Sous l’influence de la drogue, son appétit sexuel n’a plus de limites. Pour la deuxième fois, Levent Y., 41 ans, a été reconnu coupable d’un crime sexuel. Début mars 2018, il a violé la meilleure amie de sa fille, alors âgée de 14 ans.
Le témoignage de la victime est crédible
Le 5 juin, Levent Y. a fait des aveux tardifs. Il pensait que la victime n’avait pas résisté. Mais sa mémoire n’était pas très bonne parce qu’il avait pris de la cocaïne. Par ces aveux, il a épargné à sa fille et à la victime de devoir répéter leur déposition. Quand sa fille a entendu parler de ces aveux, elle a été complètement effondrée. Elle a pleuré en courbant le dos comme si une lourde charge la pressait vers le sol.
Y. aurait certainement été condamné même sans ses aveux, mais la peine aurait été plus lourde. Car une psychologue a estimé le témoignage de la victime très crédible. En effet, ses déclarations à la police, au juge et lors de l’évaluation étaient constantes.
Levent Y. avait déjà été reconnu coupable de tentative de viol en 2004 par le tribunal régional de Hanovre. Fin 2002, il avait tenté de violer dans des buissons une jeune fille de 16 ans rencontrée par hasard. Condamné à deux ans et demi de prison, il avait été interné dans une clinique fermée pour sevrage de drogue. Le crime de mars 2018 était également plutôt accidentel. La jeune fille de 14 ans venait voir sa meilleure amie mais elle est tombée sur son bourreau.
Tendance à la violence sexuelle
Cette fois-ci, un expert psychiatre a de nouveau diagnostiqué une dépendance à l’alcool et à la cocaïne. « Sous l’influence de la drogue, il est sujet à la violence sexuelle ». C’est pourquoi un emprisonnement est indiqué, aussi à cause du risque de récidive. La victime avait signalé que Levent Y. avait la tête rouge vif et des problèmes d’élocution pendant le crime. Pour l’expert, c’est un signe clair que l’homme avait une responsabilité limitée au moment des faits.
La victime souffre encore d’humeurs dépressives et d’une compulsion de lavage. La famille a quitté Hanovre. Et bien sûr l’amitié entre les deux familles est terminée.
Source : Neue Presse
Résumé Cenator
Conclusion: toujours prendre de la drogue avant de violer un avocat, un juge ou un psychiatre (saltimbanque), responsabilité limitée selon l’expert…gare au goriiii-iiiii-le!
C’est quoi la sentence en Turquie pour un viol ?
Traduction du code pénal turc :
http://ob.nubati.net/en/tpc.php