Entre 15 et 20 gendarmes sont actuellement sous surveillance pour radicalisation

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Le 3 octobre, Mickaël Harpon, alors employé par le service informatique de la Direction du renseignement de la préfecture de police de Paris [DRPP], a tué quatre de ses collègues à l’arme blanche, avant d’être abattu par un jeune fonctionnaire de police. L’enquête, conduite sous l’autorité du Parquet national antiterroriste [PNAT], a montré que cet...

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Un commentaire

  1. Posté par Antoine le

    « Nous avons à peu près une vingtaine de cas individuels qui sont en cours de traitement », a indiqué le général Lizurey
    http://www.opex360.com/2019/10/14/entre-15-et-20-gendarmes-sont-actuellement-sous-surveillance-pour-radicalisation/
    Ce n’est que la pointe de l’iceberg ! Vu ce qui c’est passé à la Préfecture de Police, je doute très fort que tous les cas de radicalisation soient rapportés et fassent état d’un rapport !
    Il y a aussi l’Armée (Terre, Mer et Air) qui possède des armes dont l’usage pourrait poser problème en cas de radicalisation d’un individu. Ce n’est pas l’arme qui est dangereuse, c’est la main qui presse la détente …

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