113 migrants subsahariens noyés : la faute à Salvini, ou aux ONG et leurs mafias ?

27 juillet 2019 - par

113 migrants subsahariens, dont des mineurs, sont morts noyés à proximité des eaux territoriales libyennes, à 8 km des côtes.

Ils ont été envoyés à la mort sur des embarcations qui en aucun cas ne pouvaient traverser la Méditerranée, ni jusqu’à Lampedusa, ni jusqu’à La Valette, par des « passeurs » qui n’ont même pas pris la précaution de prévenir les navires des ONG, comme ils le font d’habitude. Ces navires qui ne sont là que lorsqu’on les attend, avec lesquels on a pris rendez-vous ! Comme cela vient d’être prouvé par la justice italienne.

Ils viennent s’ajouter aux milliers de migrants qui ont déjà péri dans ces traversées, victimes de ces « marchands de chair humaine », ces esclavagistes du XXIe siècle.

Et nos gouvernants européens, et plus particulièrement ceux de la France, de l’Espagne et d’une douzaine d’autres pays, sont, paraît-il, bouleversés, offusqués, peinés, mais n’entreprennent absolument rien pour que cela cesse.

Le port de La Valette, sur l’Île de Malte, a accueilli en moins d’une semaine plus de 250 migrants, dont une vingtaine de mineurs isolés.

135 migrants sont actuellement bloqués sur un navire des gardes-côtes italiens, secourus en mer le 26 juillet alors qu’ils étaient entassés sur des embarcations de fortune.

Matteo Salvini, le ministre de l’Intérieur italien, le seul dirigeant à la hauteur de cette situation devenue désespérée, exige un accord européen de répartition avant qu’ils ne puissent débarquer.

Le 22 juillet, le Président Macron avait pourtant annoncé cet accord entre 14 pays européens pour mettre en place un mécanisme de solidarité afin de les répartir, mais il avait précisé, en préalable, que ces migrants devaient d’abord débarqués en Italie, provoquant la colère, à juste titre, de Salvini.

Oui, il s’agit d’un drame, un de plus et pas le dernier, mais osons poser les questions qui fâchent :

*L’Algérie et la Tunisie ont maîtrisé ce problème migratoire, d’une manière sans doute brutale mais indispensable faute d’une meilleure solution, en n’acceptant pas l’arrivée de ces migrants et en rejetant hors de leurs frontières, dans des conditions parfois impitoyables, ceux qui réussissent à pénétrer dans le pays.

Dès lors les « mafias » de passeurs se sont éloignées vers des frontières bien plus accessibles, celles de la Libye et du Maroc, qui rapportent bien plus de bénéfices.

*Justement, puisqu’il est question de bénéfices ? Une question à laquelle il n’est pas facile de répondre, tant cela paraît secret : ces passages coûtent environ entre 2 000 et 5 000 euros. Comment des migrants provenant de pays où le salaire moyen mensuel oscille entre 30 et 150 euros et qui, puisqu’ils le quittent, ne travaillaient sans doute pas, peuvent-ils réunir de telles sommes représentant des années de salaire ?

Et les mineurs isolés, qui eux ne travaillaient certainement pas dans leurs pays, et n’ont donc aucun salaire, qui a payé pour leurs passages ?

Nous savons qui finance les ONG, mais qui paie les millions d’euros aux mafias de passeurs ? Mystère !

Depuis plusieurs années nous réclamons que les armées et les forces de l’ordre des pays concernés soient positionnées aux frontières afin d’interdire le passage de tous les migrants africains, de l’est comme de l’ouest et, si elles ne sont pas en mesure d’organiser ces barrages, comme le font l’Algérie et la Tunisie, et comme ne le font pas ni la Libye, ni le Maroc, alors que l’Europe, et la France plus particulièrement, puisque son armée est positionnée en Afrique, s’en chargent directement.

C’est la seule solution possible à ce problème humanitaire, dans l’immédiat.

Le futur devrait être, mais cela sera impossible à réaliser, d’aider ces pays africains à se développer afin de non seulement retenir, mais également de faire revenir, tous ces cerveaux indispensables à l’exploitation de leurs immenses richesses !

Pourquoi impossible à réaliser ? Parce que je vous laisse deviner dans quelles poches vont directement les milliards versés !

Manuel Gomez

source:

4 commentaires

  1. Posté par bachman le

    bonne nouvelle , moins bonne pour les trafiquants mais comme ils ont déjà été payés , ils s’en tamponnent

  2. Posté par léopold le

    La faute aux commanditaires des ONG islamo-gauchistes, et en 1er lieu à George Soros.
    Sans ces donneurs d’ordre et sans la mafia des passeurs, il n’y aurait pas de victimes.
    Ces « philantropes » d’opérette devraient les aider CHEZ EUX, en Afrique.

  3. Posté par Jean-Francois Morf le

    La faute aux imams, certainement.

Et vous, qu'en pensez vous ?

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