frustrés, ayant créé des blogs que quasiment personne ne consulte, mais qui passent beaucoup de temps à s’acharner sur nous et à tenter de nous dénigrer, comme le font même des médias officiels nationaux et même internationaux et d’autres prétendus Centres de recherche sur les médias qui affirment, toujours sans preuves concrètes, que nous diffusons des « Fake news ». Jamais on nous donne des exemples concrets. Nous attendons toujours.

Jamais ils ne citent les innombrables messages positifs, laudatifs,  nous encourageant et nous suppliant de poursuivre un travail estimé indispensable au milieu du marais politico-médiatique bien-pensant.

Combien de fausses nouvelles sur les 57.000 article parus sur notre site? Certains scannent en permanence notre site depuis 2012 en espérant enfin trouver une fausse nouvelle.

Combien de vraies fausses nouvelles et de nouvelles tues ou biaisées idéologiquement chez les  médias dits de référence? Nous attendons toujours un tableau comparatif.

Ces accusations sur fond de marxisme nous rappellent une autre accusation mensongère, celle d’un  « spécialiste de l’extrême droite », un certain Hans Stutz :

«Ma préoccupation augmente concernant la présence d’extrémistes de droite, en particulier en Suisse romande, où la «fachosphère» est très active, du blog «Les Observateurs au PNS ».( https://lesobservateurs.ch/2017/01/20/un-specialiste-de-lextreme-droite-redoute-le-succes-des-observateurs-ch-sur-internet/)

Ce même "spécialiste", en fait un idéologue gauchiste, est aussi connu pour ses divagations concernant le drapeau suspendu dans le carnotzet de Oskar Freysinger.

Nous, ce que nous craignons, sérieusement cette fois, et sur des bases solides, c’est que les gauchistes et autres marxistes continuent à garder des pouvoirs aussi importants notamment parmi les journalistes, dans la recherche et l’édition, et en plus constamment et systématiquement soutenus et relayés par les médias. Voilà le vrai danger pour la démocratie, la liberté et le pluralisme.

Après des mois et des mois de recherche orientée par leur obsession idéologique, voilà donc quelques « résultats scientifiques » de leur travaux  et pour lesquels il a fallu demander main forte aux chercheurs français de la même obédience. On comprendra encore mieux notre choix de passer à un site d’information sur le NET quand on sait que ce genre de revues sont lues  par quelques dizaines d’autres chercheurs pensant comme eux. Le reste des lecteurs, un peu plus important, provient surtout des étudiants qui sont obligés de lire ce genre d’articles dans les séminaires et surtout pour les examens, situation où il ne sera pas question de contester la doxa gaucho-marxiste des maîtres penseurs. Je pourrais citer des noms…

Cela dit, si une telle « recherche scientifique » peut donner envie aux étudiants, une fois passés leurs examens, et aux autres lecteurs, d’aller voir ce qu’est réellement notre site tant mieux ; peut-être réaliseront-ils encore mieux la vision idéologiquement bornée et limitée de leurs enseignants ( les étudiants ne sont pas dupes mais donc contraints par la perspective des examens au cours desquels il faut savoir devenir, du moins pour quelques instants, de gentils perroquets).

Le leitmotiv de l’étude est donc comme  vous avez déjà pu le deviner, que notre site  véhicule des idées « proche de… » ? mais voyons de l’extrême droite. Bravo les artistes. En fait, artiste est un métier difficile. Mea culpa.

Tout ça pour ça !Je tiens tout de même à préciser qu’avant de créer LesObservateurs.ch j’ai écrit une vingtaine de livres de sciences sociales et politiques qui restent des références et dont une personnalité au-delà de la politique a écrit que je faisais "une sociologie sans idéologie".

Mais en voyant ce que sont devenues  une grande partie des «sciences humaines», on comprendra que si l’on veut impérativement agir sur la société, on ne peut se contenter de faire partie d’un groupement de personnes qui ressemble davantage à une secte autoréférente publiant des revues confidentielles sans aucun impact sur les très graves menaces qui pèsent sur nos sociétés actuelles, et pour qui l’essentiel de l’activité consiste à condamner, à dénigrer, à stigmatiser, à donner à haïr (oui il y a de cela chez ces marxistes coupés du réel et voulant interdire ceux qui pensent autrement),  plutôt  que de vouloir participer au débat public sur les problèmes les plus brûlants et à leur solution. On comprendra que l’exil hors de ces univers stériles devient une nécessité vitale ; la création de sites en ligne le permet largement, à condition évidemment de s’y engager totalement.

