RTS/Forum, 31.12.2018: "De l’Italie à la Hongrie en passant par les Etats-Unis, le Brésil ou les Philippines, le populisme dit "globalisé" s’installe et séduit un grand nombre d’électeurs."
https://www.rts.ch/play/radio/forum/audio/la-contagion-populiste-interview-de-jean-yves-camus?id=10089752 (audio 13:44)
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Interview de Jean-Yves Camus, politologue, directeur de l’Institut Jean Jaurès et spécialiste du populisme.
Nicolas Vultier interroge le grand spécialiste du populisme attitré de la RTS, Jean-Yves Camus (voir en fin d’article la liste non exhaustive de ses interventions).
N’est-il pas merveilleux de constater que la RTS organise quasiment quotidiennement des débats sur les populistes mais :
1) Ne donne jamais sa définition des termes populisme ou populiste, sachant que « Le contour du mot ‘populisme’ est relativement flou et varie selon qui l’utilise ».
2) N’invite jamais de personne dûment étiquetée comme « populiste » pour un débat à la loyale, pas arrangé de toutes pièces.
3) Par ailleurs, le terme « populisme » est constamment accompagné d’expressions à connotation négative, comme extrême droite, avec des allusions au fascisme, au nazisme. Il est associé à des états physiologiques déficients, crispation, repli sur soi,... La dernière trouvaille, depuis que la globalisation est perçue comme négative, est le « populisme globalisé ».
Et lorsque l’UDC est invitée pour s’exprimer, c’est presque toujours dans un débat biaisé. Jamais un UDC seul ne peut s’exprimer, comme le fait ce spécialiste, face à un journaleux qui lui sert la soupe.
Nicolas Vultier débute avec la question : Comment expliquer la contagion du populisme en Europe ?
Remarquons déjà le mot « contagion » qui sous-entend quelque chose de pathologique, qui se passe au niveau organique et pas au niveau des idées.
Jean-Yves Camus : Cela s’explique par la globalisation qui s’accélère. La globalisation libérale qui était assise sur la libre circulation des personnes et des marchandises et qui produit une insécurité culturelle dans un certain nombre de populations, notamment européennes. Insécurité culturelle, parce que les repères d’un certain nombre d’individus sont chamboulés et que tout le monde ne s’adapte pas aussi vite à des changements, qui en 10 ou 20 ans ont probablement été supérieurs dans certaines régions à ceux qui étaient intervenus sur un laps de temps beaucoup plus long. Ce n’est pas simplement un bouleversement des modes de production.
Internet, réseaux sociaux, disparition de l’industries au profit d’une société de services, par, aussi, des emplois qui ne sont plus majoritairement des emplois salariés (1:40), c’est véritablement une autre vie.
La réponse de Jean-Yves Camus emboîte le pas sur la pathologisation. La populace a des sentiments d’insécurité culturelle à cause de leurs repères chamboulés, problème d’adaptation de certains parce que ça va trop vite. Et le sociologue puise dans son jargon marxiste pour faire savant et parle de « bouleversement des modes de production ». Car de nos jours, ce n’est pas le vécu des gens qui est légitime pour l’establishment mais c’est l’analyse sociologique des spécialistes, leur science faisant foi d’office.
Nicolas Vultier : C’est à dire, les citoyens se sentent attaqués, se sentent désécurisés, n’ont plus de repères ?
Jean-Yves Camus : Ils se sentent doublement insécurisés :
1) Nous ne sommes plus dans une société de croissance,
2) Ensuite, ils sont insécurisés par la transformation des sociétés européennes en sociétés véritablement multiculturelles.
Donc, si vous avez à la fois l’insécurité économique, qui est réelle, pour une bonne partie de nos concitoyens, et le sentiment que vous êtes dépossédés de votre mode de vie traditionnel, vous avez tout le cocktail qui produit une demande d’ordre, ou de remise en ordre, vers un ordre plus traditionnel, davantage d’égalité sociale.
Les populistes utilisent ce sentiment, qui est un sentiment réel, qu’il y a trop d’inégalités.
Et s’il y a des problèmes avec la mondialisation accélérée – toujours selon le spécialiste – c’est que le peuple a des problèmes d’égalitarisme, de sentiment d’insécurité, parce qu’il n’y a pas de croissance et que nos sociétés sont transformées en sociétés multiculturelles. Ce sont ces sentiments que les populistes exploiteraient bassement.
