Extraits de l’article de 24 heures, 21.12.2018, de Patrick Chuard : « Faut-il parler davantage de la Grande Faucheuse ? » :
La députée Léonore Porchet appelle à briser le tabou de la fin de vie, pour éviter des souffrances inutiles et pour mieux gérer l’argent public. Les professionnels approuvent.
[…] Léonore Porchet (Les Verts) [estime que la période de Noël] « est absolument propice pour évoquer la mort de nos proches et notre propre fin. » […] « Il faut briser le tabou qui entoure la mort. » […] Elle a déposé un postulat au Grand Conseil la semaine dernière afin de réclamer des « assises autour de la mort ».
Un tabou ? Les chiffres montrent en effet que les Vaudois rechignent à envisager leur propre trépas : seuls 10% d’entre eux ont rédigé des directives anticipées. Résultat, des personnes font l’objet d’un acharnement thérapeutique qu’elles n’auraient pas souhaité, faute d’avoir averti leurs proches. Pour Léonore Porchet, 29 ans, la question s’est posée le jour où elle a dû accompagner sa grand-mère à l’hôpital. « Avant de monter dans l’ambulance, je lui ai demandé où étaient ses directives anticipées. Elle n’en avait jamais entendu parler. […] C’était le pire moment pour lui demander si elle souhaitait être réanimée au cas où son cœur s’arrêtait. [...]»
Un tabou qui coûte cher
[…] Les trois quarts des Vaudois préféreraient mourir à domicile alors qu’une majorité décède à l’hôpital ou en EMS. Les dons d’organes sont dramatiquement insuffisants pour répondre à la demande.
Et le suicide n’est pas assez abordé, selon Léonore Porchet. « On gère mal cette question en Suisse […] : il y a cette idée étrange que plus on parlerait de suicide et plus les gens se suicideraient. En fait, c’est le désespoir qui déclenche le passage à l’acte, il faut donc parler pour désamorcer. »
L’urgence d’Yverdon
Qu’en pensent les spécialistes ? « Il faut briser le tabou », réagit Alix Noble-Burnand, thanatologue (spécialiste de la mort et de ses rites). […] Une des premières urgences, selon elle, devrait être de se préoccuper des adolescents touchés par la mort, comme au Gymnase d’Yverdon-les-Bains. Cinq décès, dont trois suicides, y ont provoqué un fort émoi ces derniers jours. […] Pourquoi ne pas parler davantage de la mort à l’école, mais surtout pas en temps de crise, ce n’est pas le moment. On pourrait introduire ce sujet dans différents modules de cours. »
Apaiser les angoisses
[…] « on voit apparaître un nouveau tabou, celui du corps. 95% des gens sont aujourd’hui incinérés. » Alix Noble-Burnand, qui a perdu sa propre fille il y a deux ans, a tenu à la veiller à la maison […]. « Nous avons voulu, avec son compagnon, la préparer et l’habiller nous-mêmes. […] Cela nous a apaisés et nous a fortement reliés à elle. […] »
« Les gens parlent davantage de la mort, il me semble que c’est moins tabou qu’avant », nuance Cosette Schneiter, directrice de l’entreprise de pompes funèbres François Schneiter et Fils, à Yverdon-les-Bains. « La preuve, c’est que nous faisons beaucoup de contrats de prévoyance funéraire. Nous en avons fait plus de 400 depuis 2010, et c’est en augmentation» […]
Le potentiel de la médecine palliative
Le canton de Vaud est pionnier dans le domaine de la médecine palliative – laquelle vise à offrir un confort aux malades en fin de vie sans chercher à guérir la maladie. « Nous avons non seulement des unités fixes mais aussi quatre équipes mobiles palliatives dans le canton qui permettent aux personnes d’être soignées à domicile », rappelle Gian Domenico Borasio, professeur de médecine palliative et chef du service de soins palliatifs au CHUV. […] Les prédictions montrent que les patients du futur seront très âgés, souffriront de plusieurs maladies et seront en grande partie atteints de troubles cognitifs. »
Actuellement, moins de 20% des Vaudois décèdent à la maison, ce qui est très peu, alors que les trois quarts le souhaiteraient. La solution ? « Renforcer les équipes mobiles de soins palliatifs. » […] La Suisse ne figure qu’au quinzième rang dans un récent classement international sur la prise en charge dans la fin de vie. « La raison en est que l’argent est mal dépensé, avec parfois un acharnement thérapeutique évident pour certains patients en fin de vie. Or, l’acharnement thérapeutique n’est pas seulement douloureux, il coûte cher. Garder les patients à la maison est fondamental. […] »
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Cenator : Madame Porchet, présidente des Verts lausannois, qui se plaint du harcèlement de rue mais qui se bat contre l’expulsion des migrants déboutés au point de conseiller de les planquer chez soi jusqu’à ce qu’ils deviennent inexpulsables, intervient.