Une énième illustration de la rage accusatrice de ces marxistes allumés et en chambre :

« Si Internet a le mérite de donner une voix aux opinions écartées par les standards de l’information publique, il ouvre aussi la voie aux rumeurs et théories du complot les plus variées, que ce vocable de la réinformation légitime dramatiquement ».

Ce chapelet d’accusations complètement folles, délirantes et mensongères montre ce que peut devenir parfois la prétendue recherche en sciences humaines ayant attrapé la rage de l’idéologie gaucho-marxiste .

L’on sait à quelles catastrophes humaines de masse une telle  idéologie peut conduire lorsqu’elle est transposée en programme et activité politiques. Dans ce cas,  on ne se contente plus de vouloir interdire mais on passe à une autre étape dont les terrifiantes conséquence sont connues. Sans entrevoir le pire, il faut aussi rappeler à quel point ces idéologues  restent entre eux et ne tolèrent aucun chercheur qui aurait un regard critique à leur égard, aucun pluralisme. La menace serait trop forte, mortelle. Il en va de leur survie.

Mais ils ne doivent pas oublier que  les murs les plus hauts, même gardés par des miradors, finissent par tomber.

Nous préférons, comme patriotes non marxistes et partisans de la démocratie, du pluralisme et de la vraie liberté, travailler du dehors pour maintenir une société au système politique modèle, et en même temps lutter contre tous les autoritarismes, totalitarismes et tous les totalitaires, quel que soit le domaine dans lequel ils cherchent à sévir, contraindre, exclure et excommunier.

Espérons que nos lecteurs, car ce sont eux qui nous importent, comprennent encore mieux la raison de la création de notre site, sa nature profonde et nos objectifs.

Notre excursion vers cet article dit de recherche et qui a mobilisé un temps inouï et de multiples postes universitaires pour tenter un procès en excommunication, montre qu’aux attaques informatiques et à toutes les autres  tentatives de sabotage de notre site, s’ajoutent encore celles venant de certains chercheurs de sciences humaines, chercheurs qui ressemblent en fait plus à des antiquités idéologiques qui ont la chance de pouvoir compter sur les universités pour survivre. Même s’ils parlent très fort et violemment, ils sont cependant les moins menaçants ; ils comptent si peu, sont si peu nombreux, si peu lus et n’intéressent qu’eux-mêmes. De quoi en effet faire de grosses bouffées face à des audiences mensuelles de plusieurs centaines de milliers de lecteurs.

Sacrée aventure que LesObservateurs.ch ! Merci à nos contributeurs, commentateurs et lecteurs.

L’aventure continue sous le feu des critiques et des balles symboliques : certains individus répugnants disent même  qu’ils se réjouissent de chi… sur nos tombes et bien d’autres nous envahissent quotidiennement de leur haine idéologique. Il faudra sans doute publier quelques noms. C’est aussi cela la gauche, qui nous reproche d’être obsédés par le socialisme. Avons-nous tort d’insister?

« Les chiens aboient, la caravane passe… ». Oui mais là où ça se gâte c’est que maintenant des idéologues-chercheurs et des chercheurs-idéologues rêvent même de nous empêcher de passer.

N’est-ce pas cela le vrai danger : le totalitarisme en marche dans des domaines importants et  nouveaux ? Etendons donc le domaine de la lutte…elle devient vitale.

En fait, le grand nombre d’attaques, de tentatives de nous nuire et de nous détruire est flatteur et plutôt bon signe : nos attaquants deviennent sans doute d’autant plus violents qu’ils sentent que par notre travail ils sont, directement ou implicitement, profondément mis en cause et dévoilés dans  leur vraie nature, ce dont ils n’avaient pas l’habitude, étant persuadés de détenir, même illégitimement, une situation de monopole à perpète.

Après les murs ce sont des monopoles qui sont menacés, sauf celui de tous ces  Services dits publics aux membres toujours grassement payés par nous autres abusés, en tout cas pour ce qui est de la Suisse. Un comble tout de même.

Aux armes, symboliques, citoyens !

La lutte continue et doit s’intensifier… avec la participation active de tous ceux qui ne supportent plus les divagations , les pratiques fascisantes et les monopoles  de tous ces fonctionnaires gauchos-marxistes de la pensée unique.

Uli Windisch, 15.8.2018

 

 

 

2 commentaires

  1. Posté par Stephane Montabert le

    LesObservateurs.ch a une plus longue carrière et plus d’avenir que M. Rochebin qui à l’époque se gaussait de votre initiative. La roue tourne…

  2. Posté par antoine le

    Félicitations et bravo M. Windisch !
    Quel courage et abnégation.
    Tenez bon contre vent et marée. Seule la Vérité compte.

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