La sorcellerie et la magie noire seraient de plus en plus à l’origine d’abus sur des enfants, selon des données officielles d’associations de protection de l’enfance, montrant que les cas de maltraitance liés à des croyances ou convictions religieuses sont en augmentation d’un tiers par an en Angleterre, atteignant le nombre de 2.000. Le Lancashire, […]
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Nous savons, depuis les persécutions contre Tommy Robinson, que le Royaume Uni n’est plus l’île de la Magna Carta et de l’Habeas Corpus. Le présent article nous apprend maintenant que ce n’est plus celui de Newton et de Locke. Ce retour à l’obscurantisme n’est, du reste, pas propre à l’Angleterre, il affecte tout l’Occident. L’obscurantisme contemporain est protéiforme; il prend notamment l’aspect de l’hystérie des « droits de l’Homme », du « réchauffement climatique », de « l’anti-spécisme », de l’adoration des perversions sexuelles, de l’hystérie néo-féministe. Alors, pourquoi pas celui de la sorcellerie ? Récemment, on a entendu un éloge des sorcières, ces « pauvres femmes » révoltées contre la « tyrannie » des hommes, un ministricule de Macron s’en réclame. On a connu des films (Américains) et des séries (Américaines) dont les héros sont sorciers et les sorcières jolies; fatalement, cela tourne les esprits faibles. Parions que le Grand Albert et le Petit Albert caracoleront un jour en tête du chiffre des ventes en librairie.
Tout cela prêterait à rire si cet obscurantisme -qui n’a rien à voir avec un Moyen-Age fantasmé- ne finissait pas par tuer. Le ridicule ne tue pas, mais l’imbécillité, si !