Universités sous influence. L’inquiétant phénomène des études bidons

Source : Guillaume Travers, revue Eléments, déc.-janv. 2029

Rubrique : Pseudosciences 

Universités sous influence

L'inquiétant phénomène des études bidons

 

 Un vaste canular secoue les sciences sociales. Il y a quelques semaines, trois chercheurs américains ont révélé avoir publié, dans de prestigieuses revues universitaires, des articles aux thèses invraisemblables : culture du viol chez les chiens, transophobie soignée par le sextoy, oppression du bodybuilding chez les obèses, etc. Tous ces articles sont des faux, publiés simplement parce qu’ils flattent l’idéologie dominante. Malheureusement, cette affaire n’a rien d’anecdotique. Elle témoigne d’une subversion de la pensée scientifique par la pensée unique. Ce sont l’Université et la recherche qui, dans leur ensemble, sont affectées.

 

Par Guillaume Travers

 

L’affaire mérite d’être contée brièvement. Le 3 octobre dernier, trois chercheurs américains, James Lindsay, Peter Boghossian et Helen Pluckrose, ont annoncé apporter la preuve de biais idéologiques considérables dans des revues réputées de sociologie. Pendant dix-huit mois, ils ont écrit vingt articles aux thèses invraisemblables, sur la base de données fabriquées, en multipliant les incohérences ou les absurdités. Ces articles n’avaient pour seul point commun que de conforter, par leur message, les biais idéologiques supposés des chercheurs qui contrôlent le processus de publication. Le résultat est sans appel : sept articles étaient déjà publiés au moment où l’expérience a dû s’arrêter, après que le Wall Street Journal a commencé à s’intéresser de près à l’une des publications. À cette date, sept autres articles étaient encore dans le processus de publication. Comme l’affirme Peter Boghossian, « bien que volontairement biaisés et satiriques, nos articles ne sont pas différents des travaux produits couramment dans ces disciplines. C’est un grave problème car ces travaux sont enseignés dans les universités, utilisés par des activistes, et contribuent à désinformer les journalistes et les hommes politiques ». James Lindsay ajoute que « chaque article combine un effort pour comprendre les biais spécifiques à chaque champ d’études, avec la volonté de publier des idées ridicules comme s’il s’agissait de recherche scientifique valide ».

Que contiennent ces fameux articles ? L’article probablement le plus absurde, néanmoins publié, étudie les préjugés de genre associés aux agressions sexuelles entre chiens de même sexe dans trois parcs de Portland («Réactions humaines face à la culture du viol et performativité queer dans les parcs à chiens de Portland, Oregon»). Pour les auteurs, les résultats doivent permettre « d’abattre les formes hégémoniques de masculinité ». Un autre article montre que l’astronomie est une science masculine et blanche, donc une forme de domination de genre. La conclusion, un appel à construire une astronomie féministe, est surréaliste : « Une astronomie féministe se construit sur la base de la théorie du genre, de la théorie postcoloniale, de l’écologie politique féministe, pour critiquer et dépasser l’hégémonie masculiniste dans l’astronomie et les sciences naturelles, afin d’ouvrir la voie à une astronomie plus inclusive, plus diverse, plus équitable, davantage centrée sur les relations humaines avec les étoiles ». Enfin, l’un des articles publiés est la simple réécriture de plusieurs pages de Mein Kampf, transformé en manifeste féministe. Tout ceci prête à la rigolade. Malheureusement, cela témoigne d’un problème beaucoup plus fondamental dans l’évolution de l’université et de la pensée scientifique.

 

Inter : Un foisonnement de « disciplines » nouvelles

 

