Comment le PS présente Soros à ses adeptes

« Nous devons le répéter inlassablement : les médias sont en guerre pour votre cerveau et votre âme, ils ne cherchent pas à vous informer mais à vous transformer. » (Jean-Patrick Grumberg)

 

Cenator : L’article ci-dessous sur Soros, provenant du site du PS, est un bon exemple de la propagande qui inonde nos cerveaux et nos âmes, sans interruption et sans possibilité de les confronter à la réalité.

Jour après jour, nous entendons répéter que la Hongrie est gouvernée par un autocrate populiste, comparable à Erdogan, que la presse y est muselée et que la démocratie y est en péril.
En réalité, la gauche et la droite s’y expriment librement par de multiples médias, contrairement à la Suisse romande, où l’expression est strictement monochrome.

Pour camoufler la vérité, la Gauche et les médias font croire que les attaques du gouvernement hongrois  contre Soros seraient de nature antisémites,… ce qui n’est en rien le cas. En effet, le gouvernement hongrois reproche à Soros ses agissements pervers sous couvert d’actions philanthropiques désintéressées. Cela, la Gauche veut à tout prix le maintenir cacher car avouer la vérité sur les activités de Soros, ce serait dévoiler au grand public une liste de sales coups et de corrompus dont la gauche occidentale est complice.

Heureusement, grâce à l’internet, de plus en plus de personnes savent que Soros (et la puissante gauche des USA) travaille pour la transformation et la destruction de la civilisation occidentale. Il combat sournoisement la liberté de penser de tous ceux qui ne partagent pas ses idées. Il fomente des révolutions depuis des décennies et fait s’écrouler des gouvernements fragiles, comme celui de l’Ukraine, et corrompt des gens partout où il le peut.

Soros « le juif » : en réalité il n’a rien de juif. Il vient d’une famille athée et il a participé aux exactions commises contre les juifs durant la Seconde guerre mondiale. De plus, Soros est un ennemi d'Israël et l’ennemi de tous ceux qui ne sont pas de gauche.
En ce qui concerne l’antisémitisme, nos gauchistes n’avoueront jamais que c’est dans les sociétés multiculturelles que les exactions de ce type sont actuellement commises.

L’influence de Soros est démesurée via sa fortune provenant d’une spéculation amorale. Certaines ONG, comme Amnesty International par exemple, sont sous son influence, ce que nos médias cachent à la population.

Soros dispose d’un énorme pouvoir pour agir sur la vie politique, alors que personne ne l’a élu – mais curieusement cela ne dérange en rien les socialos. Ces mêmes socialos osent affirmer qu’Orban est « antidémocratique », alors qu’il est le dirigeant le mieux élu de toute l'Europe.  Malgré ce fait, nos médias romands, tous inféodés aux idées « progressistes », ne cessent d’affirmer que c’est Soros qui est légitime et non Orban.

D’autre part, nos médias pervertissent ce que dit Orban. Sa fameuse expression de « démocratie illibérale » ne signifie pas le non-respect de la démocratie, bien au contraire. En hongrois, le mot « libéral » est pris au sens anglo-saxon, à savoir « gauchiste ». Orban ne cesse de répéter qu’il est pour la défense et la préservation des valeurs chrétiennes et de la culture hongroise, cela dans un cadre démocratique.

Certains osent parler du démantèlement de l'Etat et des services publics en Hongrie. Quel délire !

Dans tous les transports publics, les retraités voyagent gratuitement partout en Hongrie. Leur sort ne cesse de s’améliorer.
Dès 2020, une femme hongroise ayant 4 enfants ne paiera plus d’impôts.
Le congé maternité est de 3 ans, à répartir, à la convenance des parents, entre le père, la mère et les grands-parents.
Un couple avec 3 enfants reçoit une aide financière équivalant à la valeur d’une jolie maison à la campagne.
Et, le plus politiquement incorrect, les familles ayant plus de deux enfants bénéficient d’une aide de l'Etat pour l’achat de grandes voitures.

