Hongrie : vivre dans la rue est désormais un délit

 

Suite à l’adoption d’un amendement initié par le Fidesz, le parti de Viktor Orbán, vivre dans la rue est désormais réprimé en Hongrie. Pourtant, des milliers d’individus sont sans-abri. Les refuges ne proposent pas suffisamment de places, et les conditions d’accueil sont rarement idéales : bagarres et vols y sont monnaie courante, entraînant un fort […]

 

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3 commentaires

  1. Posté par Maurice le

    Merci Cenator pour vos précisions !
    Il me semblait bien qu’il y a quelque chose qui cloche dans ce reportage, quelque chose de malhonnête, parce que tout de même, les reporters n’ont pas pu ne pas montrer tout l’aspect d’accueil, qui vaut au moins celui de Genève si ce n’est plus ; en tout cas c’est ce que l’on peut retirer du reportage lui-même. Et cela ne m’étonne pas que les aides soient bien plus importantes que ce que l’on nous donne à voir.
    Merci aussi de rappeler qu’Orban n’a rien à voir avec la façon dont Budapest-la-Gauchiste est gouvernée.

  2. Posté par Cenator le

    Ce reportage date d’environ une année. On peut voir à la fin l’enseigne d’un bureau de change : le franc suisse valait 280 forint lors du reportage, et il vaut actuellement 330 forint.
    Les reportages à charge contre la Hongrie sont légion depuis qu’Orban est au pouvoir. Avant, personne en France ou en Allemagne ne se souciait du sort des SDF hongrois.
    En plus, le parti d’Orban a perdu cet automne la gouvernance de Budapest. Le nouveau maire de Budapest, Karacsony, est de gauche et déconstruit à un rythme soutenu ce que le gouvernement d’Orban a mis 8 ans à construire. Les employés pro-gouvernementaux sont tous renvoyés. Idem dans la culture, etc. Les nouvelles catastrophiques se succèdent depuis cette élection, on peut voir sur l’internet que beaucoup de gens déplorent le retour de la gauche.
    En ce qui concerne le SDF que les surveillants ont empêché de prendre le métro : selon toute probabilité, si son pantalon était sale derrière, ce qu’il avait fait caca sur lui, et les chaussures sales n’étaient sans doute qu’un prétexte pour ménager sa dignité. Budapest est une ville de plus de 2 millions d’habitants, nombreux sont ceux qui prennent le métro. Les contrôleurs avaient certainement de bonnes raisons de ne pas le laisser voyager, car s’ils devaient filtrer tout ceux qui ont des chaussures sales, il faudrait plus de contrôleurs que de voyageurs.
    Tout est orienté dans le reportage. Des aides massives sont données aux jeunes mères, et il y a 240 ONG qui s’occupent des SDF : la jeune femme qui dit avoir accouché il y a une semaine et demie devrait toucher une aide substantielle de l’État et une aide en nature des ONG… Donc le reportage montre ce qu’il a décidé de montrer, se fichant de la vérité. Tout le reportage joue sur l’émotionnel, désinforme, charge et accuse sans nuance le gouvernement d’Orban.
    La ville offre aux SDF trois repas gratuits par jour, une douche, un lit propre, des soins médicaux, et le gouvernement a mis en place tout un programme pour améliorer et augmenter les offres. Personne n’a été refusé par manque de place.
    L’histoire du jeune couple m’étonne particulièrement. Il est impensable qu’il n’ait pas obtenu de l’aide, ayant des enfants, à moins qu’il y ait un détail qui nous échappe. En Hongrie, les services sociaux fonctionnent. L’Église est très active pour aider les mères pauvres. Pourquoi ce jeune père de famille ne va-t-il pas vivre à la campagne, où les loyers sont plus modestes ? Il a déjà un salaire minimal, il ne pourrait pas gagner moins.
    Il faut aussi savoir que la Hongrie a la progression économique le plus élevée d’Europe, mais comparativement à l’Occident, les revenus sont bas. Le peuple est bosseur, les gens vont s’en sortir.
    Durant le communisme, l’aide sociale était inexistante, tout comme l’assurance chômage. Le métier d’assistant social était inconnu. Avant la guerre, il y avait la charité des Églises, mais rien comme aide officielle. Durant le communisme, les Églises étaient elles aussi très pauvres et ne pouvaient pas faire grand-chose.
 Depuis lors, les réseaux d’aide se sont développés, mais ils sont très fortement infiltrés par la gauche, et Soros est derrière de nombreuses ONG.
    Voir aussi : https://lesobservateurs.ch/2019/09/25/rts-hautes-frequences-une-emission-consacree-a-salir-la-hongrie-et-desinformer-les-auditeurs/

  3. Posté par miranda le

    EH BIEN , il manque aux HONGROIS, leur COLUCHE.

    Maintenant ORBAN est tellement en lutte contre Bruxelles et son immigrationisme qu’il a dû mettre en place un programme social-financier incitant les hongrois à avoir des enfants. Peut-il être partout à la fois? Peut-il régler tous les problèmes?

    N’oublions pas que le barrage anti-immigration qu’il a fait construire (ET QUI NOUS PROTEGE) a coûté à ce petit état plus de 300 millions d’Euros. Cela nous protège, alors que pas UN SEUL CENTIME ne nous a été demandé.
    A quand, un euro par citoyen européen envoyé à ORBAN en remerciement de cette protection. A quand une aide pour l’Italie quand Salvini sera de retour, à quand une aide à la Grèce quand les grecs refuseront cette immigration voulue par Bruxelles?

    Mr ORBAN ne peut pas être partout à la fois. Bien que je trouve brutale sa façon de faire.

    LA SOCIETE FRANCAISE a constaté à une certaine époque, l’abandon de l’état face à la grande pauvreté. Alors un nommé COLUCHE a été suivi par des millions de citoyens français.

    LES HONGROIS doivent en faire autant et les familles de ces personnes errantes (s’ils en ont encore une) doivent essayer de les réadapter à la vie en commun.

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