Traditionnellement, l’Université est structurée autour de grandes disciplines. Chaque discipline se définit avant tout par une méthode et par un petit nombre de concepts fondamentaux, non par un objet d’études. En effet, le même objet peut être étudié séparément par un historien, un économiste ou un sociologue. Chacun mobilise des concepts propres et une méthode spécifique pour appréhender la même réalité. La méthode est ce qui discipline la pensée, donc ce qui lui permet d’accéder au rang de science : en suivant une méthode, on ne peut pas dire tout et n’importe quoi. Historiquement, toute nouvelle discipline est liée à l’émergence d’une nouvelle méthode. Par exemple, l’économie est la science qui tente d’expliquer les faits sociaux comme résultant de l’action intéressée des individus. De même, ainsi que le montre Robert Nisbet (La tradition sociologique), la sociologie s’est construite autour d’un noyau restreint de concepts fondamentaux. Toute science procède ainsi : une pensée est scientifique précisément dans la mesure où elle fait scrupuleusement usage d’une méthode pour obtenir des résultats. Dès lors qu’une méthode stricte a été suivie, ces résultats ne sont ni « bons » ni « mauvais » : ils sont ce qu’ils sont. La pensée scientifique ne doit pas porter de jugements de valeur sur les résultats d’une étude ; elle ne doit juger que de la méthode. La méthode est première, les résultats seconds.

La crise actuelle des sciences sociales procède d’un renversement de ce fonctionnement traditionnel, qui touche en premier lieu la sociologie. Apparues dans les années 1960, puis considérablement développées depuis les années 1990, les « études culturelles » (cultural studies) se pensent comme « anti-disciplines » ou « transdisciplines ». Elles ne se définissent plus par une méthode particulière, mais avant tout par un objet d’étude, et par un message spécifique relatif à cet objet. On a ainsi assisté à une prolifération de champs d’études nouveaux : il y a potentiellement autant de « disciplines » nouvelles qu’il y a d’objets d’études. Il s’agit d’un retournement complet. Les plus connues parmi ces études culturelles sont les « études de genre » (gender studies), qui visent à montrer que le masculin et le féminin ne sont que des constructions sociales1. Mais il en existe quantité d’autres. Par exemple, la « théorie critique raciale » (critical race theory) vise à analyser les facteurs d’émancipation des « racisés » dans un monde marqué par un « suprémacisme blanc ». Très liées, les « études de blanchitude » (whiteness studies) pensent la couleur de peau blanche comme une construction socio-culturelle associée à des privilèges spécifiques. Apparues récemment, les fat studies analysent les représentations culturelles négatives associées à l’obésité comme autant de discriminations. Elles visent à faire accepter les « corps gras » comme « corps légitimes ». Enfin, les porn studies étudient les images de domination masculine véhiculées par les films pornographiques. On pourrait continuer l’énumération. Chacune de ces disciplines a ses journaux, ses conférences, parfois ses départements et ses chaires.

 

Pseudoscience et déconstruction

 

Ce qui frappe à la lecture des travaux publiés dans ces disciplines, c’est l’uniformité du message qui en ressort, et le peu d’attention portée à la méthode. Sous l’influence de la French theory (Michel Foucault et ses disciples américains), il s’agit toujours de déconstruire les formes de « domination culturelle » qui frappent les « minorités » : femmes, homosexuels, transsexuels, non-blancs, obèses, etc. À l’inverse, dans les disciplines qui conservent un attachement aux méthodes scientifiques, des publications viennent très régulièrement contredire les présupposés de base de ces études culturelles. En économie, deux chercheurs ont récemment montré que les pays qui promeuvent le plus l’« égalité de genre » sont ceux où les différences entre hommes et femmes sont les plus grandes : les femmes se tournent encore davantage vers des fonctions typiquement féminines2. En génétique, des dizaines d’études montrent régulièrement des différences innées entre hommes et femmes. Cependant, ces résultats n’ont aucun impact sur les études culturelles, qui dévalorisent la méthode au profit du message.

Le problème serait secondaire s’il restait confiné aux études culturelles. Malheureusement, il touche de plus en plus de disciplines. En économie, il devient presque impossible de trouver une étude documentant des effets négatifs associés à l’immigration. Une multitude d’artifices statistiques, ou une concentration exclusive sur les immigrés hautement diplômés, permettent d’aboutir aux résultats souhaités. Un autre exemple de hiatus entre méthode scientifique et idéologie dominante est celui des études indo-européennes. En 2014, dans un livre très médiatisé, l’archéologue Jean-Paul Demoule a décrit le peuple indo-européen comme un mythe relevant essentiellement d’une construction culturelle. À nouveau, le retour de la méthode scientifique a été rude : débattant en mai dernier face à un chercheur en linguistique – science dont les méthodes pour reconstruire les langues anciennes sont rigoureuses –, Demoule a été ridiculisé3. Ce retour de la pensée scientifique face à la pensée unique demeure, malheureusement, bien trop peu fréquent.

