L’islam engendre la construction de personnalités au fonctionnement pathologique à plus d’un titre

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Cenator

Pensons à l’aménagement des relations faisant intervenir :

- des hommes et des femmes,

- des musulmans et des non musulmans,

- des semblables et des autres… et, plus généralement, « l’autre » dans quelque domaine que ce soit,

- le domaine de la science et celui de la croyance,

- l’articulation de la liberté et de la vérité,

- la justice et l’injustice,

- le permis et l’interdit,

- etc

Nous allons essayer de comprendre quelque chose à la haine portée à la civilisation occidentale par les musulmans, musulmans qui, par ailleurs, accourent s’y incruster et s’y faire entretenir… et POURQUOI PAS si cette civilisation occidentale est assez stupide et lâche pour se laisser envahir, pour ensuite se sentir obligée d’assister (système social oblige ) généreusement ceux qui veulent sa perte (AU LIEU DE LES RENVOYER DANS LEURS PAYS D’ORIGINE… des dizaines de millions d’Africains, de Pakistanais, etc attendent maintenant leur tour) ?

Rappel de quelques données fondamentales :

1) Oussama Ben Laden : Dans le monde musulman, on écoute le cheval fort et on méprise le cheval faible.
Les musulmans méprisent ceux qui, via les assurances sociales occidentales, leur accordent des « largesses », par ailleurs jamais suffisantes (largesses totalement inexistantes dans leurs pays d’origine), alors qu’ils se permettent de nous mépriser, de nous haïr et de le proclamer sans être réprimé/expulsé.

2) Monde musulman, un collectif mortifié.

« La mortification est un processus complexe. Lorsqu'un individu est mortifié, c’est-à-dire débordé par les forces de mort, il est prêt à se donner la mort, mais au dernier moment, la vie le reprend et il casse quelque chose ou il fait du mal à quelqu'un, pour faire sortir de lui un peu de "mort". »

LA CHRONIQUE (de Daniel Sibony) du 23 juin 2005
Guerre d'Irak et image des Américains.
« […] cette haine - qu'on trouve dans le monde islamique contre l'Amérique -, cette haine, certains événements, comme l'invasion américaine, la réveillent mais ce n'est pas eux qui la provoquent. Car elle est séculaire, elle est inscrite dans les Textes fondateurs de l'islam: haine contre les insoumis, les idolâtres (et les chrétiens sont idolâtres dans le Coran car ils "associent" Jésus à Dieu). Les "gens du Livre", c'est-à-dire ceux qui révèrent la Bible, y sont souvent maudits par Allah. Or, contrairement à l'Europe catholique qui tout un temps a remplacé la lecture de la Bible par l'Autorité de l’Église, le monde anglo-saxon représente, pour la foule radicale, les gens du Livre qui refusent de reconnaître le prophète parce qu'il ne leur a rien apporté de nouveau.

Cette haine fut souvent ravivée quand l'Occident donnait des signes de force face à un monde islamique plus faible. Elle diminuera quand le monde arabo-musulman n'aura plus besoin d'elle; quand il aura réussi à fonder sa valeur sur autre chose que la non-valeur des autres; quand il aura accepté de prendre ses responsabilités dans ce qui lui arrive. Cela va demander du temps.

En attendant, l'Occident, dans sa partie active, c’est-à-dire l'Amérique devra supporter de ne pas être aimé par tout le monde. Le problème existe déjà pour des individus: certains ont besoin que tout le monde les aime et d'autres se contentent d'être aimés par quelques uns et de faire ce qu'ils ont à faire. Dans le cas de tout un peuple, c'est presque ridicule de vouloir à tout prix être aimé par tout le monde. […] Leur tactique semble absurde puisqu'ils tuent n'importe qui. En fait, elle peut se comprendre d'un point de vue plus large qui fait plus de place aux forces inconscientes: on a là-bas un collectif mortifié. La mortification est un processus complexe. Lorsqu'un individu est mortifié, c’est-à-dire débordé par les forces de mort, il est prêt à se donner la mort, mais au dernier moment, la vie le reprend et il casse quelque chose ou il fait du mal à quelqu'un, pour faire sortir de lui un peu de "mort". Et quand ça ne le soulage pas, il recommence.
-bas nous avons un petit peuple, les sunnites, qui avaient le pouvoir et qui ne peuvent plus le retrouver comme avant. Ils sont en deuil, mortifiés. Surtout à l'idée d'être mis sur le même plan que les autres, et peut-être plus bas. La seule façon pour eux d'exprimer cette mortification c'est de frapper n'importe qui. Ils ne peuvent marquer leur importance, même à leurs yeux, qu'en empêchant les autres de vivre en paix; en empêchant le reste du peuple de vivre sans penser à eux. La seule façon pour eux de se rappeler à la mémoire des autres, c'est de se signaler de façon explosive.