La Hongrie commence à émerger de 45 ans de dictature communiste, sa croissance économique est l’une des plus élevée d'Europe.
Le pays a dû construire un système d'aide sociale et d’assurance chômage en partant de RIEN, la sécurité sociale effective (pas celle vantée par la propagande communiste) étant inexistante durant le communisme. Jamais la gauche suisse n’a dénoncé la misère sociale que le système socialiste avait engendré, ni avant la chute du communisme, ni après.

D'ailleurs, c'est le système de santé étatisé hongrois qui a le plus de peine à se réformer, ce qui devrait alarmer les Suisses qui sont de plus en plus adeptes des projets du PS… à savoir la création d'une "Sécu" suisse.

Alors, de quoi parlent ces journalistes/gauchistes suisses, qui ne seraient même pas capables de situer trois villes hongroises sur la carte ?

Orban est très aimé des Hongrois,… Soros est très haï des Hongrois qui sont conscients de ses manigances perfides, et cela contribue à attiser la haine de Soros envers Orban!

Mais ce qui chagrine le plus la gauche occidentale, c’est qu’à l'Est, les gens ne veulent plus du socialisme, ils sont même la preuve vivante que le socialisme, ça ne marche pas. Ce système y est totalement invendable après les expériences du 20ème siècle.

C'est seulement dans les endroits où la domination des idées de gauche est totale, comme en Suède ou en Suisse romande, que la population continue de voter massivement à gauche, et que la jeunesse désinformée, manipulée, incapable de penser par elle-même, se précipite dans la rue sur les injonctions de la gauche pour sauver la planète, ou pour toute autre cause à la mode,… les plus finaux s'affilient à un des partis de gauche, ce qui sera de toute façon hautement profitable pour leur carrière professionnelle dans le service public toujours plus envahissant.

En Suisse romande, à force de matraquage, les socialistes et leurs dérivés ont réussi à faire croire qu’être de gauche signifie être pour la justice sociale, être du côté des plus déshérités, des sauveurs de la planète, bref être dans le camp du bien.
Cette manie qu’à la Gauche de s'approprier le camp du bien laisse de marbre la plupart des Hongrois, on ne leur refera simplement plus le coup.

La Suisse de toujours est en train de disparaître rapidement à cause de la propagande de gauche qui l’inonde, la pervertit et la paralyse.

Ce qu’on appelait la Suisse il y a cinquante ans n’a plus rien à voir avec le peuple suisse d’aujourd’hui, le remplacement de population est de plus en plus visible.
Et la gauche suisse continue de vouloir encore plus d’immigration, encore plus d’islamisation, encore plus de perte de souveraineté, encore moins de liberté d’expression, encore plus de manipulation de l’opinion et de désinformation, pour achever son projet internationaliste délirant.

*****

Extraits de l'article: "La sale guerre contre George Soros", Pages de Gauche

Posted on 30 décembre 2018 by [email protected]

George Soros, philanthrope et fondateur de l’Open Society Foundation, est attaqué à la fois par l’extrême droite et par la gauche staliniste. Pourquoi la gauche démocratique devrait-elle défendre le propriétaire multimilliardaire d’un hedge fund qui spécule sur les principales monnaies de la planète?

[...]

Orban le sait, bien sûr. En 1989, il a reçu une bourse de la Fondation Soros pour étudier la science politique au Pembroke College d’Oxford. Il tente actuellement de fermer l’Université d’Europe centrale (CEU), fondée en 1991, établie à Budapest et financée par George Soros, dans le but de promouvoir des sociétés ouvertes.

S’agissant des accents antisémites des attaques d’Orban et de son incitation à la haine contre les réfugié·e·s, on aurait pu s’attendre à une approche plus prudente de la part du dirigeant d’un pays qui, en 1944, a envoyé 430’000 de ses citoyen·ne·s dans des camps d’extermination nazis du seul fait qu’ils et elles étaient Juifs[2], et où quelque 200’000 de ses citoyen·ne·s ont dû fuir en Autriche et en Yougoslavie en 1956 quand la Révolution hongroise a été écrasée par les troupes soviétiques. Mais cet homme n’a aucune honte.

Alors qu’Orban égare et effraie le peuple hongrois avec ses mensonges et ses «fake news», le Fidesz ne cesse d’imposer un programme de contre-réformes qui comprend le démantèlement du système public de protection sociale, avec des réductions massives des prestations, un système de retraite insoutenable, une diminution des aides à la santé et à l’éducation, et un discours réactionnaire sur les questions de genre rempli de références patriarcales et médiévales.

