Violée par un toxicomane qui menaçait sa fille, elle le massacre à coups de couteau

post_thumb_default

30 octobre 2018

Brisbane. C’est l’affaire qui divise l’Australie ces derniers jours…

Victime ou coupable? Là est toute la question dans l’histoire que nous allons vous raconter, celle de Roxanne Eka Peters, 35 ans.

Cette femme a été jugée ces derniers jours par la Cour Suprême de Brisbane (Australie) pour avoir tué à coups de couteau un certain Grant Jason Cassar, 51 ans.

Les faits se sont déroulés en décembre 2015 chez elle à Capalaba, dans la banlieue de Brisbane.

Pourquoi avoir commis un tel geste? L’explication de la trentenaire est simple : Cassar l’a violée.

Quelques jours après, ce toxicomane notoire aurait voulu recommencer. Il est entré par effraction chez l’accusée. Il faut préciser que cette dernière était assistante en pharmacie et prenait aussi parfois de la drogue.

Cassar voulait se procurer de la méthamphétamine et surtout, il aurait dit à Roxanne Eka Peters que si elle n’avait pas une relation sexuelle avec lui, il s’en prendrait à sa fille, présente dans l’habitation.

C’est à ce moment que la mère de famille, selon ses dires, s’est emparée d’un couteau et a poignardé son agresseur de plusieurs coups dont un en plein coeur. Grant Cassar ne s’en relèvera pas…

On pourrait alors (peut-être) parler de légitime défense… Oui mais voilà, la jeune femme ne s’est pas arrêtée là.

Après avoir demandé de l’aide à des amis, qui ont tous refusé, Roxanne Eka Peters a transporté le corps de son violeur, elle l’a attaché à sa voiture et traîné sur près d’un kilomètre avant de le jeter dans un fossé.

La dépouille sera retrouvée le lendemain. Après autopsie, on apprendra que Grant Cassar a été poignardé 61 fois. Il présentait également plusieurs blessures au niveau du pénis.

Lors du procès, la mère de Grant Cassar a pleuré son fils, massacré selon elle sans raison :  “Jamais au monde, je n’aurais pu imaginer qu’une femme ferait une chose aussi horrible”.

Cette affaire a été énormément commentée en Australie où certains voient plutôt Roxanne Eka Peters comme la vraie victime.

Quoiqu’il en soit, le verdict est tombé. La jeune mère de famille a été condamnée hier à neuf ans de prison pour “homicide volontaire” et à 18 mois supplémentaires pour “atteinte à l’intégrité d’un cadavre”.

Elle pourra demander sa libération conditionnelle en 2020.

Source : 9News

4 commentaires

  1. Posté par wynand le

    Well done,you was right.

  2. Posté par Jean-Francois Morf le

    Bravo Roxane! Et moi, j’enverrais ces juges étrangers en prison, car ils prennent la défense des violeurs et accusent les violées! Ces juges étrangers ne valent pas mieux que les imams mahométans: ils jugent maintenant selon la Sharia!

  3. Posté par Diablotin le

    Bon, le message est clair, il ne faut pas emmerder les femmes australiennes!

  4. Posté par fred le

    Je dois être anormal, je trouve que c’est de la légitime défense.

Et vous, qu'en pensez vous ?

Poster un commentaire

Votre commentaire est susceptible d'être modéré, nous vous prions d'être patients.

* Ces champs sont obligatoires

Avertissement! Seuls les commentaires signés par leurs auteurs sont admis, sauf exceptions demandées auprès des Observateurs.ch pour des raisons personnelles ou professionnelles. Les commentaires sont en principe modérés. Toutefois, étant donné le nombre très considérable et en progression fulgurante des commentaires (259'163 commentaires retenus et 79'280 articles publiés, chiffres au 1 décembre 2020), un travail de modération complet et exhaustif est totalement impensable. Notre site invite, par conséquent, les commentateurs à ne pas transgresser les règles élémentaires en vigueur et à se conformer à la loi afin d’éviter tout recours en justice. Le site n’est pas responsable de propos condamnables par la loi et fournira, en cas de demande et dans la mesure du possible, les éléments nécessaires à l’identification des auteurs faisant l’objet d’une procédure judiciaire. Les commentaires n’engagent que leurs auteurs. Le site se réserve, par ailleurs, le droit de supprimer tout commentaire qu’il repérerait comme anonyme et invite plus généralement les commentateurs à s’en tenir à des propos acceptables et non condamnables.

Entrez les deux mots ci-dessous (séparés par un espace). Si vous n'arrivez pas à lire les mots vous pouvez afficher une nouvelle image.