« J’accuse » les autorités lausannoises de laisser prendre la population en otage

Cenator : À répétition, la police lausannoise, sur ordre des gauchistes au pouvoir, privilégie les manifestations non autorisées d’« Extinction Rebellion  » au détriment des ambulances, des pompiers et du reste de la population.

« Extinction Rebellion » est une organisation qui est née il y a quelques mois sur un modèle de lutte bolchévique, utilisé dans les révolutions de couleur des forces globalistes anticapitalistes, qui attaquent le monde libre et la civilisation occidentale depuis une cinquantaine d’années.

Le livre à ce sujet, actuellement en vente chez Payot, est le « Petit manuel de résistance contemporaine : Récits et stratégies pour transformer le monde » de Cyril Dion. C’est le guide spirituel de nos petits et grands crétins qui se laissent embobiner par cette manipulation de masse au nom d’une prétendue urgence climatique.

Nous pouvons remonter aux sources de cette méthode qui a inspiré les révolutions de couleur à la Soros – ces révolutions qui ont déstabilisé et fait sombrer dans le chaos plusieurs États – en lisant « Être radical » de Saul Alinsky, « Désobéir » de Xavier Renou, « Comment faire tomber un dictateur quand on est seul, tout petit, et sans armes » de Srdja Popovic… et bien d’autres ouvrages de la même veine.

Les forces globalistes tirent les ficelles dans l’ombre en se servant des petits saligauds narcissiques qui rêvent de devenir de futurs Che Guevara et veulent réaliser leur rêves révolutionnaire anticapitaliste en se servant de l’hystérie climatique.

Rappelons que Lausanne est entièrement gouvernée par la gauche depuis des décennies, ce qui explique que des manifestations non autorisées à répétition puissent bloquer des artères vitales de la ville durant des heures, en ne laissant passer ni ambulance, ni pompiers, ni d’autres véhicules… tout cela en présence de policiers impuissants du fait des directives reçues de leurs supérieurs acquis aux idées de gauche.

Les dirigeants de la ville défendent les causes de la gauche et la police, qui a toléré durant plus d’une décennie la vente de drogues devant les écoles, ne va pas entrer en conflit avec la municipalité pour si peu.

Lorsque des patrouilles privées ont voulu défendre pacifiquement la population contre les incivilités, cela a été qualifié par les gauchistes au pouvoir d’action « de l’extrême droite » et ces patrouilles ont été interdites.

Pourtant, encore actuellement à Lausanne, si l’on emprunte le soir la rue de la Borde, l’avenue de France, les petites rues vers la Cité, il faut passer devant des rangées de dealers africains, et les jeunes femmes se font régulièrement harceler.

Bloquer des artères principales de Lausanne n’est pas sans conséquences : que des gens risquent de rater leur train ou leur avion, de manquer un rendez-vous important (une dialyse, un entretien d’embauche), voire peut-être d’arriver trop tard au chevet d’un être cher mourant, etc.

En Russie, en Hongrie ou en Pologne, ce genre d’entrave à la vie quotidienne ne pourrait pas se produire deux fois sans que la population ne réagisse et ne dégage manu militari tous ces ratés du ciboulot.

Mais à Lausanne, si la population excédée intervenait, cela engendrerait probablement l’intervention musclée de la police contre les citoyens et en faveur des manifestants/emmerdeurs «non-violents ».

L’utilisation d’actions non-violentes par de minorités qui en abusent exerce des violences vicieuses et intolérables envers les personnes respectueuses des lois… à savoir l’immense majorité des populations occidentales.

*****

Lematin.ch: Lausanne - un nouveau "dîner pour le climat" a bloqué le Grand-Pont

Des étudiants, des familles avec enfants et des Lausannois de tous les âges sont descendus du trottoir et ont mangé leur sandwich sur le Grand-Pont de la capitale vaudoise.

Près de 350 personnes ont dîné à même le bitume jeudi sur le Grand-Pont de Lausanne. L'organisation Extinction Rebellion a bloqué la circulation pendant une heure [...]

Beltan Michel, porte-parole d'Extinction Rebellion. D'autres actions auront lieu ces prochains jours dans le cadre des deux semaines de désobéissance civile. Mais l'organisation ne peut pas en dire plus pour le moment.

[...]

La manifestation n'avait pas été autorisée, mais la police n'est pas intervenue. «Nous allons monter d'un cran dans nos actions. Il faut déranger pour être écouté» [...]

article complet:

un commentairs à cet article:

Roger Favre: Drôle de ville, certaines manifestations sont interdites et sanctionnées de suite. Et d'autres interdites mais avec approbation de la commune et sans sanction. Faut-il continuer à respecter les lois? Mare de ces gens qui empêche les autres de travailler pour gagner leurs vie et en entretenir d'autres. Il ne faut plus se rendre dans cette ville pour ses achats

Un commentaire

  1. Posté par pierre frankenhauser le

    Après le déficit de 28 millions pour 2018, les gauchiasses marxistes de la municipalité de Lazône feraient mieux de cesser de pleurnicher en accusant le canton et de se retrousser les manches, de se secouer la pulpe. Les mêmes gauchiasses aveugles qui tolèrent depuis bien trop longtemps, pour ne pas dire encouragent, tous les actes inadmissibles de cette clique de branleurs et de ratés: des manifestations illégales pour des motifs injustifiés, le deal de rue par nos envahisseurs africains et arabo-musulmans qui pourrit le cerveau de notre jeunesse, un laisser-faire inacceptable envers les délinquants en tout genre sous le prétexte éhonté de tolérance, la création systématique de postes de fonctionnaires qui parasite notre société et coule les finances publiques, etc.
    Payer ses impôts à Lausanne, c’est devenu du masochisme!

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