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Voir aussi :
Bolsonaro, ce président que les médias adorent nazifier
L’élection de Jair Bolsonaro est une excellente nouvelle pour les amis de la liberté
Ravier sur Bolsonaro : «En France on n’est plus habitués à écouter le peuple» (FInter,29/10/18,7h50)
Cenator : Aucun journaliste des médias romands n’a parlé de Bolsonaro en termes si positifs. L’hystérie était généralisée contre le nouveau diable populiste à maudire.
Le pseudo-débat du Forum des médias (ci-dessous), le jour de l’élection, illustre parfaitement cette déferlante.
Mehmet Gultas n’est pas avare de qualificatifs : « le caractère sulfureux de Jair Bolsonaro, issu de la droite populiste nostalgique de la dictature militaire, a défrayé la chronique mondiale avec ses propos violents, misogynes, racistes, homophobes... »
Les trois journalistes invités sont horrifiés à l’idée que Bolsonaro soit arrivé au pouvoir au Brésil.
Jacques Pilet : La démocratie peut ouvrir le chemin à la dictature ! … Les populistes, comme Orban, Salvini… La démocratie n’est pas acquise…
Gustavo Kuhn : Les mécanismes populistes se répètent, ils tirent les mêmes cordes partout. Bolsonaro est totalement inexpérimenté, raciste, misogyne, homophobe…
Luis Lema : La dictature de Bolsonaro sera pire que la dictature précédente. Il ira au-delà, ce sera pire que la dictature en Argentine ou au Chili, il appliquera la recette de Pinochet, piller les ressources et la forêt amazonienne !
Les réseaux sociaux en cause : ils rendent marginaux les journalistes officiels !
Ce genre d’amalgame et de diabolisation massive chaque fois que la gauche n’est pas élue est absolument inadmissible !
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Pour la presse bienpensante si vous n’êtes pas d’extrême gauche vous êtes automatiquement d’extrême droite
Quand les ‘bien-pensants’ de l’Occident chrétien ‘civilisé’ arrive dans la folie de craindre « les extrémistes brésiliens » c’est que la fin de la civilisation est proche… Nous entrons dans des temps barbares…
« Une presse cynique, mercenaire et démagogique va avec le temps produire un peuple aussi bas qu’elle-même. » Joseph Pulitzer