Coronavirus: le monde d’après (première partie)

Stéphane Montabert
Suisse naturalisé, Conseiller communal UDC, Renens
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L'épidémie de Coronavirus est l'événement majeur de cette année, et peut-être de la décennie. Elle changera pour toujours les relations entre les pays, entre les individus, et la structure économique du monde que nous connaissons.

Une épidémie galopante

De phénomène localisé à une région de la Chine, la progression du virus est tout simplement fulgurante. En Italie, on parle de 150 cas de contamination. 50'000 personnes sont en quarantaine forcée dans douze villages du nord du pays. Et le patient à l'origine de cette flambée reste inconnu. Pas mal pour un pays qui affichait "3 cas" il y a quelques jours. L'Italie bat ainsi la Corée du Sud, qui a vu le nombre de cas de Coronavirus multipliés par dix en une semaine.

(Au Tessin, concernant l'épidémie en Italie, le médecin cantonal Giorgio Merlani explique aux médias que "L'affaire est plus importante qu'il n'y semblait au début." Avec des foudres de guerre pareilles aux commandes, on peut dormir sur ses deux oreilles. Évidemment, aucune fermeture de la frontière n'est prévue pour l'heure...)

En Iran, 8 morts soudaines démontrent qu'il y a des dizaines de cas d'infection, que le régime ne parvient évidemment pas à tracer. À Taïwan, une femme malade du virus avait un fils, infecté puis décédé à son tour; avant que la maladie ne l'emmène à l'hôpital, il travaillait comme chauffeur de taxi. Depuis, le pays considère qu'il n'est plus possible de tracer le cheminement de l'épidémie au sein de la population.

Le grand public découvre, effaré, à quoi ressemble une courbe exponentielle:

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La progression du virus dans les 8 pays les plus touchés hormis la Chine.
(Image @jodigraphics15 ; cliquez pour agrandir)

Quel que soit le graphique que vous verrez sur l'évolution de la maladie, il est déjà périmé.

Quelques informations sur la maladie

La dangerosité du virus est énorme. Les gouvernements, les agences supranationales et leurs relais dans les médias mentent et minimisent les chiffres. L'OMS prétend que 80% des gens développent une forme bénigne de la maladie - une formule élégante pour éviter de parler des 20% qui seront touchés par une forme sévère et ne s'en relèveront pas tous.

Le calcul de la mortalité d'une maladie est simple ; il suffit de faire le rapport entre le nombre de personnes guéries et le nombre de personnes décédées. Les malades en cours de traitement doivent être exclus du calcul puisqu'on n'a pas de certitude sur l'évolution de l'infection.

Toutefois, il est difficile d'obtenir des données fiables sur ces deux chiffres dans le principal réservoir de population du virus, la province chinoise du Hubei. Depuis le début de la crise, les autorités chinoises travestissent les chiffres, changent la définition d'un malade, attribuent des décès à de simples "pneumonies". À Wuhan, les fours crématoires font des heures supplémentaires. Il est aussi possible, au vu de la déliquescence de la gestion administrative de la maladie, que certains Chinois cloitrés chez eux en guérissent ou en meurent dans l'anonymat le plus total.

En faisant un calcul sur la base des chiffres dont nous disposons, ce que les médias ne feront pas, on obtient un taux de mortalité de 9.5% environ. À titre de comparaison, la grippe saisonnière a un taux de mortalité de 0,3%. On est donc face à une menace trente fois plus létale - quelque chose à garder en tête face aux olibrius de service qui prétendront que "tout ça c'est comme la grippe".

Le virus se transmet facilement. Des gouttelettes suffisent (sueur, postillons). Le virus peut survivre jusqu'à neuf jours, déposé sur une surface. De nombreux porteurs du virus deviennent contagieux en ne présentant que des symptômes mineurs, voire pas de symptômes du tout. La traçabilité de la maladie est donc un défi pratiquement impossible à relever. Mesurer la température des passagers dans les aéroports est totalement inefficace pour empêcher la propagation de l'épidémie. Même les kit de détection ne sont pas fiables et ramène de nombreux faux négatifs - c'est-à-dire qu'ils ne parviennent même pas à détecter le Coronavirus chez une personne qui le porte.

Et la cerise sur le gâteau, même des individus guéris de la maladie peuvent être réinfectés.

Le virus ne vient pas du marché exotique de Wuhan

C'est sans doute la dernière révélation du moment - et elle met à mal tout le narrative que les autorités chinoises présentent depuis la naissance médiatique de l'épidémie. Le plus intéressant est que la nouvelle - que les chercheurs savaient déjà - est désormais présentée par le Global Times, la Pravda du régime communiste.

