Peuple souverain de Suisse réveille-toi!

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Peuple souverain de Suisse réveille-toi!

 

Dominique Schwander

 

A nos enfants et petits-enfants qui créeront l’avenir.

Qu’ils sachent que nous avons lutté pour eux

et que nous ne sommes ni de gauche ni de droite

mais pour notre peuple,

le Souverain suisse, notre Patrie et notre démocratie directe.

 

« Dans l’époque singulière où nous vivons,

le fort est faible par son hésitation et le faible est fort par son audace. »

Otto von Bismarck (1815-1898)

 

 

Comme Rudiger Dornbusch (1942-2002), économiste germano-américain de renommée mondiale ayant étudié à l’Université de Genève, l’a souligné: «Les choses prennent plus de temps à arriver que vous ne le pensez, puis elles se produisent plus vite que vous n’avez jamais pensé qu'elles pouvaient."  Une crise telle que celle que nous vivons coïncide habituellement avec une augmentation inédite de la vitesse de l’histoire et de la civilisation. Une crise peut avoir des conséquences catastrophiques mais aussi ouvrir de nouvelles possibilités.

 

Les grandes nations tournent telle la grande roue d’une fête foraine; comme l’Empire romain, l’Empire britannique, l’URSS, l’Argentine, la France, etc, elles s’élèvent, puis sombrent en se suicidant.

 

  1. Les peuples passent de l’esclavage ou de la servitude à une société éduquée et plus juste.
  2. Grâce à leur courage, - le courage ne craignant pas le crime, l’honnêteté ne craignant pas l’autorité, ni les caméras de surveillance, ni les enquêteurs des fraudes d’assurance -, à leur capacité à résister aux pressions, à la corruption et aux menaces, les peuples se libèrent de leurs oppresseurs et deviennent libres.
  3. De libres, ils deviennent mieux formés, créatifs et riches.
  4. De riches, ils deviennent individualistes et égoïstes. La ferveur spirituelle du colonialisme se transforme en impérialisme profiteur.
  5. De individualistes et égoïstes, ils deviennent satisfaits d’eux-mêmes, voir arrogants.
  6. De satisfaits d’eux-mêmes, ils deviennent complaisants, nonchalants et passifs. C’est justement ce qui se passe actuellement en Europe; nos compatriotes tendent de plus en plus vers la passivité (Geschichtsmüde). Ils ne chantent plus et préfèrent écouter des disques, un orchestre quelconque ou un(e) braillard(e) sans belle voix, sans mélodie, mais à la mode. Ils préfèrent aussi écouter et croire des élus à genoux devant Bruxelles et l’islam-idéologie; cette inclination à la passivité est le plus grand des risques qui nous menacent.
  7. De nonchalants et passifs, ils deviennent dépendants, envieux et assistés. L’éthique du travail, de l’effort et de la responsabilité individuelle est alors érodée. L’idéal du travail bien accompli comme forme d’épanouissement s’effrite à mesure que les individus prennent goût au temps libre, aux loisirs après le temps de travail, au libertinage et aux divers subsides de l’Etat « providence ». Les citoyens revendiquent que l’Etat devrait donner à chacun emploi, temps libre, loisirs, soins et même changement de sexe alors qu’en réalité, globalement, l’Etat confiscatoire prend de plus en plus du fruit de leur travail.
  8. De dépendants et assistés, ils retournent à l’esclavage ou à la servitude. Tant de civilisations, d’empires et de peuples célèbres ont disparu ou sont en train de sombrer.

 

La Geschichtsmüde est cette fatigue existentielle des lâches européens du XXI ème siècle et de la société dégonflée dans laquelle nous vivons. Déjà dans son livre sur le déclin de l’Occident (Der Untergang des Abendlandes), Oswald Spengler (1880-1936) décrit longuement cette fatigue existentielle et conclut que les civilisations, tout comme des gens, naissent, s’épanouissent, déclinent et meurent écrasés par le poids de l’histoire si souvent déformée; pour lui l’Occident, qui se passionne à s’apitoyer sur son sort et sa culpabilité passée, arrive au terme de ce processus et est en phase de déclin. La Suisse, s’apitoyant sur son sort et gaspillant le capital culturel de nos ancêtres et de notre histoire judéo-chrétienne, a perdu bien de ses forces et qualités.