Avec sa grande adéquation à la réalité et son grand sens du spirituel, elle affirme que la fête chrétienne de la Nativité est le moment le plus propice pour… parler de la mort avec ses proches. Elle appelle avec arrogance à briser le tabou de fin de vie, qui causerait l’acharnement thérapeutique et la dilapidation de la manne publique.
Mme Porchet déplore que seulement 10% des personnes du canton disposent de directives anticipées. Cette grande raffinée raconte que, lorsque sa grand-mère était dans l’ambulance en fin de vie, elle lui a demandé si elle avait rédigé des directives anticipées, si elle souhaitait être réanimée au cas où son cœur s’arrêtait.
(Alors, la vieille, quand est-ce que tu vas débarrasser le plancher, hein ?)
Car il faut savoir que, pour cette soldate verte de la haine de soi, ce sont les vieux, les dernières générations non métissées sur le départ, qui seraient en trop dans notre pays. Les migrants (et plus c’est bronzé, mieux c’est) ne sont jamais en trop et elle se tient sur les barricades pour qu’ils soient en nombre!
Et pour faire triompher son idéologie de dépravés, elle prétend briser le tabou de la mort en affirmant que les vieux en fin de vie coûtent trop cher, tout en y amalgamant les dons d’organes, l’assistance au suicide et les frais hospitaliers.
Elle a d’ailleurs déposé un postulat au Grand Conseil pour réclamer des « assises autour de la mort ». Nous imaginons aisément que le gouvernement lausannois grassement payé, avec ses dettes et son déficit constant, va maintenant ergoter à ce sujet au lieu de trouver une solution aux problèmes budgétaires et à l’étranglement de la classe moyenne par les impôts communaux et cantonaux.
Non, il ne faut surtout pas diminuer le nombre des fonctionnaires (record national), il ne faut pas non plus diminuer le nombre des assistés (aussi record national), mais il faudrait écourter la fin de vie des vieux de chez nous qui coûtent trop cher en ne mourant pas assez vite.
Grande gueule, Mme Porchet nous parle péremptoirement de l’acharnement thérapeutique, qui coûterait très cher. En réalité, aucun médecin ne pratique de l’acharnement thérapeutique dans le canton de Vaud. Tous ceux qui travaillent dans ce domaine savent que l’acharnement thérapeutique est un mythe et qu’il est normal de vouloir soulager les souffrances d’une personne sans pour autant « l’achever ».
D’autre part, beaucoup de « fins de vie » ne peuvent pas être gérées à domicile. Par ailleurs, l’encadrement que cela nécessiterait à domicile ne coûterait pas moins cher, bien au contraire. Le canton de Vaud est richement muni de centres médicalisés en soins palliatifs et quatre équipes mobiles complètent ce que font déjà les CMS et les groupements d’infirmiers privés. Ces équipes ambulatoires qui sont mises en place pour visiter les personnes désireuses de mourir à domicile sont également très fournies et coûtent les yeux de la tête. La plupart du temps, un séjour en EMS ou une hospitalisation suit la période de maintien à domicile, car la mort à domicile nécessite de la place et un staff que seul les très fortunés, comme Schumacher, peuvent s’offrir.
Culpabiliser les vieux parce qu’ils coûtent cher, alors qu’ils n’y sont pour rien, et laisser tranquilles les assistés qui « consomment » les soins souvent sans retenue car rien ne les motive à se restreindre. Pour les hospitalisations psychiatriques, lorsque l’hospitalisation est indispensable, il en va de même: aucune équipe ambulatoire ne peut remplacer l’hôpital. Mettre en place des équipes mobiles à côté des structures existantes ne ferait qu’augmenter les coûts de la santé déjà insupportables pour la classe moyenne non-subventionnée.
Les places de travail au sein des équipes mobiles sont très recherchées : elles donnent une grande liberté dans l’exercice du travail, elles comportent bien moins de contraintes que le travail en milieu hospitalier. Les infirmiers hospitaliers cherchent majoritairement ce genre de travail. Le nombre des patients pris en charge est très restreint, beaucoup de temps est consacré au travail administratif et aux colloques.
