Ndlr. Et rappel de notre article sur la menace de Christophe Darbellay d’envoyer la police à Uli Windisch. Nous allons aussi reproduire sur notre site toutes les démarches éventuelles qui seront entreprises à notre égard par ce même politicien menaçant compulsionnel.
Lien vers l'article en allemand de la Weltwoche, ici
Traduction résumée en français de l'article susmentionné par
Claude Haenggli, 5.4.2019; trad partielle du 2e article de la Weltwoche sur les "affaires Darbellay":
L’affaire Darbellay met en évidence le dressage des journalistes par les politiciens
La Weltwoche fait le récit de la manipulation juridique utilisée par Christophe Darbellay pour essayer d'empêcher la publication d’un article qui lui était défavorable. Il s’est servi de la procédure juridique appelée « mesure superprovisoire » de façon particulièrement habile, en ne répondant volontairement pas à des SMS et des Whatsapp lui demandant de prendre position sur l’article qui allait paraître. Cela aurait pu occasionner de graves dommages financiers à la Weltwoche si l’interdiction de publier était arrivée au moment où l’hebdomadaire était déjà sous presse. Cette interdiction ayant toutefois été demandée trop tard par son avocat, seule la version numérique a pu être censurée, car la version papier était déjà à la poste. Il ne restait à Darbellay que de faire acheter les exemplaires se trouvant dans les kiosques de Sion. A long terme, il est toutefois arrivé partiellement à ses fins, car aucun journal n'osera plus publier des informations sur ses démêlés avec la mère de son enfant hors mariage, les politiciens comme lui étant, en cas de coûteux procès, beaucoup mieux placés sur le plan financier que les journaux actuellement en crise. La Weltwoche généralise par ailleurs le problème en relevant la tendance nouvelle des politiciens, notamment en Suisse Romande (Baudet, Broulis, de Quattro), d'exercer la censure à l’aide de la justice.
Traduction (Claude Haenggli) : Il n’est donc pas étonnant qu’aucune rédaction en Suisse romande ne se soit permis de rappeler les promesses électorales du conseiller d’État Christophe Darbellay pour les comparer avec la réalité. Que les reproches adressés au « politicien de la famille » soient justifiés ou non ne joue dans ce cas qu’un rôle secondaire. Dans les rédactions par ailleurs douloureusement réduites en effectifs au cours des dernières années, on manque de courage et de moyens pour tenir tête aux avocats des politiciens.
Ndlr. Merci à Claude Haenggli
Rappel de notre article sur la menace de Christophe Darbellay d'envoyer la police à Uli Windisch, ici
Tiens, ça me rappelle un autre gauchiasse qui n’assumait pas les conséquences de ses galipettes: François Miterrand. Ce dernier avait notamment menacé le journal qui tentait d’ébruiter l’affaire et fait incendier les journaux qui devaient être distribués au petit matin. Mazarine Darbellay, ça sonnerait bien. Cette tête à baffe peut bien se moquer des déboires électoraux de l’UDC et se montrer arrogant avec beaucoup de gens, mais il ferait mieux de balayer devant sa porte. Sa carrière politique risque bien de se terminer plus tôt que prévu.