 

Les Européens dégonflés sont devenus tellement habitués à la paix qu’ils ont perdu le goût et l’art de se battre contre leurs ennemis intérieurs et extérieurs. Ils ne sont même plus capables de s’indigner lorsque un ennemi tue des leurs. La paix ne serait plus l’heureux intervalle négocié entre deux guerres, mais un absolu qu’on devait imposer, y compris par la force. Nous vivons dans un monde de rêve exhibitionniste et de culpabilisation: celui des bougies, des fleurs et des peluches qui répondent aux couteaux, aux voitures béliers, aux AK47, etc, aux haineux allahu akbar et aux étendards de l’islam-idéologie: « vous n’aurez pas ma haine ». À cet admirable peuple suisse, l’übergauche et les angéliques ont imposé l’âme du vaincu. Quelque chose ne tourne plus rond dans notre beau pays où des élus bruxellisés veulent même désarmer les citoyens et les vétérans de notre armée de milice. N’ayons aucun doute: le pire sera au rendez-vous; si nous ne nous réveillons pas, nous serons battus dans la honte.

 

Habituellement, les civilisations ne meurent pas assassinées; à l’exemple de l’URRS, de la France et des USA avant Donald Trump, elles se suicident comme l’a affirmé l’historien Arnold Joseph Toynbee (1899-1975). Ainsi par exemple les USA étaient en train de se suicider parce que, de Carter à Obama, leurs derniers présidents ont oublié ce que leur premier Président républicain Abraham Lincoln (1809-mort assassiné le 15 avril 1865) déclarait en 1860:

 

«Vous ne pouvez pas créer la prospérité en décourageant l’épargne.

Vous ne pouvez pas donner la force au faible en affaiblissant le fort. 

Vous ne pouvez pas aider le salarié en anéantissant l'employeur. 

Vous ne pouvez pas encourager la fraternité humaine en encourageant la lutte des classes.

Vous ne pouvez pas aider le pauvre en ruinant le riche. 

Vous ne pouvez pas éviter les ennuis en dépensant plus que vous gagnez. 

Vous ne pouvez pas forcer le caractère et le courage en décourageant l'initiative et l’indépendance.

Vous ne pouvez pas aider les hommes continuellement en faisant à leur place ce qu'ils devraient faire eux-mêmes. »

 

Depuis 1860, les temps ont bien changé aux USA. Quand on tentait, en automne 2016, de comprendre l’élection magouilleuse et les fraudes électorales de cette caractérielle qui rêvait d’être présidente des USA, on ne peut que conclure que les USA sont un simulacre de démocratie représentative et ressemblent bien trop à un pays en voie de développement, corruption inclue. Ses beaux principes, compte des votes compris, sont piétinés bien d’avantage par la gauche dite « progressive », libérale et guerrière que par la droite conservatrice et bien trop soumise à l’establishment et aux lobbies. La principale bonne leçon de l’élection de Donald Trump aux pseudo-démocraties est que le pouvoir des médias ou médiocres politiquement corrects, désinformateurs et manipulateurs (quatrième pouvoir) peut être battu par les sites WEB de réinformation, des réseaux sociaux (internet ou cinquième pouvoir) et un outsider à l’establishment politique. Donald Trump veut ce que tout élu démocratiquement devrait vouloir: que les travailleurs américains, tout particulièrement la classe moyenne des Etats-Unis, récoltent une part plus significative des fruits de la prospérité. C’est avec cet objectif d’entrepreneur que le Président Trump s’est adressé au Congrès américain mardi soir 30 janvier 2018 pour son premier discours de l’État de l’Union. Une traduction en français de ce remarquable discours filmé se trouve sous: https://www.dreuz.info/2018/02/01/texte-integral-du-discours-de-lunion-du-president-donald-trump/.

 

Alexander Fraser Tytler (1747-1813), un professeur d’histoire à l'Université de Edimbourg, lui, aurait dit à propos de la chute de la République athénienne, il y a quelque 2000 ans: « Par nature un régime démocratique ne peut pas perdurer. La raison qu’une démocratie ne peut pas exister comme une forme permanente de gouvernement est simple: un régime démocratique subsiste jusqu’au moment où les électeurs découvrent qu’ils peuvent se voter des largesses aux dépens du trésor public. Dès ce moment, la majorité des citoyens élit toujours les candidats qui leurs promettent le plus d’avantages payés par les deniers de l’Etat, c’est-à-dire par les contribuables, avec pour conséquence que la démocratie croule sous le poids d’une politique fiscale laxiste et immodérée. La porte est alors grande ouverte pour qu’une dictature succède à cette démocratie.»

 

N’est-ce pas l’évolution actuelle de l’UE et dont la droite helvétique conservatrice et patriotique, en particulier l’UDC ou Union démocratique du centre (mieux dénommée en allemand: Schweizerische Volkspartei (SVP) et en romanche: Partida Populara Svizra (PPS) essaie de se garder? Le Souverain suisse, qui dernièrement a voté contre une augmentation des vacances annuelles à six semaine, sait encore prendre ses distances de ce risque décrit par Fraser Tytler. De plus, l’innovation est destructrice; l’ancien meurt pour que le nouveau apparaisse, à condition que des citoyens honnêtes, travailleurs, studieux, bien formés et créatifs inventent sans cesse ce nouveau devenu indispensable à leur industrie productrice et que les nations évitent de se faire entre elles des guerres qui, au XXI ème siècle, sont devenues toujours destructrices des richesses, cela pour les deux parties en conflit.