Alix Noble-Burnand, thanatologue, affirme elle aussi qu’il faut briser les tabous au sujet de la mort. En fait, la mort est le fond de commerce de cette prétendue spécialiste en sciences humaines. Être thanatologue est un peu semblable à être spécialiste du redoublement attique pour un linguiste. Elle s’est elle-même occupée du cadavre de sa fille et prétend que cela l’aurait apaisée et lui aurait permis de se relier fortement à elle. Expérience hautement personnelle, aucun enseignement général ne peut en être tiré. Ainsi, tout discours général sur ce sujet intime revient à aligner des mots, du blabla destinés à impressionner un public prêt à s’incliner devant la « science » d’une spécialiste au nom grandiloquent. Par ailleurs, qu’est-ce que cela vient faire avec les coûts des soins des vieux en fin de vie ?
« [...] On voit apparaître un nouveau tabou, celui du corps. 95% des gens sont aujourd’hui incinérés. »
Ces expressions toutes faites, tabou du corps, culte du corps, ne sont que des débilités ! L’incinération n’a rien à voir avec un prétendu tabou du corps mais bien avec notre rapport avec l’au-delà, ainsi qu’avec les frais d’enterrement et les corvées liées à l’entretien d’une tombe.
La mort n’est pas davantage un tabou aujourd’hui qu’auparavant, contrairement à ce qu’affirme la culottée députée Porchet. Ce sont des clichés tout fait qui perdent toute légitimité dès qu’on est confronté à la réalité. Et la réalité, Mme Cosette Schneiter, directrice d’une entreprise de pompes funèbres à Yverdon, elle la connaît : « La preuve [que la mort est moins un tabou qu’avant], c’est que nous faisons beaucoup de contrats de prévoyance funéraire. Nous en avons fait plus de 400 depuis 2010, et c’est en augmentation » […]
Et la question du suicide ne serait pas assez abordée selon Mme Porchet. « On gère mal cette question en Suisse […] : il y a cette idée étrange que plus on parlerait de suicide et plus les gens se suicideraient. En fait, c’est le désespoir qui déclenche le passage à l’acte, il faut donc parler pour désamorcer. »
De toute évidence, Mme Porchet n’a jamais lu Emile Durkheim qui avait étudié le facteur du mimétisme chez les « suicidés », ni d’autres études sérieuses, mais elle la ramène quand même.
Elle ignore également que le pays au monde où il y a le plus de suicides assistés, est bien la Suisse… et le canton de Vaud figure en tête de tous les cantons !
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Quelques chiffres :
En Suisse, 40% des décès sont le résultat d’une euthanasie passive indirecte.
En 2017, 286 personnes ont eu recours à l’assistance au suicide en Romandie. Au niveau national, ce sont 965 personnes en 2015 (seuls les résidents suisses sont comptabilisés).
Le nombre d’étrangers venant mourir en Suisse est inconnu, [...]
Les patients d’Exit ont en moyenne 77,5 ans.
La principale pathologie à l'origine des suicides assistés l'an passé a été le cancer, avec 115 cas. Sont ensuite cités les polypathologies invalidantes (83), neurologiques (30), respiratoires (20) et cardio-vasculaires (20).
Après l'adoption d'un contre-projet en 2012, Vaud est devenu le premier canton suisse à inscrire l'assistance au suicide dans la loi. [...]
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Autres sources :
https://blogs.letemps.ch/louise-morand/tag/suicide-assiste/
https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_pays_par_taux_de_suicide
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Voir aussi:
RTS, Forum, 15.09.2016 http://www.rts.ch/play/radio/forum/audio/linterview-de-leonore-porchet-presidente-des-verts-lausannois?id=8003148
pour fajon . Commencez donc avec vous-même en guise d’exemple. Soit vous etes naïf soit sadique.
on est bientôt 8 milliards sur cette terre, c’est BEAUCOUP TROP!
