Angleterre : employée d’une école licenciée après avoir protesté contre l’endoctrinement pro-LGBT

Kristie Higgs, 43 ans, assistante pastorale de l’école secondaire Farmor’s School, à Fairford, Gloucestershire, a été licenciée pour s’être opposée à l’enseignement des questions de genre dans l’école primaire de son fils, dirigée par l’Eglise d’Angleterre. Il s’agit du programme « No Outsiders » (traduction libre : Pas d’exclusions) enseignant la tolérance à l’égard des minorités, sexuelles et autres.

Kristy Higgs a critiqué sur sa page Facebook le fait que l’école exigeait que « l’éducation relationnelle » soit obligatoire. Par exemple, l’école a commencé à utiliser des livres sur un garçon qui porte des robes.

Elle a écrit : « Ce qui signifie, par exemple, que les enfants apprendront que toutes les relations sont également valables et « normales », de sorte que le mariage homosexuel est exactement la même chose que le mariage traditionnel, et que le sexe est une question de choix et non de biologie, si bien que c’est aux enfants de choisir de quel sexe ils sont. »

Pour Mme Higgs, cela revient à interdire l’enseignement des croyances chrétiennes fondamentales et porte atteinte à la liberté de croyance.

La mère de deux enfants, qui travaillait dans cette école depuis six ans de façon irréprochable, a invité en octobre 2018 ses relations sur Facebook à signer une pétition contre le nouveau programme d’éducation sexuelle.

Une plainte anonyme est parvenue à l’école par courriel, accusant Mme Higgs d’avoir « affiché des opinions homophobes » potentiellement nuisibles à la réputation de son école. Un comité disciplinaire l’a alors licenciée pour « faute grave ».

Ce litige est le résultat d’un libéralisme croissant au sein du système éducatif britannique. Récemment, le ministère de l’Éducation du Royaume-Uni a établi une nouvelle directive selon laquelle les élèves d’à peine cinq ans doivent apprendre les relations LGBT et le changement de sexe. Ils ont même permis aux directeurs d’établissements de « passer outre » à la volonté des parents qui refuseraient que leurs enfants assistent aux cours controversés d’éducation sexuelle.

Colin Hart, président de la Coalition pour le Mariage, a vivement critiqué le nouveau programme :

« Le ministère de l’Éducation met sur la touchet le mariage traditionnel, qui est la forme de relation la plus stable pour élever les enfants, et les force à apprendre toutes les autres formes de relation existantes, même lorsque ce n’est pas adapté à leur âge. La loi devrait encourager le mariage traditionnel, et non l’affaiblir ».

Sources : Daily Mail via Christian Broadcast News

Résumé Cenator

A Birmingham, ce sont des parents musulmans qui ont protesté contre le nouveau cours d’éducation sexuelle. Là, l’école concernée a suspendu sine die les cours controversés, en attendant qu’un accord soit trouvé avec les parents.
Daily Mail, Metro.news

5 commentaires

  1. Posté par Médevielle le

    On est mal partis et on se demande où toutes ces déviances, que l’on veut nous imposer comme la normalité vont nous conduire. Ces minorités sont en passe de saper ce que des générations ont mis en place pour nous offrir une société à peu près civilisée.

  2. Posté par Antoine le

    le 2 poids 2 mesures dans l’éducation :
     »A Birmingham, ce sont des parents MUSULMANS qui ont protesté contre le nouveau cours d’éducation sexuelle. Là, l’école concernée a suspendu sine die les cours controversés, en attendant qu’un accord soit trouvé avec les parents. »
    Bizarre, vous avez dit bizarre ?

  3. Posté par G. Guichard le

    De toute façon, tout ceci est apparu en surface avec 1968 et s’est imposé comme norme au moment de la soit-disant Chute du mur, avec le concours de l’ONU et de l’OMS
    Avant 1968, une vaste mouvance existant depuis vers 1880 et qui était le fond de commerce des différents bolchevismes avait été marginalisée par le bolchevisme modéré américain: LBGT, nymphomanes, enfants illégitimes, toxicomanes, pornographes, opposants à la peine de mort, etc. etc.

  4. Posté par MEIERS le

    A mon avis le ver est dans le fruit par l’introduction du concept d' »égalité » entre le « mariage » homosexuel et le mariage chrétien. En effet jusqu’à présent l’homosexualité était une déviation sexuelle pratiquée par au plus 5 à 10% de la population. En plaçant cette déviance sur un pied d’égalité (si l’on peut dire) avec le mariage normal on provoque un problème nouveau. En effet les homosexuels peuvent souligner logiquement qu’il n’ont pas les mêmes chances de trouver des partenaires sexuels que les normaux, puisqu’ils sont moins nombreux. C’est un peu le même effet que le principe constitutionnel d’égalité entre hommes et femmes; il conduit à ce que, par exemple, des contrats de travail où les femmes gagnent moins que les hommes soient remis en cause. Dans le cas de l’homosexualité aussi le principe d’égalité conduit à élever progressivement le taux d’homosexuels dans la population jusqu’à concurrence de 50%. Et le moyen le plus efficace sera d’inciter dès le plus jeune âge les garçons à accepter, puis à pratiquer l’homosexualité grâce à l’enseignement du gender. A la fin du processus un père, oncle ou grand-père qui oserait encore rappeler au jeune garçon que c’est une honte pour un homme de se mettre à genoux devant un autre pour lui faire une gâterie de la bouche ou de baisser son pantalon pour se « faire faire un enfant dans le dos » selon l’expression consacrée risquerait d’entraîner l’ intervention des services sociaux qui retireront l’enfant à sa famille. En effet on considèrera qu’ils entravent le droit de l’enfant à béneficier des plaisirs homosexuels et son « libre développement sexuel!

  5. Posté par Nicolas le

    Ces salopards de dégénérés préparent le terrain pour les fondamentalistes musulmans qui vont tôt ou tard vouloir renverser la table avec l’appui des gens normaux. Mais on ne combat pas la peste avec le choléra, et tout ça va très mal finir.

Et vous, qu'en pensez vous ?

Poster un commentaire

Votre commentaire est susceptible d'être modéré, nous vous prions d'être patients.

* Ces champs sont obligatoires

Avertissement! Seuls les commentaires signés par leurs auteurs sont admis, sauf exceptions demandées auprès des Observateurs.ch pour des raisons personnelles ou professionnelles. Les commentaires sont en principe modérés. Toutefois, étant donné le nombre très considérable et en progression fulgurante des commentaires (259'163 commentaires retenus et 79'280 articles publiés, chiffres au 1 décembre 2020), un travail de modération complet et exhaustif est totalement impensable. Notre site invite, par conséquent, les commentateurs à ne pas transgresser les règles élémentaires en vigueur et à se conformer à la loi afin d’éviter tout recours en justice. Le site n’est pas responsable de propos condamnables par la loi et fournira, en cas de demande et dans la mesure du possible, les éléments nécessaires à l’identification des auteurs faisant l’objet d’une procédure judiciaire. Les commentaires n’engagent que leurs auteurs. Le site se réserve, par ailleurs, le droit de supprimer tout commentaire qu’il repérerait comme anonyme et invite plus généralement les commentateurs à s’en tenir à des propos acceptables et non condamnables.

Entrez les deux mots ci-dessous (séparés par un espace). Si vous n'arrivez pas à lire les mots vous pouvez afficher une nouvelle image.