Si pour l'instant même le Global Times évite de poser la question qui fâche - d'où vient ce virus, finalement? - d'autres se la posent, naturellement. Une étude publiée sur ChinaXiv, un site de publication ouvert aux chercheurs, révèle que le Coronavirus a été introduit dans le marché aux fruits de mer depuis un autre lieu, et s'est ensuite étendu de marché en marché. Ces résultats viennent d'une analyse du génome du virus, des sources d'infection et de la route empruntée par 93 échantillons de Coronavirus collectées auprès de 12 pays sur quatre continents.

Le New York Post donne une version des faits qui demande à être confirmée, mais qui n'aurait rien de surprenant: le virus proviendrait d'un laboratoire chinois. Selon l'auteur,

"Les preuves désignent la recherche SARS-CoV-2 en cours à l'Institut de Virologie de Wuhan. Le virus serait sorti du laboratoire par le biais d'un chercheur infecté (...) Quel que soit le vecteur, les autorités de Beijing s'empressent aujourd'hui de corriger les problèmes sérieux dans la façon dont leurs laboratoires gèrent les pathogènes mortels. (...)

La Chine a lâché la peste sur son propre peuple. Il est trop tôt pour dire combien mourront en Chine et dans d'autres pays pour la gestion des laboratoires de microbiologie de leur gouvernement, mais le coût en vies humaines sera élevé.

La théorie du virus-échappé-du-laboratoire est un peu un passage obligé de toute pandémie, et le Coronavirus n'y ferait pas exception. Mais l'examen du virus révèle des gènes de SIDA au sein de son code génétique - raison pour laquelle, hors de toute polémique sur son origine, des traitements à base de médicaments anti-SIDA sont employés sur les malades.

Il est vrai que l'Institut de Virologie de Wuhan dispose d'un laboratoire de microbiologie de niveau 4, le plus élevé et correspondant à la manipulation des souches de virus les plus dangereuses, appelé le Laboratoire National de Biosécurité.

Est-ce qu'un virus malencontreusement disséminé depuis une installation spécialisée dans la virologie est une explication plus plausible qu'une soupe à la chauve-souris consommée sur un marché exotique? Chacun se fera son opinion. En tout cas, même l'outil de propagande officiel de Xi Jinping ne prétend plus que le virus vient d'un marché de Wuhan. Combien de temps nos médias s'en tiendront-ils à cette version?

Un aperçu de ce qui nous attend

L'absence de réponse adaptée de la part des gouvernements expose leurs populations à la maladie, quand ils n'importent pas directement des malades sur leur sol. Avec les politiciens qui nous gouvernent, on peut donc conclure que la plupart des pays seront touchés, sauf quelques rares exceptions.

Déjà, parce qu'il faut le préciser, l'Humanité survivra sans encombre au Coronavirus. Si l'entier de l'Humanité était touché et que 10% voire 20% des humains périssaient, cela ne nous ramènerait que quelques décennies en arrière en termes de population globale. Mais la traversée de cette épreuve ne se fera pas sans douleur.

De la progression de la maladie à la gestion de la crise par les autorités, il suffit de se tourner vers l'Est pour découvrir ce qui se passe. La Chine est un pays plus touché que tous les autres, mais dans la progression exponentielle de l'épidémie, elle a simplement de l'avance. Autrement dit, pour savoir ce qui nous attend, il suffit de regarder la Chine. La Chine nous donne un assez bon aperçu de ce que sera la situation dans les pays occidentaux touchés d'ici quelques mois - peut-être quelques semaines.

Dites adieu aux Jeux Olympiques de Tokyo, aux concerts, aux matches de foot en public et à de nombreuses autres choses - et encore ne s'agit-il là que des aspects les plus véniels de la crise à venir. Un prochain billet évoquera ce qui va vraiment changer.

Stéphane Montabert - Sur le Web et sur LesObservateurs.ch, le 23 février 2020

13 commentaires

  1. Posté par Chris le

    Autant pour moi, je fais mon mes culpa ayant digéré un peu de littérature scientifique. Merci de ces précisions.

  2. Posté par Aegean le

    @ Stephane Montabert : parler de SIDA en lieu et place de VIH est à l’image de ce qu’est devenu le journalisme : de l’amateurisme. La précision et la rigueur sont importantes.
    Pour ce qui est du VIH, personne ne le trouve dans le sang et les deux protagonistes dans sa découverte ne sont même pas d’accord sur le nombre de protéines à lui attribuer… Du grand art scientifique ! Et admettons qu’il existe, comparer un coronavirus à VIH qui est casé dans les rétrovirus revient à comparer un poisson avec un plancton… les protéines sont proches dans le gradient mais la densité variera toujours.