Il n’y a pas lieu de parler de remplacement de population, car les anxieux, les désorientés, qui n’apprécient pas la diversité n’auront pas d’autre choix que de faire avec. Les inadaptés aux changements sont passéistes, nostalgiques du mode de vie d’antan et refusent d’apprécier les joies de la déculturation. Les inadaptés, ce sont eux, les envahis et non pas les envahisseurs.
Il n’y a aucun problème de transmission culturelle et de civilisation en péril, aucun problème avec l’hostilité envers les populations indigènes, nos prisons ne sont pas remplies d’étrangers, de migrants, nous ne sommes pas islamisés, africanisés, colonisés, il n’y a pas de substitution ethnique, la submersion migratoire n’a pas mis en péril nos assurances sociales, assurances bâties au prix de grands sacrifices par nos ancêtres.
Nicolas Vultier : Le point commun entre les leaders populistes, c’est quoi ? C’est trouver un ennemi ? On parle beaucoup des étrangers, des musulmans, de l’Union Européenne, de Bruxelles, des hauts fonctionnaires, des élites ? Il faut trouver un bouc émissaire ?
La question sans gêne du journaleux, orientée pire-que-ça-tu-meurs, répond déjà à la question. Ces gueux populistes ne font que chercher un bouc émissaire aux problèmes dont ils sont responsables.
Jean-Yves Camus : Il faut d’abord revenir à des sociétés qui fonctionnent comme des organismes.
L’organicisme est une théorie qui explique que la société n’est pas faite d’individus autonomes, qu’elle ne doit pas être basée sur la maximisation des intérêts individuels, ce qui est un peu le paradigme de la société des Lumières : l’individu au centre du tout. La société fonctionne comme un organisme vivant, et quand on introduit du désordre dans cet organisme vivant, par des lois, par exemple sur la bioéthique, qui contreviennent à l’« ordre naturel », ou quand on «importe » des populations qui n’ont pas les mêmes références culturelles, eh bien, on crée du désordre. Comme un corps qui peut être atteint par des microbes. Et c’est une vieille thématique utilisée par toutes les droites extrêmes : la maladie qui gangrène petit à petit le corps social. Cette manière de considérer la société comme un corps vivant conduit à penser qu’il y a des gens qui l’attaque. Ces gens, ce peuvent être les étrangers, mais aussi ceux qui accaparent l’argent et le pouvoir, économique, politique ou médiatique : « ils se gavent, nous souffrons ».
Et voilà que le spécialiste en populisme a un nouveau concept pour mettre en perspective les gueux populistes : l’organicisme scientifique. Selon cette théorie, l’importation de population a créé un désordre qui gangrène le corps social. Après cela, en toute logique, nous pourrions nous attendre à ce que Camus arrive à la conclusion qu’il faudrait éjecter les importés pour revenir à l’ordre. Mais non, car ce serait l’idée de la droite extrême qui accuse déjà les étrangers d’accaparer l’argent et le pouvoir.
Nicolas Vultier (4:34) : Quel est le point commun entre Salvini en Italie, Orban en Hongrie d’Orban, Kaczyński en Pologne, l’Autriche, Marine Le Pen, qu’est-ce qui relie tous ces leaders populistes ?
Jean-Yves Camus (4:53) : La volonté de rompre avec le paradigme de la démocratie libérale. Et la volonté non plus de sortir de l’UE mais de dynamiter l’UE. Les élections européennes arrivent et les populistes peuvent constituer une force suffisante pour le blocage. Donc, les populistes ont réalisé qu’il valait mieux s’incruster au milieu des institutions (plutôt que de déclencher des processus extrêmement complexes de départ), et parasiter l’activité du Parlement européen, et éventuellement celle de la Commission européenne et faire qu’un jour l’Europe tombe comme un fruit mûr (5:53).
Remarquons le souci du sociologue : ce n’est plus le désordre dû à l’invasion, mais la survie de l’UE, mise en danger par les populistes qui veulent « s’incruster au milieu des institutions et parasiter l’activité de l’UE ». Ainsi il enlève toute légitimité aux pays qui ne veulent pas de remplacement de populations.
Nicolas Vultier : La démocratie illibérale chère à Viktor Orban ? C’est-à-dire des démocraties plus autoritaires, où il y aurait un chef et le peuple, et plus de corps intermédiaires ?
