Barrie et Tony Drewitt-Barlow, le premier couple homosexuel à être devenu parents en Grande-Bretagne en 1999, a annoncé son divorce dans les colonnes du Sun, tandis que Barrie est tombé amoureux du petit ami de sa fille, Saffron [le « safran » en français].Clap de fin pour Tony et Barrie Drewitt-Barlow. Dimanche 17 novembre, le premier couple homosexuel de Grande-Bretagne à être devenu parents a annoncé son divorce dans les colonnes du Sun. La raison : Barrie est tombé amoureux d’un autre homme. Et pas de n’importe qui, puisqu’il s’agit de Scott Hutchison, le petit ami de leur fille Saffron, âgée de 19 ans. Après avoir vécu une idylle secrète durant huit mois, le millionnaire de 50 ans et son compagnon de 25 ans ont annoncé qu’ils comptaient se marier, recevant notamment la bénédiction de Tony.
De gauche à droite, Saffran, Barrie, Aspen et Tony.
Tony est « Dad », Barrie « Daddy » et Hutchison est l’ex-copain et le nouveau « beau-père » de Saffron.« Je suis tombé amoureux de Scott et il en a fait de même. Je me sens stupide à mon âge d’avoir ces sentiments pour quelqu’un d’autre que Tony et qui a la moitié de mon âge. Mais quand vous savez que quelque chose va bien, c’est bien. Nous n’avons pas fait de projets précis, mais j’aimerais épouser Scott », a annoncé Barrie Drewitt-Barlow au Sun, qui assure par ailleurs qu’il ne fait pas du tout une « crise ». « Si j’en faisais une, je m’achèterais une Porsche 911", précise-t-il. Néanmoins, si l’homme d’affaires de 50 ans a déjà des projets avec Scott Hutchison, pas question pour lui de quitter Tony pour autant...
En effet, toute la petite tribu du couple vit désormais sous le même toit, dans ce que Barrie Drewitt-Barlow nomme « une structure familiale très XXIe siècle ». Ainsi, les deux ex-époux vivent dans leur hôtel particulier en Floride avec leurs cinq enfants, ainsi que Scott. « Nos enfants sont toujours dans une structure stable, plus que dans beaucoup d’autres familles. Mais maintenant, papa a un nouveau compagnon et nous sommes une famille plus heureuse que jamais », a assuré le milliardaire. Impossible donc pour Barrie et Tony Drewitt-Barlow d’effacer leur amour de longue date, tandis qu’en 1999, ils ont été le premier couple gay à avoir deux enfants nés d’une mère porteuse, les jumeaux Saffron et Aspen [le tremble, l’arbre en français, un type de peuplier]. On écrase une larme de joie devant ce tableau si moderne et si idyllique dans la presse ragotière.
Extrait de: Source et auteur
Belle bande de dégénérés, de dépravés sans retenue… Une preuve supplémentaire que le mariage et la procréation pour tous est une vaste fumisterie pour désaxés et autres déviants exhibitionnistes (quel comportement indécent d’aller annoncer dans le SUN que leur « union » a foiré lamentablement).
C’est magnifique, on en a les larmes aux yeux. La bibliothèque rose vers. 2.1 démarre très fort et personne ne doute de son succès.
L’éclatement des familles
https://www.youtube.com/watch?v=KqLbQS_6tk0
Culture trash ?
« Un divorce est souvent synonyme de conflit. Cependant, les deux stars d’Hollywood ont facilement réussi à trouver un terrain d’entente à propos de la garde de leurs enfants : « On avait chacun mis 50% du prix de chaque enfant. Comme on ne parvenait pas à se mettre d’accord pour la garde, on a décidé de les rendre à leur famille respective » confie Angelina Jolie, avec beaucoup de sang-froid.
La situation aurait pu être tout autre. Au tout début, la main sur le cœur, le couple avait d’abord envisagé de mettre ses enfants aux enchères au profit d’une association caritative qui se bat pour la protection de l’enfance. La justice n’a pas autorisé cette transaction originale, à la grande déception de Madonna qui s’était dit« prête à agrandir sa collection à n’importe quel prix ».
http://www.legorafi.fr/2016/09/21/apres-le-divorce-dangelina-jolie-et-brad-pitt-leurs-enfants-seront-rapatries-dans-leur-pays-dorigine/
La photo est impitoyable ! Certes, il ne faut pas se fier aux apparences, ni aux appâts rances, mais tout de même en contemplant ces énergumènes, on ne peut s’empêcher de penser à cette maxime d’Audiard : « heureux soient les fêlés, car ils laisseront passer la lumière ». Or cette lumière projette sur l’écran les chauve-souris que tous ces malades ont dans le beffroi.