 

 Le résultat prime sur la méthode

 

La survalorisation des résultats scientifiques dans ce qu’ils ont d’acceptables ou non pour l’idéologie dominante, et la dévalorisation corrélative de la méthode, conduit naturellement à des falsifications : peu importe ce que l’on fait, tant que l’on trouve ce que l’on souhaite. Parfois, les méthodes de trucage sont grossières, parfois elles sont plus subtiles. Commençons par un exemple emblématique. Aux États-Unis, où un prénom est donné à chaque cyclone, une étude publiée en 2014 dans la prestigieuse revue Proceedings of the National Academy of Sciences montrait que les cyclones dotés d’un prénom féminin font plus de victimes que ceux ayant un prénom masculin. L’interprétation de ce résultat, relayé par des centaines de médias dans le monde, était claire : les Américains sont « sexistes », et ne prennent pas au sérieux ce qui porte un nom féminin. Depuis, des chercheurs ont tenté de reproduire à l’identique ce résultat, pour découvrir que les données avaient été trafiquées. Certains cyclones contredisant l’hypothèse principale avaient été exclus de l’échantillon pour des motifs fallacieux. Par ailleurs, les auteurs avaient fait preuve de malhonnêteté dans la construction de leurs tests. À titre d’exemple, il est connu que la mortalité liée aux cyclones a diminué au cours du temps, car les systèmes de prévention et les infrastructures se sont améliorés. Or, avant 1979, l’intégralité des cyclones recevait des noms féminins. L’inclusion de cette période dans l’échantillon conduisait mécaniquement les auteurs à trouver le résultat qu’ils souhaitaient. Il s’agit d’un exemple clair où le résultat à montrer empiriquement préexiste à l’examen des données. Bien évidemment, les médias ayant abondamment relayé l’étude initiale n’ont pas diffusé de démenti.

S’il s’agit là d’une falsification flagrante, la manipulation des données peut être beaucoup plus insidieuse. En effet, les données quantitatives deviennent de plus en plus abondantes dans tous les domaines (big data). Cette surabondance de données permet de trouver des corrélations entre tout et n’importe quoi. Par exemple, il existe une corrélation positive très forte entre l’âge de Miss Amérique et le taux de meurtres par objets brûlants4. Le scientifique sait pertinemment qu’une corrélation n’implique pas une causalité, et toute sa méthode vise précisément à isoler les cas où une causalité véritable peut être avérée. Dès lors que l’on dévalorise la méthode, il devient possible de « trouver » tout en n’importe quoi, en calculant des centaines de corrélations jusqu’à obtenir un « résultat » conforme aux présupposés idéologiques. Avec la multiplication des données, cette question devient cruciale dans de nombreuses disciplines. Le statisticien américain Andrew Gelman parle de « crise statistique de la science ». Dans des domaines comme l’économie ou la génétique, on parle désormais beaucoup de « p-hacking » (triturage de données – la « valeur p » permettant d’identifier des résultats significatifs en statistique).

Enfin, la tendance à privilégier le message au détriment de la méthode est favorisée par l’absence de réplicabilité (reproductibilité) de nombreux résultats, et par le peu d’incitations pour les chercheurs à répliquer des résultats existants. Pour sa propre carrière, un chercheur a toujours intérêt à produire des résultats nouveaux, plutôt qu’à retravailler sur des résultats existants. Depuis quelques années, on parle énormément de « crise de la reproductibilité » en sciences. Si cette crise est née de discussions en médecine, elle touche potentiellement toutes les disciplines. Selon une étude publiée dans la prestigieuse revue Nature en 2016, 70 % des chercheurs provenant de disciplines diverses affirment avoir été incapables de reproduire les résultats d’autres chercheurs5. L’explication la plus raisonnable est que les résultats en question sont tout simplement faux, mais que les chercheurs ont minutieusement identifié l’échantillon ou le cas particulier dans lequel ils semblaient vrais. La pensée unique peut prospérer sur de tels résultats en les médiatisant.