Jean-Yves Camus : Oui, c’est vers cela qu’on se dirige. La grande erreur de l’antifascisme traditionnel, c’est de nous expliquer que le fascisme, tel qu’on l’a connu dans les années 30, risque de revenir. C’est une hypothèse à laquelle je ne crois absolument pas.
Marine Le Pen évolue et lorgne vers Viktor Orban, et Orban stricto sensu est un conservateur.
Cette manière de dépeindre Orban comme un chef autoritaire est ridicule et relève de la malhonnêteté et/ou de l’ignorance totale. La Hongrie aurait beaucoup de leçons de démocratie à donner à la Suisse et à l’Europe. Les consultations populaires y sont respectées. Il y a une pluralité réelle des médias. Il y a une réelle politique familiale, les impôts des Hongrois vont aux Hongrois et non pas à des parasites du monde entier. Tous ceux qui prétendent le contraire ignorent tout de la Hongrie, des aspirations et du vécu de ce peuple. Orban est le président le mieux élu d’Europe. Et malgré des attaques régulières de l’opposition, orchestrées et soutenues par Soros, ce peuple tient bon, il ne veut pas s’islamiser.
Nicolas Vultier : Pour vous, la demande libérale, telle qu’on la connaît aujourd’hui en Europe occidentale, est menacée ?
Jean-Yves Camus : La démocratie représentative, telle qu’on l’a connue depuis 1945, telle que les pères fondateurs de l’Union européenne l’avaient pensée, arrive peut-être à l’épuisement.
Nicolas Vultier : Donc, dans la situation de déclassement social que l’on constate, les mouvements populistes vont encore grimper, non seulement dans les sondages mais dans les résultats électoraux ?
Jean-Yves Camus : Oui, probablement. Je rentre juste de Tallinn, capitale de l’Estonie, où le multiculturalisme n’est pas vraiment d’actualité. L’Estonie a accueilli l’année passée 250 réfugiés. L’Estonie est prospère, tournée vers la Scandinavie. Pas de chômage. Or il existe un parti proprement xénophobe, de la droite radicale, qui est crédité de 16-20% des intentions de vote. Pourquoi ?
Les Estoniens voient ce qui se passe ailleurs et ils anticipent. Ils ne veulent pas devenir une société multiculturelle. Ils ont ce réflexe de crispation, qui les fait voter contre les formations qui ont alterné au pouvoir et qui n’ont pas fait leurs preuves, et pour des gens qui défendent leur identité intangible, cette identité dans laquelle ils ont combattu à la fois contre les Nazis et contre les Soviétiques.
Il y a aussi un problème spécifique à l’Est de l’Europe : avoir subi les Nazis et l’occupation soviétique. Aujourd’hui, l’UE n’est pas une référence d’indépendance.
Et au nom de quoi les Jean-Yves Camus et les parasites de son genre seraient-ils habilités à dire à l’Estonie ce qui est bon pour elle ?
Nicolas Vultier : Au niveau des leaders européens, beaucoup d’espoirs étaient fondés sur Emmanuel Macron et Angela Merkel, qui sont affaiblis aujourd’hui au niveau politique.
Qui devrait, ou faut-il s’opposer frontalement à ces mouvements populistes, ou y a–t-il une stratégie à suivre pour reprendre l’initiative ?
Jean-Yves Camus : La stratégie du président Macron, même avant le mouvement des Gilets jaunes, était la bonne. C’est à dire, expliquer que les élections européennes vont se jouer d’une manière assez binaire dans un combat des progressistes contre les nationalistes. Ce sera une sorte de référendum pour « encore l’Europe » ou « stop à l’Europe ».
Il faut que quelqu’un incarne le camp des progressistes. Ceux qui sont capables de le faire sont peu nombreux. Macron, Pedro Sanchez, le Portugal qui résiste à toutes les formes de populismes excessifs, Merkel, le Belge Guy Verhofstadt. Mais ils sont minoritaires.
Il faut poser le débat, dire qu’il faudrait dire « stop » ou « encore » à la croissance de l’UE. Et le point fondamental, il faudra redonner la confiance dans une classe politique très largement discréditée. Je ne parle pas de la hausse structurelle de l’abstention dans les pays européens, mais des 80% de nos compatriotes français qui pensent que les hommes politiques sont corrompus. Ils n’ont plus confiance qu’en une seule forme d’autorité politique, celle du maire, de leur village, leur ville, car ils voient les résultats de son travail. Au-dessus, ils n’ont plus confiance.