    @Chris : commentez ce que vous connaissez, pas ce que vous croyez connaître. Commencez par apprendre ce que veut dire SIDA & comparez le avec votre commentaire… Une fois cela fait, je vous en prie, regardez la classification des pathologies imputées au SIDA depuis les années 80 et voyez comment on a artificiellement fait augmenter le nombre de personnes atteintes de son virus.

    A noter que les tests VIH ne sont pas universels, ne cherchent d’ailleurs pas le virus dans le sang, et sont adaptés selon les pays. La technique par PCR est-elle même remise en cause par son créateur (prix Nobel…). Cela suffit à prouver que ce virus n’existe pas et que si déficience immunitaire il y a (donc SIDA qui lui existe bien), ça ne peut être imputé à un virus et qu’il faut chercher la cause ailleurs.
    Pour en revenir à coronavirus, l’analyse des chercheurs indiens sur la protéine GP120 du VIH est basé sur quel échantillon ? Ils l’ont trouvé où leur virus témoin purifié ? J’ai cherché, je n’ai pas trouvé… même en anglais 😉

  3. Posté par Detty le

    Chris, non justement le SIDA n’est pas un virus, c’est un syndrome et c’est très exactement son nom. Le virus supputé n’est toujours pas découvert, il reste une prime importante si tu le mets en évidence !

  4. Posté par IRENE PUENTE le

    Bonjour je m’appelle Irène PUENTE je réside en Belgique.Je suis mère de deux enfants.
    J’ai été victime d’un accident de voiture qui m’a causé une lésion aux ligaments latéraux de mon genou droit. Suite a cela j’ai perdu mon travail, j’ai eu des problèmes financier pour régler mon loyer, mes factures et taxes. Face à ce malheureux-incident, j’ai entendu parler de Mme AUGUSTINE MAILLLARD. Une Dame qui aide les hommes et les femmes en situations difficiles. Elle m’a aidé à trouver un prêt de 120 000£ une somme raisonnable avec laquelle j’ai pu solutionné la situation que je traversais.
    Vous pouvez lui faire confiance car elle est très humaine, généreuse et pourrait aussi vous venir en aide en cas de difficultés. Voici son adresse: [email protected]

  5. Posté par Chris le

    Aegean, le Sida n’ est pas un « syndrome » mais un virus. En détruisant le système immunitaire il permet justement à des infections bénignes, vos fameuses « pathologies » de devenir létales.

  6. Posté par Stephane Montabert le

    @Angean: lorsque le texte fait référence au SIDA, il s’agit évidemment du virus de l’immunodéficience humaine, selon son nom officiel, mais qui est qualifié de « virus du SIDA » ou même de « SIDA » dans le langage usuel. Les lecteurs les plus intelligents n’auront eu aucune peine à le comprendre.

    Plus de référence sur cet aspect par les chercheurs indiens qui l’ont remarqué:
    https://www.biorxiv.org/content/10.1101/2020.01.30.927871v1

    “This uncanny similarity of novel inserts in the 2019- nCoV spike protein to HIV-1 gp120 and Gag is unlikely to be fortuitous”

    Je vous laisse traduire.

    @Dominique: la létalité d’une maladie est la probabilité d’en mourir. La grippe fait plus de morts, parce qu’elle contamine plus de gens (pour l’instant) bien que sa létalité soit plus faible.

  7. Posté par Aegean le

    Sérieusement ? C’est quoi cet article ?
    « l’examen du virus révèle des gènes de SIDA au sein de son code génétique ».
    Le SIDA est un syndrome donc un ensemble de pathologies provoquant une chute du système immunitaire.
    En quoi un virus peut-il partager le code génétique d’un syndrome ? C’est du grand n’importe quoi.
    Au pire, qu’on le compare au VIH. Mais encore faut-il trouver le virus dans le sang des malades pour en connaître le code génétique. De Harven, Montaigner, Gallo et tutti quanti ont essayé, en vain. Ca n’est pas un hasard si aucun vaccin existe après 40 ans de recherches et des milliards de dollars dépensés.
    Arrêtons avec ce virus d’autant qu’on ne connaît pas le profil des décédés : leur alimentation, leur passé sanitaire ou leur âge. 80% des défenses immunitaires viennent de l’intestin. Commençons déjà par dire aux gens de manger mieux : moins de sucres, moins d’aliments inflammatoires et surtout plus de vert.