 

Il est attribué la phrase suivante à Nicolás Remigio Aurelio Avellaneda, avocat, journaliste et président d’Argentine entre 1874 y 1880: « les peuples qui oublient leur histoire sont condamnés à la répéter. » C’est bête comme, jeunes et vieux, nous connaissons mal l’histoire de notre pays, de l’Occident, du Moyen-Orient, de la colonisation et de l’esclavage par l’islam, alors que justement, les Suisses, depuis 1291, ne font qu’apprendre de l’histoire. Notre patrie la Suisse se définit par son histoire. Il est bien plus utile d’enseigner et d’apprendre l’histoire au collège et par la suite à l’université que le droit. Plus que jamais, nous devons éduquer l’Américain et l’Européen. Il faut questionner le passé pour comprendre le présent, envisager et préparer l’avenir. Comme l’écrivait déjà Polybe, né environ 200 ans avant Jésus-Christ: « Il n’y a pas de leçon plus accessible aux hommes que la connaissance des évènements passés ». Evidemment, à la différence des sciences exactes ou parfois de l’économie, l’histoire n’est pas le moyen de faire des prédictions exactes. Une des règles de l’histoire est que ce qui, après coup, paraît inévitable était loin d’être évident à l’époque des faits. Ce n’est pas pour connaître le futur que nous étudions l’histoire, mais pour élargir nos horizons, comprendre que notre situation actuelle n’est ni naturelle, ni inévitable, ni unique, ni désespérée et que, de ce fait, les possibilités qui s’ouvrent à nos choix et leurs effets secondaires sont bien plus nombreux que nous ne l’imaginons. On n’apprend pas l’histoire pour prédire le futur, mais pour se libérer du passé, s’imprégner de nos mythes nationaux et s’imaginer d’autres possibilités, d’autres choix et d’autres buts à long terme, moins craindre l’inconnu et avoir moins peur du changement. C’est pourquoi, pour comprendre les pays musulmans, la mentalité, la psychologie, la misère spirituelle, le djihadisme soft et hard, la violence et le prosélytisme musulmans, il faut aussi s’intéresser à l’histoire de la société musulmane, à la culture arabe pré-islamique, à la magnifique culture perse pré-islamique, au passé des pays musulmans, à la colonisation et à l’esclavage par l’islam conquérant du VII ème au XXI ème siècle.

 

Pour personne, il n’est facile d’atteindre son plein potentiel. Pessimiste, le psychologue Abraham Maslow (1908-1970) estimait que, habituellement, seuls 2% de la population le font; les autres 92 % n’y arriveraient pas. Augmentons ce faible pourcentage; il en va de notre avenir, de celui de nos descendants et de celui de notre pays. Evidemment dans notre culture d’égalité des chances, trop de gens ne sont pas assez studieux, travailleurs, entrepreneurs, créatifs, clairvoyants et responsables. Toutefois, certains de nos besoins doivent être satisfaits dans un ordre particulier, pour que nous ne restions pas bloqués et incapables de continuer à progresser, à entreprendre, afin d’éviter de retourner bêtement à une autre forme d’esclavage ou de servitude.

 

Abraham Maslow a publié une « hiérarchie des besoins » en particulier dans son ouvrage Motivation and Personality  aux  Editions Pearson en 1997:

 

  • Physiologiques: besoins pour assurer la survie tels que nourriture, sommeil, eau, abri et travail.

 

  • Sécurité: absence de menaces, de craintes et de peurs, besoins de stabilité, de cohérence et de cohésion de la collectivité.

 

  • Amour, appartenance, intelligence émotionnelle: nécessité de la famille, des amis, d’un travail stable dans une bonne ambiance de travail, promotion du bien commun, participation, solidarité, principe de subsidiarité et principe de suppléance.

 

  • Estime de soi: besoin de reconnaissance personnelle et professionnelle.

 

  • Actualisation de soi: nécessité de réaliser librement son plein potentiel.