Nicolas Vultier : Steve Bannon pourrait-il jouer un rôle important pour le futur ou est-ce anecdotique ?
Jean-Yves Camus : On prête beaucoup à Steve Bannon, mais ni le Front national français, ni la Ligue du Nord, ni même l’AfD allemande, ni les populistes scandinaves, n’ont attendu qu’il vienne sur les rivages européens pour faire leur trou électoralement. Il ne peut pas apporter grand-chose...
A la fin de cette interview, Esther Coquoz demande à Gabriel Bender, "sociologue" et "historien" : est-ce que les démocraties seront de plus en plus autoritaires...
La suite sur le populisme, pour les auditeurs déjà trop gâtés de la RTS, se poursuivra le lendemain, à Forum. Toute l’émission sera accompagnée d’une docteure féministe en théorie du genre de l’UNIL. Emission déconseillée aux nerfs fragiles !
Cenator
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Autres émissions de la RTS avec Jean-Yves Camus :
11.01.2017 https://www.rts.ch/play/radio/histoire-vivante/audio/le-front-national-35?id=8270528
10.01.2017 https://www.rts.ch/play/radio/histoire-vivante/audio/le-front-national-25?id=8268705
09.01.2017 https://pages.rts.ch/docs/histoire-vivante/8254185-marine-le-pen-la-derniere-marche.html
L'UDC, précurseur de l'émergence des extrêmes droites? (l’émission n’est plus accessible)
Interviews de Oscar Mazzoleni, politologue et auteur de "Nationalisme et populisme en Suisse" et de Jean-Yves Camus, politologue, chercheur associé à l'institut de relations internationale et stratégique, spécialiste mouvements d'extrême droite en Europe.
etc., etc.
En sus du tartinage sur le populisme, la RTS n’oublie pas la dose quotidienne de féminisme obligatoire, formatage continu des consciences. Avec la prochaine grève des femmes, on va se régaler !
S’y ajoute l’habituelle propagande LGBT…
Ce sont ces ennemis de notre démocratie qui osent nous parler d’autoritarisme, alors que se sont justement eux qui passent leur temps à faire de l’autoritarisme médiatique, sans aucun débat équilibré – lorsqu’il y a débat – et avec toujours la même monoculture idéologique ?
Concernant la globalisation, celle-ci devrait certes faire augmenter un peu l’immigration, mais uniquement celle provenant de pays avec lesquelles les pays européens sont principalement en affaire. La Suisse a-t-elle un accord de libre-échange avec l’Afghanistan, l’Erythrée ou le Nigéria ? La Syrie ou le Maghreb font-ils partie de la zone Schengen ? De qui se moque-t-on ?
Ce journaleux et son complice « expert » subissent-ils directement eux-mêmes les phénomènes (insécurité du travail, nuisances inter-ethniques,…) qu’ils décrivent ? Evidemment que non, lorsqu’on est fonctionnaire à la RTS ou/et qu’on habite dans une villa des beaux quartiers.
Chers lecteurs des Obs, prenez vos stylos et écrivez à la RTS pour vous plaindre du traitement orienté de l’information. Argumentez : un journaliste n’est pas payé pour imposer ses idées mais pour informer. Des questions orientées, qui donnent la réponse attendue à l’avance (comme « le point commun des populistes, c’est quoi ? il faut trouver des boucs émissaires?), ne sont pas des question ouvertes. Parler de « contagion » c’est affirmer d’office que ces mouvements sont mauvais, etc….. Les médias réagissent seulement quand il y a beaucoup de plaintes, alors allez-y, plaignez vous !! Qu’ils soient submergés. Ecrivez ! Et un jour nous pourrons oeut-être recommencer à écouter la RTS sans nous étrangler. Mais si personne ne prend la pêne de se plaindre, cela va durer, s’aggraver, etc…Car « Qui ne dit mot consent »
Il faut se méfier de ces « spécialistes » de nos médias, ils sont toujours orienté dans le politiquement correcte.
Autrement ils ne seraient pas invités.
Il faut se méfier de ces « spécialistes » dans nos médias, ils sont toujours orienté dans le politiquement correcte.
Autrement ils ne seraient pas invités.
