Cenator : 24 heures des 6-7 juillet retrace les tribulations d’espions russes, principalement sur sol helvétique, s’intéressant de très près à l’agence antidopage.
Sachant ce que le sport est devenu actuellement, nous nous demandons si la Russie n’est pas en retard d’une guerre.
En effet, le champion Caster Semenya, coureur d’Afrique du Sud, se considère et se sent « femme » et participe ainsi dans cette catégorie aux compétitions sportives – où il s’impose alors tout naturellement. La Commission mondiale du sport a recommandé à ce sportif de prendre des hormones féminines pour pouvoir continuer de participer à des compétitions dans la catégorie féminine. Plein d’humour, Zsolt Bayer, un journaliste hongrois, a dit qu’il pariait que Caster Semenya disposait d’une « tuyauterie qui lui pend jusqu’aux genoux». Loin de nous de penser une chose pareille, nous nous interrogeons simplement sur ce qui peut être encore considéré comme du «sport » actuellement.
Dans l’enquête pleine de rebondissements de 24 heures De Genève à Lausanne, sur les traces de l'espion russe, concernant l’espionnage russe en Suisse, on remarque une info accessoire qui mérite malgré tout une réflexion attentive:
« [...] Par un curieux hasard, l’ambassadrice des États-Unis en Suisse, Susan LeVine, qui a quitté ses fonctions quelques mois plus tôt, donne ce midi-là (ndlr : vendredi 6 octobre 2015) une conférence publique au Rolex Learning Center (EPFL). [...] pendant qu’une autre équipe tentait de placer un mouchard ou essayait de pirater un ordinateur portable laissé au Beau-Rivage Palace, où le couple (LaVine) avait posé ses valises ? [...] »
Pourquoi une ambassadrice "libérale" des USA, qui n’était plus en fonction, s’est-elle installée au Beau-Rivage durant plusieurs mois ? Qui a financé son séjour ? Sur quels sujets portait le discours de Susan LeVine donnée à l’EPFL, à l’époque du militant pro-UE Patrick Aebischer ?
Susan LeVine était-elle payée pour cela, et si oui, combien ?
Nous savons que le couple Clinton a amassé des centaines de millions de dollars au moyen de conférences soutenues par des pouvoirs obscurs.
Pratique habituelle des personnalités politiques de la gauche américaine lorsqu’elles perdent les élections (voir aussi le cas d’Al Gore).
L’orientation politisée, de gauche, de l’EPFL, est-elle légale ?
Les conférenciers de gauche, comme les meilleurs amis d’Obama, s'y succèdent. L’EPFL est engagée dans de multiples causes politiques, surtout de gauche… le réchauffement climatique, le multiculturalisme, elle défend toujours des causes, comme la soumission à l’UE.
Durant les campagnes de votations, les scientifiques de l’EPFL mettent en garde la population contre les immenses préjudices encourus par la recherche et les carrières estudiantines (Erasmus), si le corps électoral refusait de céder aux sirènes de l’UE.
Par ailleurs, qui sont les influenceurs extérieurs sur le monde académique suisse, et spécialement en Suisse romande, où une grande partie de l’enseignement, surtout dans les sciences sociales et dites humaines, a épousé les positions de le gauche américaine ?
En ce qui concerne la souveraineté de la Suisse, voilà des questions qui nécessiteraient une réponse… au lieu que l’on s’indigne de l’ingérence russe dans la lutte anti-dopage.
Cette dernière lutte étant ridicule en termes d'importance pour la survie de notre indépendance.
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Image: "Madame" Caster Semenya, coureur d’Afrique du Sud
Cette constatation est plus qu’intéressante. Aujourd’hui le milieu journalistique d’obédiences totalement de gauche, nous impose sans relâche des non-informations, histoire ici de tirer sur les Russes. Il est vrai que les Russes, pour nos soixante-huitards retardés, firent un jour partie de l’ex-Urss et furent les initiateurs d’une soif illimitée vers la victoire finale des communistes et leur satané Grand Soir. Déjà préférer la nuit au lieu du jour, c’est aussi démontrer que l’obscurité permet encore mieux de cacher certaines vérités. Nos crypto-communistes retournés sous terre ont maintenant un compte à régler avec la Russie qui doit encore détenir un certain nombre de dossier sur ces traîtres de toujours, ce qui doit naturellement les agacer souverainement.
« L’orientation politisée, de gauche, de l’EPFL, … »
C’est la première fois que je vois ce fait écrit noir sur blanc et je m’en félicite. En effet, j’ai passé 12 ans à l’EPFL il y a une quarantaine d’années. Déjà à l’époque, quelle n’a pas été ma surprise, pour ne pas dire ma stupéfaction, de voir l’extrêmisme de gauche omniprésent car encouragé, valorisé. Le fait d’avoir fait quelques remarques critiques à l’égard de l’URSS m’a valu la haine d’extrêmes gauchistes (influents car protégés en haut lieu !). J’y ai découvert la préférence étrangère : nomination à des postes importants d’étrangers incompétents (et parfois malhonnêtes, exploitant les ressources de l’EPFL à leur propre profit, je l’ai vu et on m’a fait comprendre de fermer ma gu…) au détriment de suisses à la compétence démontrée (et honnêtes). Des professeurs (parfois étrangers) d’une nullité incroyable (pour quelqu’un qui ne l’a pas vu, il ne peut pas y croire. Remarque : Je ne dis pas que tous les professeurs sont nuls !). Ma seule explication est que l’EPFL, à l’instar de la SSR par exemple, est sous la coupe de la franc-maçonnerie, du pistonnage associé et de son idéologie : socialisme, internationalisme, immigrationnisme, multiculturalisme, féminisme, etc..