On trouve les seconds adversaires de Soros en Roumanie.

[...]

En octobre de cette année, Donald Trump, le président le plus réactionnaire et le  plus corrompu que les États-Unis aient connu depuis les années 1920, accusait Soros d’être l’organisateur des manifestations de femmes contre  son candidat à la Cour Suprême.

[...]

La «démocratie illibérale» d’Orban est un mensonge éhonté, tout comme sa cousine la «démocratie dirigée» qui ne peut être prise au sérieux que dans les pays où la réalité dépasse constamment la satire. De plus, il n’y a rien d’«occidental» dans la démocratie: c’est une valeur universelle.

[...]

George Soros est juif? Ici la réponse est facile: nous sommes aux côtés des Juifs. Pas avec Netanyahou, qui est une petite crapule et qui devrait être en prison.

[...]

Mais attendez, on nous dit que George Soros n’a jamais eu aucun lien avec le mouvement syndical. Comment un milliardaire peut-il être notre allié? La réponse est que nous traitons ici de questions simples. La réalité dominante dans la politique mondiale d’aujourd’hui est l’avancée incessante des forces réactionnaires qui, sous différentes appellations, convergent pour détruire tous les éléments progressistes dont nous avons hérité dans les sociétés européennes et nord-américaines – et ailleurs aussi – après la victoire sur le fascisme à la fin de la Seconde Guerre mondiale, et pour, finalement, détruire la démocratie elle-même. Pour le mouvement syndical, il s’agit d’une question existentielle. Il n’y a pas de problème plus pressant à l’heure actuelle.

La démocratie est en danger

[...]

Soros est un franc-tireur, un milliardaire avec une conscience, et cette conscience lui dit que les activités au service de la collectivité sont plus importantes que l’accumulation de la richesse personnelle. L’année dernière, il a fait don de 18 milliards de dollars à sa Open Society Foundation, sur une fortune estimée à 32 milliards de dollars, faisant d’elle la troisième plus importante au monde et l’opposante actuellement la plus efficace contre toutes les formes d’autocratie, de tyrannie et de dictature. [...]

Dan Gallin

(trad. fr.: www.deepl.com et AC)

Article paru initialement en anglais sur le site du GLI:

The Dirty War Against George Soros (Dan Gallin, August 2018)

[1] Karl Popper, La société ouverte et ses ennemis, 2 vol., Paris, Le Seuil (« Points »), 2018.

[2] Il faut ajouter à ce chiffre 19’000 assassinats en 1941 et en 1942, puis 80’000 en 1944, perpétrés par les autorités hongroises.

[3] Manès Sperber, «La conception policière de l’histoire», in Le talon d’Achille, Paris, Calmann-Lévy, 1957.

Source : https://pagesdegauche.ch/la-sale-guerre-contre-george-soros/

***

légende de l'image: Vous avez aussi le droit de savoir à quoi se prépare Bruxelles (affiche)

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sur Soros:

https://www.ojim.fr/george-soros-et-la-societe-ouverte-premiere-partie/

https://lesobservateurs.ch/2018/11/18/george-soros-et-la-societe-ouverte-deuxieme-partie/

2 commentaires

  1. Posté par Jean-Francois Morf le

    La faillite de tous les pays islamo-socialiste est démontrée, mais comme les islamo-socialistes mentent effrontément, les peuples croient le contraire…

  2. Posté par Pierre Friederich le

    Votre article sur Soros et Juncker est exemplaire et d’une parfaite clairvoyance. L’affiche est très parlante puisque son commentaire traduit en français indique aux Hongrois dans un format 6m sur 2,50m affiché à plus de 1000 exemplaires dans toute la Hongrie « VOUS AVEZ LE DROIT DE SAVOIR CE QUE L’ON MIJOTE A BRUXELLES ». Pour faire bref le premier ministre Orban démocratiquement élu démasque deux comparses de la mondialisation, l’un SOROS tenant d’une immense fortune financière jamais élu nulle part et l’autre, ponte socialo-opportuniste, coopté par ses pairs à Bruxelles.

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