8 millions en Suisse alors que pour avoir l’équilibre il faudrait être 3.5 millions…
Alors c’est le bon moment de parler de ça! Arrêtons de nous cacher la tête dans le sable, parlons en. Au lieu de souffrir le martyre pendant des mois voire des années, un ballon d’azote et sa coutera moins cher aux assurances (qui ne cesse d’augmenter années après années) Désolé de la dureté de mes propos, mais c’est réaliste et c’est pas moi qui l’ai dit a la base…
Faudrait supprimer 6 milliards et demi de personnes et sa réglerai tous les problèmes en une fois: « Réchauffement climatique », surpopulation, chômage, esclavagisme (qui gagne du terrain en ce moment avec l’immigration), matières premières, terres rares etc… moins de paquebots, moins d’avions, moins de tourisme, moins de porte conteneurs, moins de pétroliers, moins de voitures sur les routes. Quand on sera 500 millions répartis sur la planète, la vie sera mille fois meilleure qu’aujourd’hui
Pour la bienpensance gauchiste actuelle, toute discrimination est insupportable. Toute ? Non ! L’âgisme, soit la discrimination des personnes âgées, est tout à fait acceptée (voire, dans les faits, encouragée, pour des raisons fort peu avouables ?) :
https://www.20min.ch/ro/news/suisse/story/La-discrimination-la-plus-frequente-est-l–gisme-21104716
Pour les jeunes et moins jeunes ce sont l’assistance à la toxicomanie et pour devenir travesti. Merci aux autoritées voodoises qui troutefois doivent repondre pour leurs acts. Ça vous plaît de jouer avec les vies des gens? Vous n’êtes qu’une bande des assassins: vous mentez en transgressant tout bon sens comme vous respirez. C’est ça votre développement durable et votre aide aux démunis? Et vous les psychiatres: avez-vous jamais gouté les « délices » neuroleptiques? Essayez donc svp, c’est marrant. Je ne crois pas que ça va vous plaire. Donc arrêtez avec vos conneries et oeuvrez pour le véritable bien-être des gens. Commencez 2019 avec des bonnes résolutions pour tout le monde par uniquement pour vos intérêts mesquins.
Les vieux? Le système actuel fait tout pour s’en débarrasser, d’une façon ou l’autre. Triste réalité et une véritable honte pour ce pays!
Et en plus, même à partir de 45 ans et en excellente sante on commence a vous considérer comme trop vieux pour être engagé dans une entreprise. Pire, on cherche a vous remplacer par des plus jeunes! Une honte tout ca..
Bonne et heureuse 2019, dans la mesure du possible..!
Laisson la grosse Porchet de côté et ses « immigrés-welcome » !
Ne pas faciliter le départ en douceur dans l’autre monde lorsqu’un vieux a perdu sa tête, se fait dessus et a besoin de soins permanents parce que plus grand chose ne marche (je l’ai vu dans ma famille, c’est AFFREUX), c’est de la BARBARIE ! Et s’il y a quelques abus, la famille visant l’héritage par exemple, tant pis. Actuellement, les abus de maltraitance, il y en a des milliers, et ils sont bien pires. En plus, la situation actuelle ruine l’assurance maladie. En d’autres termes, on ruine les jeunes via l’assurance maladie pour que des mort-vivants vivent l’enfer. Cela DOIT changer !
Dans ce brave pays de Vaud à la botte de ces socialistes et verts GRANDS AMIS des autres du type SOROS,JUNKER,MERDKEL,SOMMARUGA,BERSET,MACRON doit faire enrager nos du VRAIS VAUDOIS GILLES & URFER,personnages d’une belle époque hélas révolue dans ce pays de Vaud ! Triste constat d’un déclin de ce pays vendu aux touristes criminels,violeurs,pilleurs,menteurs. A QUAND LES GILETS JAUNES dans ce pays ! Honte à cette misérable,trop jeune pour avoir du respect pour nos anciens,la fessée,à genoux sur la bûche de bois comme à l’époque pour ces enfants INSOLENTS !
Vous avez tort de faire l’amalgame entre immigration, assistés et suicide assisté. Je suis vigoureusement anti-hyper-assistés et anti-immigrationniste mais je suis tout autant vigoureusement pour laisser libre à chacun de décider de sa fin de vie. Il ne s’agit pas d’imposer le suicide à chacun mais de laisser libre chacun. J’espère que vous saisissez la nuance. Pour un site d’information qui met la liberté au dessus de tout, ça ne devrait pas poser problème.
D’ailleurs puisque vous êtes aussi pour la démocratie directe, je crois deviner que la majorité de la population est contre l’immigration massive et incontrôlée et pour la liberté de chacun de choisir sa façon de mourir.
Pour finir, ayant été très bien placé pour le savoir, je pense que oui, la tendance est un peu trop à l’acharnement thérapeutique et un peu trop à l’hyper-médicalisation de la vie en Suisse et pas seulement pour les vieux, ce qui fait de nous des enfants gâtés trop fragiles et contribue indirectement à l’hyper assistanat et aussi à l’appel d’air de l’immigration.
Comme médecin à la retraite je désire mourir à la maison , sans acharnement thérapeutique, et mes enfants le savent.
Selon mon expérience, pour diverses raisons, ce sont les familles qui se débarrassent de leur malades en fin de vie et les font hospitaliser et des médecins qui les font souffrir pour parfaire un diagnostic. j’ai vécu des cas ayant adhéré à Exit qui ont été hospitalisés et pris en charge contre leurs dernières volontés.
« Mieux gérer l’argent public » ?