 

 Le déclin de l’Université

 

Quelles sont les causes fondamentales de ces évolutions ? Il s’agit là d’un sujet complexe à propos duquel nous pouvons formuler quelques hypothèses. En 1971, le sociologue américain Robert Nisbet analysait les changements de fond du système universitaire après 1945 (dans The degradation of academic dogma). Pour lui, jusqu’à la Seconde Guerre mondiale, l’université était la dernière institution d’origine médiévale dont le fonctionnement était resté essentiellement inchangé. L’Université comme institution était avant tout une corporation dont les membres – les professeurs – partageaient un dogme, à savoir l’idée selon laquelle la connaissance scientifique du monde réel a une valeur en soi. Ce fonctionnement en corporation impliquait une certaine imperméabilité à l’air du temps, ainsi qu’une grande attention portée à la transmission : la recherche était toujours associée à l’enseignement. La pensée scientifique est, pour une large part, le produit de cette institution d’origine spécifiquement européenne.

Les causes du délitement de l’Université sont nombreuses, et leur effet a été démultiplié depuis deux décennies. L’institution universitaire a considérablement perdu en autorité au fur et à mesure qu’elle s’est ouverte, à la fois aux demandes des étudiants et aux « objectifs sociaux » du monde extérieur. Le financement des universités, d’origine publique ou privé, a été de manière croissante conditionné à la mise en œuvre de programme de recherche spécifique – dont, sans surprise, les résultats ont de plus en plus compté par rapport à la méthode. La recherche scientifique a été sommée de répondre à des demandes de la société. L’Université est donc devenue de plus en plus perméable à l’opinion publique, donc aux idéologies dominantes. Il en a résulté une marchandisation de la production scientifique : les chercheurs ont des incitations croissantes à produire des travaux qui répondent à une demande sociale et politique, qui ont un « impact sociétal », etc. C’est la loi de l’offre et de la demande. Celle-ci ne jouait traditionnellement aucun rôle ; les universités étaient au contraire jalouses de leurs « libertés », au sens médiéval du terme, c’est-à-dire de leur capacité à exercer certaines prérogatives en tant que communautés autonomes. Ce processus de marchandisation a été poussé à son terme en sociologie, où est apparu le concept fumeux de « savoir militant » : pour ses partisans, produire de la recherche scientifique et militer ne sont qu’un seul et même objectif. Il s’agit là, bien évidemment, d’un retournement complet du fonctionnement traditionnel de l’Université. Quant à la transmission, elle régresse également : dans les meilleures universités, la recherche est valorisée de manière disproportionnée au détriment de l’enseignement.

 

 Science sous influence

 

La tendance s’accélère année après année. Un exemple frappant est celui des recrutements de professeurs. Traditionnellement, seule la compétence scientifique d’un candidat était pertinente. Même si des facteurs politiques pouvaient interférer dans des cas précis, ils ne faisaient pas partie de la procédure formelle de recrutement. Ce n’est plus le cas désormais. Aux États-Unis, de plus en plus d’universités, dont la prestigieuse UCLA (Université de Californie), exigent de tout candidat une lettre dans laquelle ils s’engagent explicitement en faveur de la diversité. Ils doivent également apporter des preuves de leur capacité à « aider les femmes et les étudiants issus de minorités ». Cette tendance touche tous les départements, y compris les mathématiques. À terme, la population des scientifiques gagnera encore en uniformité idéologique, au nom de la diversité.

Un autre concept se répand comme une traînée de poudre : celui des « valeurs de l’Université ». Il est rare désormais – aux États-Unis et de plus en plus en Europe – d’assister à un événement au cours duquel le doyen ne disserte pas sur les « valeurs » de l’institution. Celles-ci, on s’en doute, sont presque toujours des valeurs d’« inclusion », de « diversité », d’« ouverture », etc. À nouveau, nous sommes loin de l’université traditionnelle où les valeurs étaient strictement liées à une forme de rigueur dans la production scientifique. Plus globalement, les universités se définissent de plus en plus par des objets sans rapport avec la connaissance scientifique. Récemment, l’Université de Birkbeck a annoncé se retirer des classements académiques anglais car ceux-ci reflètent mal… les services offerts par eux aux « étudiants non-traditionnels » (sic), c’est-à-dire aux femmes et aux minorités.