[…]

Et pourquoi ces attaques terroristes ne sont-elles pas massivement condamnées dans le reste du monde arabo-musulman? C'est qu'elles satisfont, chez beaucoup de gens, le même désir de vengeance qu'ils satisfont chez les sunnites. Vengeance non pas tellement contre la mauvaise conduite américaine ou contre la présence coloniale des alliés (personne n'y croit vraiment), mais vengeance de la part de gens qui ont gardé un fantasme de souveraineté - nourri pendant des siècles par la simple réalité: la Oumma était puissante dans son espace. Mais ce n'est plus le cas depuis déjà pas mal de temps. Il en résulte un sentiment d'humiliation dû à l'écart entre l'image qu'on a de soi en tant que supérieur aux autres, et la force réelle de ces autres qui réussissent trop. D'autant plus qu'ils étaient supposés maudits par Allah et que la Oumma rassemble ceux qu'il a bénis, ses vrais fidèles.

Le jour où assez de gens dans le monde arabo-musulman auront fait leur deuil de ce fantasme de souveraineté, ils seront moins mortifiés et cesseront de présenter ces partis terroristes comme des combattants anti-coloniaux ou anti-impérialistes. Mais tant qu'ils sont mortifiés, ils soutiendront que c'est vrai, contre toute évidence. Ou plutôt, ils chercheront des abus qui prouvent que c'est vrai à très petite échelle (les abus dans les prisons), pour oublier que c'est globalement faux.

En fait, beaucoup des gens dans le monde arabo-musulman sont prêts à se libérer de ce fantasme originaire, mais ils ont peur de l'exprimer car les autres, qui n'en sont pas libérés, pourraient les qualifier de traîtres. C'est eux qu'il faut soutenir; sans se sentir trop coupable de la maladie de ceux qui restent mortifiés.

[…]

La question de savoir ce qu'on fait avec des gens mortifiés (qui viennent de perdre un être cher, ou une chose qu'ils aimaient par-dessus tout (comme le pouvoir) - est une question délicate. Dans certaines traditions, on leur apporte à manger, on s'occupe d'eux, puis on cherche à les valoriser. Dans le cas présent, cela paraît difficile (encore que la décision de Washington de donner plus de pouvoir aux sunnites aille un peu dans ce sens).

[…]

Daniel Sibony, psychanalyste, écrivain ; auteur d'un livre violence paru au Seuil en 1998. Dernier ouvrage paru: Fous de l'origine. Journal d'Intifada (Seuil). À paraître à la rentrée: Créations. Essai du l'art contemporain.

Source : http://www.danielsibony.com/billet.html

Oumma ou Umma (أمّ [umm], mère; أمّة [umma], communauté; nation; ethnie) désigne la communauté des musulmans au delà de leur nationalité et de la parcellisation des pouvoirs politiques qui les gouvernent.

3) Les apostats montrent la seule manière de guérir des pathologies susmentionnées. Vu les risques encourus (ils devraient être mis à mort selon l'orthodoxie musulmane), ce sont des « Soljenitsyne » de notre temps.
Cette mise en parallèle du totalitarisme de l’islam avec le totalitarisme communiste permet-elle de penser que « la chute du mur » de l’islam est pour bientôt ?
Rien n'est moins sûr. Dans tous les cas, si rien de sérieux et de continu n'est entrepris par les pays d'Europe occidentale, les dés semblent déjà avoir été jetés. En effet, l'invasion de populations majoritairement musulmanes à la démographie florissante alors que celle des habitants véritablement "de souche" est en dessous du taux de renouvellement augure une islamisation assez rapide de l'Europe de l'Ouest.
Viktor Orban, Premier ministre hongrois, tente d'agir vigoureusement pour "inverser la vapeur". Au niveau de l'invasion de la Hongrie par les migrants, il a fait le nécessaire en fermant les frontières. Parallèlement, il a mis en place de nombreuses mesures pour encourager vigoureusement les Hongrois à avoir plus d'enfants.
Va-t-il réussir ?