Y-a-t-il vraiment beaucoup de cas d’acharnement médical ? Et les assurances ne diraient rien ?
Ou alors n’est-ce pas plutôt que tant que ces gens travaillaient dur, payaient beaucoup d’impôts et leurs primes d’assurances maladie, ça pouvait aller, mais quand ils viennent vieux et se mettent, pour certains, à pomper de l’argent à l’Etat, ça fait concurrence à d’autres pompeurs d’allocations étonnamment chouchoutés, ça fait tache, le fric ne va pas tarder à manquer, alors ça serait bien qu’on fasse de la pub pour qu’ils envisagent de débarrasser le plancher.
Et pourquoi ça me fait penser au gilets jaunes en France….. les élites déconnectées bien au chaud dans leur petit monde….. puis les membres de la diversité qui ne paient rien, ne cotisent à rien mais à qui on offre tout….. et les « périphériques » qui doivent bosser dur, payer les impôts et taxes, qui n’ont droit à rien si ce n’est de la fermer ! Si en plus ils viennent vieux !
Je me réjouis d’être vieux : maltraité, voire torturé – oui, torturé – en EMS par des africaines (qui ont accepté ce boulot que personne ne veut faire et qu’elles quittent au plus vite après avoir obtenu un permis C, ce qui signifie enfin le droit à être au social ad eternam), prolongé un max afin de siffonner toutes mes économies gagnées durement (les socialos salivent à l’idée que le pognon d’un sale mâle blanc de souche aille à l’Etat, donc dans leurs poches et celles de leurs protégés envahisseurs, plutôt qu’aux héritiers), voire volé purement et simplement en profitant de mon gâtisme. Vous avez raison : une mort douce quand je souffrirai trop et me retrouver au paradis (certain dans mon cas, s’il existe…), quelle horreur ! Il ne reste donc que le train, la falaise ou la corde afin d’éviter le Goulag. J’y pense, j’espère en avoir le courage en 2019 et ne pas me rater. Merci Windisch et Cenator : beau combat ! Bonne année !
Les gauchos verdoyants sont les champions toutes catégories pour faire feu de tout bois. Cette Porchet islamophile, ose parler de Noël pour évoquer sa grand-mère, qu’elle aurait rencontrée pour la première fois dans une ambulance. Et de prôner le suicide des vieux qui coûtent cher pour faire place à la jeune racaille musulmane si enrichissante. Ces jeunes élues sont de plus en plus proches du navet qu’elles soignent à la sauce bio.
Ils sont gonflés! Après avoir pourri la vie des gens depuis 50 ans, les maquereaux chinois viennent leur parler mort!
C’est tout simplement le mensonge qui déclenche le suicide, après la perte de confiance, l’impossibilité matérielle de changer sa situation d’esclave fiscal ou endettés. Ordres et contre-ordres engendrent l’anarchie que l’on doit à l’idiot utile qui a pris le pouvoir. Il n’y a qu’à regarder les combines qui prévalent chez les socialo-écolo-islamo-bolchévo-fascistes pour comprendre que leurs listes politiques sont débordent d’idiot(e)s utiles. Et on peut y compter Maudet qui n’est qu’un intrus incrusté de gauche, comme traître au PLR. Mais voyons le parcours d’une nouvelle pétroleuse pour avoir sous la main un bonne démonstration. L’envers https://www.rebeccaruiz.ch/ et l’endroit https://www.letemps.ch/suisse/drole-contrat-travail-rebecca-ruiz-sein-lecole-publique https://www.lematin.ch/vaud-regions/Malaise-concernant-les-contrats-de-travail-de-Rebecca-Ruiz/story/25406161 https://lesobservateurs.ch/2016/02/29/propagande-de-gauche-migros-magazine-interviewe-socialiste-anti-armes-rebecca-ruiz-demande-a-lecteurs-sil-y-a-darmes-suisse/
Rien n’est plus grave que ce que nous imposent les médiats à la botte, à travers les censures, les travestissements, et les crachats toujours dans le même sens, sauf parfois juste par intérêt ponctuel et pour donner du sens à la prétention d’objectivité.
« De toute évidence, Mme Porchet n’a jamais lu Emile Durkheim » Elle a peut-être visionné l’excellent film culte « Soleil vert » avec feu Charlton Heston (Ben Hur) en résumé, dans ce film prophétique, on euthanasie les « vieux » pour les transformer en soleil vert qui est l’aliment de base de la population en surnombre…. A voir ou à revoir et a méditer Mme Porchet. Même votre jeune âge ne vous donne plus d’excuse. J’aurais honte à votre place!