Ainsi, les décennies récentes témoignent d’un effacement de l’université telle qu’elle existait depuis plusieurs siècles. Avec ce processus, c’est la pensée scientifique dans son ensemble qui régresse. Fort heureusement, toutes les disciplines ne sont pas touchées au même degré. Celles qui sont traditionnellement structurées autour d’un corpus méthodologique et conceptuel plus rigoureux sont moins vulnérables. Il y a donc, toujours, d’admirables travaux produits dans de nombreuses disciplines. Mais, dans l’univers feutré des universités, une lutte entre deux visions de la connaissance scientifique prend place. Il est essentiel que l’université redevienne moins perméable à l’air du temps. Cela ne veut pas dire qu’elle doit devenir moins sensible au réel. Bien au contraire, la pensée scientifique sérieuse fait usage de concepts pour appréhender de manière plus claire le réel dans sa complexité. La bien-pensance contemporaine, a contrario, dévalorise le réel en y plaquant de pures constructions abstraites.

Le canular scientifique montre que l’astronomie est une science masculine et blanche, donc une forme de domination de genre. La conclusion ? Un appel à construire une astronomie féministe et inclusive ! 

 En économie, il devient presque impossible de trouver une étude documentant des effets négatifs associés à l’immigration. Une multitude d’artifices statistiques permettent d’aboutir aux résultats souhaités.

 

 

notes

  1. Voir Alain de Benoist, Les démons du bien, Pierre-Guillaume de Roux, 2013.
  2. Falk, A. et Hermle, J. (2018), « Relationship of Gender Differences in Preferences to Economic Development and Gender Equality », Science, Vol. 362.
  3. Le débat avec Laurent Sagart est disponible sur le site internet < www.herodote.net>.
  4. Voir le site internet Spurious correlations.
  5. Baker, M. (2016), « 1 500 Scientists Lift the Lid on Reproducibility », Nature, Vol. 533, p. 452-454.

Merci à François Bousquet, rédacteur en chef de la revue Eléments, pour l'autorisation de reproduction.

5 commentaires

  1. Posté par nuajnod le

    @Étudiant Merci. On est mal barrés. Au milieu de la forêt. Là où on trouve une pédale finalement banale. Qui se prétend femme fatale. Quelle misère universitaire malheureusement pas solitaire et non plus solidaire puisqu’elle pense uniquement à son futur salaire. Et qui sait peut-être même dans un ministère. purquoi pas dans un monastère? Mister Pleurer ses péchés mortels. Voyage, bagages qui veut lui metre un bondage puisque vu son âge elle fait déjà mauvaise image. Quels ravages tous ces sous accordés sans dosage. Je ne savais pas qu’à l’unil on promu le futile. Docile, imbecile, inutile et pas de toute subtile Faut la mettre dans un bateau vers les iles . Pour nous laisser tranquilles

  2. Posté par DOMINIQUE SCHWANDER le

    Il n’y a pas qu’un Ziegler à Genève!

  3. Posté par Anna le

    Excellent article, merci ! Le pire c’est que c’est dangereux. Par exemple en médecine on a répété et répété encore les mythe selon lequel le cholestérol était un facteur important de maladie cardiaque et que les statines étaient la solution, alors que cela n’est basé sur aucune étude reproductible.

  4. Posté par aldo le

    On ne peut que le constater. Les études et les disciplines bidon fourmillent. Elles sont là pour occuper le monde des idiots-utiles déjà formatés par des enseignants primaires-élémentaires au service des crypto-communistes et incapable d’un vulgaire emploi qui nécessiterait le recours à un minimum d’intelligence. Quand une ex-ministre écolo de Hollande se met à table, on prend conscience que l’idéologie prend le dessus dans les études, au point que ceux qui courbent leurs études finissent plus diplômés que les autres qui croient encore à l’objectivité et le sérieux des études universitaires. https://www.dailymotion.com/video/x2pis2n Des milliards qui finissent par éponger les subventions que nécessiteraient d’authentiques recherches. Quand tout est politique, tout se déglingue. Il n’y a qu’à écouter la cousine de Hollande pour se rendre compte qu’il avait dans sa propre famille beaucoup plus de compétences que chez la Duflot. Avec son avis sur la recherche et biens d’autres tout aussi intéressants. https://www.lexpress.fr/actualite/medias/une-journaliste-cousine-de-hollande-minimise-le-nombre-de-viols-sur-itele_1872286.html

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