L'avenir le dira, dans tous les cas il aura montré la voie de la résistance en lieu et place à celle de la résignation qui semble tétaniser la volonté des dirigeants et des peuples plus à l'Ouest.
Avant la deuxième guerre mondiale, de nombreuses voix avaient tenté d'éveiller les consciences pour éviter le désastre que Hitler leur mijotait.
En 2020, avons-nous plus de sagesse ?
Le lecteur de cette note peut, sans autre, interrompre sa lecture ici, tout ce qui suit ne fait que rappeler les mises en garde proférées par d'autres.
Confirmation de dernière minute des idées susmentionnées par un apostat de l'islam qui explique que:
Hussein Elgohary : L’islam, un culte catastrophique pour l’humanité

https://www.dreuz.info/2020/02/21/hussein-elgohary-lislam-un-culte-catastrophique-pour-lhumanite/comment-page-1/#comment-820299

 

4) « La grande affaire des cinquante prochaines années sera précisément celle de la réconciliation – ou du divorce – entre le milliard et demi de musulmans et le modèle de développement humain aujourd'hui dominant, à savoir un système de libertés individuelles, d'égalité entre les sexes, de séparation des pouvoirs spirituel et temporel, le tout permettant l'économie de marché, les échanges et le progrès. »

Jean Raspail (né le 5.07.1925), auteur de Le Camp des Saints:

«Notre civilisation est en train de disparaître»

Peu nombreux sont ceux qui nous rappellent que nos ennemis ont une mentalité qui n’a rien à voir avec la nôtre. Que pour eux la vie humaine et la vérité ne comptent pas.

"Au risque de choquer, il faut avoir le courage de dire que l'intégrisme n'est pas la maladie de l'Islam. Il est l'intégralité de l'Islam. Il en est la lecture littérale, globale et totale de ses textes fondateurs. L’Islam des intégristes, des islamistes, c'est tout simplement l'Islam juridique qui colle à la norme."
(Anne-Martie Delcambre - L'islam des interdits, éd. Desclée de Bouwer)

"Quelque chose de nouveau était en train de se produire, la montée d'une nouvelle intolérance. Elle se répandait à la surface de la terre, mais personne ne voulait en convenir. Un nouveau mot avait été inventé pour permettre aux aveugles de rester aveugle: l'islamophobie"
(Salman Rushdie - Joseph Anton)

"Ceux qui disent que l'Islam fait partie de l'Europe ne feront rien pour éviter qu'un jour l'Europe fasse partie de l'Islam."
(Anonyme)

"Lutter contre le djihad c’est combattre le symptôme, pas la cause."
(Ayaan Hirsi Ali - Weltwoche du 31 mai 2017) 

"La peur de l’islam est légitime, salutaire. C’est même un devoir sacré."
(Maître Bonnant - au procès de J.-L. Addor, 23 mai 2017)

"Il n’existe pas d’islam modéré. Il existe des musulmans qui ne suivent pas toutes les règles de l’islam, mais il n’y a bien qu’un seul islam, défini comme la soumission à la volonté d’Allah. Et il n’y a rien de modéré en cela."
(Ayaan Hirsi Ali - magazine Reason, 12 octobre 2007)

" Un scientifique lira des centaines de livres au cours de sa vie, mais sera toujours persuadé qu’il lui reste beaucoup à apprendre. Un fanatique religieux n'en lira qu'un et sera persuadé d'avoir tout compris."
(auteur inconnu)

"La frontière est très perméable entre le musulman pieux, l’islamiste militant et le terroriste islamique. Ils se nourrissent du même livre"
(Waleed Al-Husseini, essayiste et écrivain palestinien athée, fondateur du Conseil des ex-musulmans de France)

