Cenator : Alors que la Suède est citée en exemple comme pays qui se dissout dans le politiquement correct, la Suisse garde encore son aura grâce au mythe de sa démocratie directe. Pourtant, il y a des signes montrant que la Suède est en train de se réveiller, alors que la Suisse s’enfonce dans la soumission et accélère sa disparition à coup de votations populaires.
Nous venons d'apprendre que selon les sondages, [...] 40 % des Suédois estiment que les immigrés ne devraient pas bénéficier des mêmes droits sociaux que les nationaux. De même, un cinquième des Suédois pensent que la diversité menace la culture nationale et trois Suédois sur dix déménageraient volontiers en cas d’installation d’immigrés originaires du Proche-Orient à côté de leur lieu de résidence. [...]
En Suisse, la liberté de parole, la liberté de penser sont muselées par les médias, les Suisses sont dressés à penser « correctement ». Aucune personne ne peut avoir droit à la parole publique si son message n’est pas dans la ligne de la bien-pensance. La propagande gauchiste, le lavage du cerveau quotidien ont totalement abruti le peuple... enfin, pour ce qui reste du peuple. Car lorsque nous voyons de près de quoi est composée la Suisse multiculturelle, ce n’est pas 50 %, mais seulement 25% de ses habitants qui ont encore quatre grands-parents suisses, non naturalisés... et dans les villes romandes, c’est moins de 20%.
Pour le reste des Suisses de souche, la moitié vote Vert/socialiste/PLR/PDC, en somme, tout sauf UDC, tellement leurs cerveaux sont imbibés de bienpensance. Le reste de la population, 25-30% ne suffiront plus pour faire pencher la balance afin que la Suisse redevienne un pays souverain, capable de défendre ses intérêts pour sa survie.
Et en ce qui concerne la dénatalité en cours, lors du débat du 22.05.2019 à Forum, Jean-Luc Addor était opposé à Philippe Nantermod (PLR), suite au dernier bobard sur la qualité du sperme des Suisses (les manifs pour le climat, ça se prépare).
Addor, qui a déposé une interpellation parlementaire, défendait le principe de faire rembourser les traitements aidant à la procréation et défendait l’idée d’une politique familiale nataliste pour mettre fin au suicide démographique.
Il parlait de suicide démographique et évoquait la contradiction résultant du fait que l’avortement était pris en charge par la collectivité alors que l’aide à la procréation ne le serait pas. Nantermod, agressif comme d’habitude, traitait Addor de populiste, et le journaliste faisait tout pour qu’Addor soit « écrasé » dans le débat.
Addor n’a pas évoqué toute la réalité, cela lui aurait probablement coûté sa carrière politique, concernant les femmes musulmanes, africaines vivant en Suisse et qui accouchent à la place des indigènes. Phénomène qui renforce la tendance à la dénatalité des Suisses car toutes les aides financières allant à ces familles, chargent d'autant plus les contribuables qui les entretiennent.
Le fait même qu’il n’est pas permis d’exposer publiquement le bilan de la situation telle qu’elle est – gare aux accusations de racisme – rend impossible la lutte pour la survie du pays.
Actuellement, les Suisses ne veulent rien savoir du fait que leur pays est envahi, conquis. Mais le temps viendra très rapidement où ils s’apercevront que dorénavant ils ne sont plus nulle part chez eux.
https://www.bvoltaire.fr/integration-suedoise-la-faillite/
La Suisse est déjà un état sans âme. Genève est le example le le plus proche de ce qu’attend au reste du pays une fois un beaux país. L’immigration d’une fois contrôlée et bien dirigée est aujourd’hui un rêve sans sens avec des politiques visant la poche des deux ou trois politiciens profitant la nativité, inconscience et la faiblesse du peuple qu’on lui impose une fause démocratie. Aidant à des faux requérant
d’asile qui ne sont que un poids pour la société suisse castré et contre le mur.
Triste constat.
Mais la réalité n’est pas visible par la gauche.
Petit calcul élémentaire :
1 mineur isolé = 50’000.- Fr./an
10’000.- Fr./an par enfant d’aide aux parents suisses souhaitant avoir des enfants mais n’en ayant pas les moyens = 5 enfants suisses.
cqfd
L’immigration folle qui a fait plus que doubler la population de la suisse (de 4 à 8,5 millions d’habitants) a détruit la Suisse (celle qui a attiré les immigrés). Schwarzenbach avait raison. La gauche haineuse (« 700 ans, ça suffit », « La Suisse n’existe pas ») a gagné.
De toute façon à 80% « l’identité nationale » du Suisse est « matérialisée » par la grande distribution à travers les deux chaînes que j’appellerai quasiment des magasins d’Etat.
Les dernières votations ont vu un taux global de participation de 43% ! Donc 57% de la population ne se sent pas concerné par sa propre destinée. C’est effarant.
Déjà, à Genève, on n’est plus nulle part chez soi, et c’est la même chose dans toutes les villes romandes dans lesquelles j’ai eu l’occasion de me rendre ces derniers temps.
La proportion des Suisses historiquement ancrés dans la Suisse est effectivement de plus en plus maigre, particulièrement depuis 1992, date de l’autorisation de la double- voire de la triple-nationalité.