Il y a dix ans, la télévision suisse diffusait un débat opposant Daniel Cohn-Bendit, éternel donneur de leçons, à Oskar Freysinger. Le débat traitait de la votation suisse sur les minarets. Les Suisses avaient voté majoritairement contre le fait d’autoriser la construction de minarets en Suisse. Daniel Cohn-Bendit se scandalisait de ce résultat et, selon une formule désormais bien rôdée du totalitarisme démocratique, considérait que puisque les Suisses avaient “mal” voté, il fallait réorganiser un vote. Pour justifier un tel mépris du vote des Suisses, Daniel Cohn-Bendit s’essayait à quelques analogies douteuses. A quoi Oskar Freysinger avait répliqué en rappelant comment Daniel Cohn-Bendit autrefois vanté de sa pédophilie.
Dix ans plus tard, l’affaire du pédophile Gabriel Matzneff, longtemps couvert par ses amis de gauche, ramène le sujet à l’avant-plan.
Le site d’information Boulevard Voltaire a demandé hier à Oskar Freysinger, ancien conseiller d’Etat (équivalent de ministre), ce qu’il pensait de cette affaire.
“Qui nous acombattu férocement lorsque nous avons voulu rendre imprescriptibles les actes pédophiles ? La gauche…”, a rappelé Oskar Freysinger.
Extrait de: Source et auteur
Il semble que rien ne peut encore ébranler l’élite gauchistes « progressiste » de leurs voie dominatrice et destructeur. Même la pedophilie est acceptée, vu que c’est la gauche.
Faudra bien faire attention à nos gosses pour qu’ils ne se fassent pas violer par ces fous……
La pédophilie est autorisée et même vantée pour les élites gauchistes françaises, mais interdite aux curés et autres ecclésiastiques, car la France est un pays égalitaire (sic), et l’un de ses buts républicains est de détruire les restes de christianisme qui s’y trouvent encore.