N’en déplaise à ce thuriféraire de l’extrême droite, comme par hasard au service des crypto-communistes, il n’y pas d’extrême droite réelle avec des structures apparentées aux communistes qui cultivent le mensonge comme forme de gouvernement depuis la nuit de temps, avec autant de culot en monopolisant la presse-pravda, puis sa distribution sous des prétextes usurpés de se faire les garants des combats pipés contre les antisémites une tyrannie supplémentaire contre la liberté de parole faisant oeuvre de cache-sexe pour des antisémites non déclarés, mais bel et bien à l’assaut de naïvetés programmées par des discours inutiles et trompeurs. D’une certaine manière il rejoignent l’adage qui dit: « on ne prête qu’aux riches » ce qui en dit long sur leur antisémitisme viscéral, malgré les médailles et les honneurs dont ils adorent s’affubler. . En réalité n’y a que des victimes de la gauche qui elle nous bassine avec ses privilèges qui s’émiettent, faute d’une cohérence porteuse d’espoirs réels.
C’est donc bien la mort dans l’âme s’il en a vraiment une, qu’un tel individu aspire en permanence au « Grand Soir » du renouvellement de la gauche sans avoir testé réellement la fausse droite qui ne va pas manquer d’usurpateurs expédiés par ses semblables, comme avec la sournoise prise de pouvoir des Gilets Jaune toujours de connivence avec le 1er intéressé, Macron. Ainsi va l’arrivée tardive du fils caché de Hollande, de Cohn-Bendit, d’Attali, et même de Strauss-Kahn, qui était programmée et a capoté avant l’arrivée de Macron, issu d’une malencontreuse précipitation. Que dire des crachat sur les sans-dents que son père spirituel Hollande initia sans vergogne ? A eux seuls tout cet équipage forme une belle brochette de conspirateurs en puissance et ce ne sont pas les aventures de Dodo la saumure qui vont redorer ce blason de ces bonnes moeurs, pas plus que l’amitié avec Cohn-Bendit, pédophile reconnu, ni les attouchement style baise-nègre avec des voyous dans les Antilles. Finalement on comprend aussi cette proximité aussi avec Stéphane Bern, qui s’est lancé dans une loterie parallèle. Toujours le pognon bien en vue pour ces artificier de la vérité, à croire que ces deux ont aussi fait leurs armes au bois de Boulogne, ce qui devrait être une délicatesse de plus qui ferait bien dans le décors d' »on n’est pas couché » mais où on couche par intérêt prioritairement. Finalement l' »Huma » a le destin qui lui convient très bien et ce ne sont pas les pseudo renouvellement avec Mediapart en embuscade qui vont faire longtemps illusion. Là aussi le piège fiscal s’est vite accoquiné avec la Vérité, pour ne plus croire du tout aux balivernes communistes. Ici la TSR EST EN PARFAITE CONCORDANCE AUSSI BIEN DANS SON UNIFORME DE CONSPIRATEURS ANT-UDC QUE DANS SON SOUTIEN AUX TEIGNEUX VENU DE L’ETRANGER POUR TOUT BOUSILLER. Et le capitaine Maudet n’est pas très loin de ces désinformation pour servir les intérêts des pro-européeens et pro-islamiques avec l’armée européenne de Macron. https://lesobservateurs.ch/2018/12/31/demain-les-alsaciens-mosellans-pourraient-a-nouveau-integrer-larmee-allemande/
Combat des progressistes contre les nationalistes ?
Si les élites européennes étaient moins vendues ou stupides, on parlerait d’un combat contre l’invasion de l’Europe par l’islam !
Mais bon, ça ne s’est pas encore réveillé, c’est à désespérer ! Bientôt il y aura des gilets jaunes partout !
Après + de 50 ans de démocratie verticale instrumentalisée par la collusion droite/gauche Made in France ….voilà l’avènement du populisme de la démocratie horizontale , certains privilégiés du système et forgeurs d’opinions s’inquiètent …. voir même , paniquent et font de l’intox défensive , avec des amalgames douteux comme quoi , le « populisme » est une attitude populaire condamnatoire …..! bizarrement , comme font les religions qui instrumentalisent le mot « blasphème » pour mieux essayaient de protéger leurs pouvoir …. hélas et tant mieux ,cela ne trompe (en principe) plu personne …!
Heureusement que nous avons tous ces experts en démocratie pour nous éclairer et constamment nous rappeler ce qu’il faut dire et penser.