« Si chaque citoyen, voire humain digne de ce nom, doit se choisir un combat, c'est celui de la préservation de la liberté et de la dignité. L'islam, même modéré, va à l'encontre de ces deux valeurs. Je me suis engagé dans ce combat ! »
( Membre ASVI

"L’islam est contre tous ceux qui ne vivent pas selon les règles du Coran. Contre les démocrates, contre les athées et surtout contre les femmes. Et le monde entier regarde, comme paralysé."
(Zafer Şenocak, écrivain turc vivant en Allemagne)

"Si vous chassez le christianisme, vous aurez l'islam."
(François-René de Chateaubriand - 1678-1848  - écrivain et homme politique français)

"On ne va pas régler le problème tant qu'on ne désigne pas les choses par leur nom."
(Zineb El-Rhazoui)

"La liberté peut se perdre à chaque génération. Elle ne se transmet pas automatiquement par le sang."
(Ronald Reagan)

"Critiquer l'islam est un devoir de l'homme."
(Ahmed Abdel-Samad à Rome en 2013)

" Oui bien sûr, c'est de notoriété publique qu'on peut trouver des horreurs dans nos textes fondateurs! Que font spontanément les chrétiens face à de telles idées? Ils les abhorrent! Que font les musulmans des textes du Coran? Ils les adorent! La différence ne tient pas tant à celle des textes, qui peuvent se comparer, qu'au rapport qu'on entretient à eux qui, lui, est incomparable "
(Henri Carnavalo)

"Ils ne sont grands que parce que nous sommes à genoux"
(Etienne de la Boétie)

" Face au totalitarisme, il n’y a qu’une politique possible : la résistance. Résister partout, toujours, et par tous les moyens. Résister aujourd’hui et non demain. Résister sous la botte de l’occupant certes, mais mieux encore, résister quand on est encore libre et qu’on possède les moyens de se défendre "
(Raymond Aron cité par son biographe Nicolas Baverez)

" À une époque de supercherie universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire."
(Georges Orwell)

" Il viendra un jour où on fermera la porte de l’Azhar* avec deux planches sur lesquelles il sera écrit : « Ici on enseignait l’ignorance.»"
*  université islamique du Caire,    (Mahmoud Muhammad Taha , pendu en 1985 -- blog de Sami Aldeeb)

" L'Europe court à la dérive : non pas à cause des fanatiques qui occupent le terrain, mais à cause des lâches qui les laissent faire."
(Oskar Freysinger - conférence à Bruxelles, 2010)

« Le train du monde m'accable en ce moment. À longue échéance, tous les continents (jaune, noir et bistre) basculeront sur la vieille Europe. Ils sont des centaines et des centaines de millions. Ils ont faim et ils n'ont pas peur de mourir. Nous, nous ne savons plus ni mourir, ni tuer. Il faudrait prêcher, mais l'Europe ne croit à rien. Alors, il faut attendre l'an mille ou un miracle. Pour moi, je trouve de plus en plus dur de vivre devant un mur. »
Albert Camus (Lettre à Jean Grenier, Paris, le 28 juillet 1958)

 

 

4 commentaires

  1. Posté par Dominique le

    Le tout proche exemple de musulman à la cervelle islamique formatée par ses parents est notre Genevois Tariq Ramadan.
    Son examen psychologique ciblé effectué le 27 juillet 2018 en prison à Paris qui a relevé l’existence « d’une simple dimension névrotique participant de la personnalité se révélant dans les relations aux femmes et dans l’exercice de la sexualité, eu égard aux difficultés sexuelles de l’intéressé » devrait être complété, élargi et approfondi. Cet islamologue prêcheur, qui ne supporte pas qu’on ne parle pas de lui, n’est pas seulement quelque peu caractériel, un psychiatre conclurait vraisemblablement qu’il est un psychopathe doublé d’un prédateur sexuel, un excellent commerçant qui dit tout ce qu’il faut pour séduire, qui trouve de bonnes aubaines et des gens à duper, tout comme la grande majorité des gourous de sectes. Pour preuve, les femmes qui se sont plaintes de ses abus et violences sexuelles ont toutes décrit un agresseur froid, violent et effrayant, un obsédé sexuel, un âpre au gain sans foi ni loi et pour qui l’islam n’est qu’un business profitable et glorifiant. Il faut toujours avoir en tête que dès les années 1980, Tariq Ramadan, alors jeune professeur charismatique dans un collège à Genève, fit déjà l’objet de soupçons concernant son comportement sexuel inadéquat avec de ses élèves adolescentes de sexe féminin. « Avec un corps dégageant une telle puissance érogène, c’est même surprenant qu’il n’ait pas décidé de porter le voile. » Aurait dit de Tariq Ramadan avec humour sur France Inter, la chroniqueuse Sophia Aram.