  8. Posté par Dominique le

    Chaque année 650’000 personnes meurent de la grippe.
    La majorité sont des personnes âgées comme moi.
    On meurt le plus de la grippe dans l’Afrique subsaharienne où les gens se reproduisent comme des rats.
    La grippe espagnole de 1918 a tué 100 millions de personnes soit 5 % de la population mondiale de l’époque.
    Les médias manipulateurs écrivent n’importe quoi mais n’investiguent jamais si le pays est préparé pour une catastrophe comme la grippe de 1918, ni font de la propagande pour que les gens se vaccinent contre la grippe… Ils nous manipulent pour la minorité de gauche autoritaire soit-disante plus intelligente que le peuple souverain, minorité qui rêve de sa dictature future et les gens ne font pas assez d’effort pour ne pas se laisser manipuler.
    Pour le moment en 3 mois le virus Covid-19 n’aurait tué que 2’600 personnes.
    La faim tue un million de personnes et trop manger de sucres et de graisses en tue 2 millions.
    Je conseille de se vacciner chaque année contre la grippe (et bientôt contre les Coronarovirus?). Vu les dernières études chez les personnes âgées plutôt deux fois ou alors avec le récent vaccin plus fort inventé spécialement pour elles.
    Je ne comprends pas pourquoi cette vaccination n’est pas obligatoire au minimum pour les plus de 60 ans, tous ceux qui travaillent dans la santé ou côtoie plusieurs personnes et aussi tous les enfants parce que c’est eux qui sont les plus grands transmetteurs du virus de la grippe.

  9. Posté par Gérard Guichard le

    De toute façon, les Chinois, ça meurt habituellement de faim. Donc, là, comme pour le SRAS, il y a erreur…
    Pour le reste, l’opinion voit bien le système de la soit-disant chute du Mur et apprend que beaucoup dépend de la Chine
    C’est comme les colonies européennes et la soit-disant chute de Staline
    C’est en forgeant qu’on devient forgeron 🙂

  10. Posté par Gabrielle Wildhaber le

    Les milieux médicaux n’ont jamais informé si les lieux aérés par des circuits centralisés (installations climatiques p.ex.) contribuent à la propagation. Avions, trains, hôtels, hôpitaux, centre commerciaux? En Asie, la clim est omniprésente; en Europe passablement aussi, mais nous sommes dans la saison sans clim, actuellement.

    Gabrielle

  11. Posté par Pope Dubochet I le

    A titre personnel j’ai effectué mes commissions il y déjà 3 semaines. Et voilà que bon nombre d’enseignes retirent les masques de la vente, ici en Suisse, oui oui. Un example notable: https://www.galaxus.ch/fr/s1/producttype/masques-anti-poussiere-173 , (404 Error), ce matin, 24 février. Je vous laisse faire vos propres conclusions!

  12. Posté par aldo le

    Si la thèse du laboratoire pourrait se confirmer, alors ils devrait s’agir des bâtiments ou des usines qui ont explosés ou brulés durant la période précédent la découverte du virus et si les chiffres ne sont pas truqués on doit pouvoir localiser même grossièrement le point de départ sur les cartes. https://gisanddata.maps.arcgis.com/apps/opsdashboard/index.html#/bda7594740fd40299423467b48e9ecf6 Et maintenant que les Italiens prennent des mesures extrêmes on peut penser que tout comme les Français au sein de l’Europe, il participaient à la création de ce labo aux objectifs militaires possibles, pas nécessairement bien vus par les Américains. L’un des italiens détecté, travaille dans un laboratoire… sans précisions, voilà peut être le pourquoi de ces réactions importantes, découlant d’une volonté d’efficacité.

  13. Posté par Christian Hofer le

    « Le virus se transmet facilement. » C’est exact.

    Le médecin cantonal de Neuchâtel nous parle de 15 minutes de proximité avec une personne infectée pour être également infecté… Je considère cela comme irresponsable :

    « Contacté par Keystone-ATS, Claude-François Robert, médecin cantonal, n’a pas voulu dire dans quelle région du canton se trouvait l’enfant mis en quarantaine. Selon lui, cette dernière est nécessaire quand quelqu’un a eu un contact avec une personne infestée pendant au moins 15 minutes et à moins de deux mètres. Dans chaque cas, il s’agit d’évaluer si une telle mesure est nécessaire ou pas. »

    https://www.20min.ch/ro/news/romandie/story/Coronavirus–un-enfant-de-10-ans-en-quarantaine-24585017

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