  2. Posté par miranda le

    Cette façon d’observer le musulman emprisonné par la doctrine et face a ce qu’elle lui fait subir est très utile….. et le terme « mortifié » convient assez bien.

    On pourrait peut-être y ajouter  » Le possédé » tant certains fanatiques ont été privés à jamais de leur capacité de penser et sombrent dans une sorte de dépendance à l’ivresse vengeresse au nom de l’Islam.

    C’est très triste et très grave, car ces êtres là n’auront jamais droit à une « éclaircie », la doctrine étant le seul chemin à pratiquer sur cette terre.

    Comme si méditer sur soi, pénétrer en soi pour mieux se se connaître et par là se questionner sur sa propre existence et par ricochet sur sa place dans le monde et l’univers était le grand tabou de l’Islam.

    La doctrine veut absolument AVOIR PRISE sur le croyant ou l’apprenti-croyant non pas pour « le grandir » mais en faire celui qui doit servir le grand objectif de l’Islam : la conquête du monde. par l’OUMMA.. Et ensuite, pour quelle planète???

    Le conquérant de l’Islam agira soit dans la cruauté de l’acte guerrier , soit pas la ruse, soit par la procréation qui crée « un musulman » de plus, mais quittera cette terre dans une pauvreté affective et intellectuelle certaine. IL quittera sa vie en étant la moitié ou le quart de lui-même. Etranger à lui-même.

    Et dans son objectif, l’OUMMA n’est pas seulement la conquête de « l’autre différent et mécréant », mais aussi la conquête répétée et asservissante DE CELUI QUI EST DEJA FIDELE A L’ISLAM.
    La façon VIOLENTE dont on traite ceux qui s’écartent un peu des normes et règles de L’ISLAM en territoire musulman, démontre à quel point la doctrine est emprisonnante.

    L’ISLAM n’est pas à plaindre. La doctrine et ceux qui en font leur instrument ne sont pas à plaindre. L’ISLAM survit bien souvent par la crainte qu’il inspire, quand ce n’est pas directement par la PEUR.

    Ceux qui sont à plaindre sont ceux qui tentent mais ne parviennent pas à faire comprendre à l’Islam qu’il serait plus bénéfique d’accepter la critique, de s’ouvrir à un respect de la liberté de penser qui lui permettraient d’évoluer.

    Les dissidents sont alors obligés d’opérer un divorce qui les écartera de leur communauté familiale, de la communauté élargie, de leur lieu de vie avec au bout du chemin la plus haute des solitudes tout en risquant leur vie.

    EST-CE QU’UNE RELIGION CE DOIT ETRE CELA? Combien d’imams se sont posés les bonnes questions? Certains en sont capables mais préfèrent ne pas oser tant le danger est grand et d’autres en sont profondément incapables parce que la doctrine « les possèdent jusqu’à l’OS ».
    Triste constat alors que nous sommes aux 21ème siècle.

  3. Posté par Bussy le

    Si l’Europe occidentale veut rester une terre de liberté et de dignité, il lui faut prioritairement et de toute urgence mettre sur la touche ses élites islamo-collabos, et tous les moyens seront bons pour éviter le shithole tant désiré par ces traîtres aux peuples européens.

  4. Posté par Dominique le

    A observer ce qui se passe ce n’est pas difficile de comprendre les comportements de musulmans qui appliquent les principes de l’islam-idéologie de leurs textes « sacro-saints » et imitent leur modèle le messager Mahomet, Ce qui est difficile à comprendre c’est l’attitude des angéliques et autres idiots-utiles et de tant d’élus ignorants, soumis et trahissant notre patrie et leurs électeurs.

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