 

Le réseau de communication humaine qu’est l’oumma musulmane est bien éloigné d’une telle hiérarchie des besoins et de notre civilisation occidentale. Nous sommes la seule espèce animale sur terre capable de coopérer en masse et en souplesse. Aucun autre animal ne peut se mesurer à nous: faute d’avoir non pas une âme, une conscience, une religion, une idéologie, un esprit ou de raisonner, mais l’imagination nécessaire. Les comportements de tous les animaux sociaux, homme compris, sont largement déterminés par leurs gènes, leurs hormones et leurs instincts; l’homme est différent par sa capacité de coopérer avec grande souplesse et imagination. Cette coopération humaine n’est pas toujours volontaire et rarement égalitaire. Trop des réseaux de coopération, par exemple l’UE et l’oumma musulmane reposent sur l’oppression, la soumission, l’exploitation, l’exhibitionnisme, l’absence d’intelligence émotionnelle et de spiritualité, ce qui empêche de satisfaire certains des besoins tant des Européens dépersonnalisés et soumis à l’UE que des musulmans dépersonnalisés et soumis à l’islam-idéologie. Les musulmans sont bloqués, rendus incapables de se remettre en question, de progresser, d’entreprendre, d’innover et de se libérer des gènes, des  hormones sexuelles et des instincts de leur passé évolutif.

 

De nos jours, les problèmes économiques majeurs y compris les dépenses irresponsables ou non indispensables et les dettes croissantes des gouvernements, ne sont pas seulement dus à de mauvaises pratiques économiques, à la corruption des Etats et de leurs dirigeants, mais aussi à l'érosion du caractère des citoyens. Alors que la liberté appelle à ce que nous avons de meilleur, le socialisme de la gauche élargie ou übergauche fait appel au pire en nous: l’envie, la jalousie, la paresse, la bêtise, le libertaire, la satisfaction, le profit à court terme, la dépendance de l’Etat providence, l’achat des votes de ceux qui ne paient pas ou guère d’impôts et/ou qui sont assistés, les privilèges, avec comme résultat une érosion de l’éthique du travail, de l’effort et de la responsabilité individuelle. De plus comme l’a fort bien rappelé Eric Zemmour dans son livre Le suicide français : « La gauche a trahit le peuple au nom de l'égalité. L'égalité entre les parents et les enfants qui tue l'éducation; l'égalité entre les professeurs et les élèves qui tue l'école; l'égalité entre Français et étrangers qui tue la nation. »

 

Après des années de batailles, finirons-nous par comprendre la noirceur de la gauche et sa doctrine manipulatrice de la supériorité des émotions sur la raison? Après combien d’années comprendrons-nous que l’übergauche, en Occident, est un problème aussi pervers et grand, voir même plus grave, que le djihad de l’islam-idéologie? Pour la gauche depuis les années 50, tout est question de contrôle, d’autoritarisme, de combat et de centralisation; c’est pourquoi les élus et les mass médias de gauche se sont alignés aux forces djihadistes de l’islam. Ils ont réalisé qu’il n'y a pas de plus efficient et durable système de contrôle de population que la charia musulmane. Ce n'est pas la droite contre la gauche. C'est la lutte éternelle de l’humanité: individualisme versus collectivisme, Etat arbitraire et dictatorial contre l’individu, liberté contre soumission et servitude. La gauche méprise l’individu et, ce faisant, la gauche se place si souvent du côté opposé à la vérité. La gauche qui méprise l’individu et rêve d’un régime autoritaire dirigé par sa minorité dirigeante, dite plus intelligente que le peuple souverain, se tient aux côtés des suprémacistes islamiques et de leur oumma. Le privilège de cette minorité intelligente (comme ceux de la noblesse du passé) serait de produire de grands hommes et de grande femmes et d’exhiber dans les mass-médias de l’übergauche leurs soit-disantes belles, généreuses actions stupides. Cette minorité serait, selon elle bien évidemment, la mieux à même de « conduire » le peuple souverain. C’est quoi, la droite conservatrice en Suisse ? Ceux qui ne sont pas de la gauche qui s’est emparée, depuis les années cinquante, de la grande majorité de tous les secteurs d’opinion.

 

En islam, il n'y a pas d‘individus mais que l’oumma. C’est pourquoi l’übergauche et ses partis satellites (verts, PDC et PLR de gauche…) qui lui sont soumis sont si profondément en désaccord avec la Suisse patriote des blochériens et l’Amérique patriote de Donald Trump, deux Etats-nations dont l’histoire et la morale se fondent sur les droits individuels et le passé de leurs peuples. L’opposition de la sur-gauche est, comme elle le fut en URSS, emblématique: contraindre au silence et au mutisme ses adversaires, comme le font tous les totalitaires, parce que la liberté de parole c’est le fondement d'une société libre et la gauche internationaliste ne veut qu’un régime autoritaire supra-nationaliste et sans frontières. La gauche a travaillé avec ardeur pour remplacer nos valeurs communes d'individualisme et de raison par l’irrationalisme et les émotions. L'idéal de l'homme rationnel a été détruit par des universitaires et des élus éduqués à l'école de la gauche. Les Européens ont été implacablement propagandisés jusqu'à ce que des millions de personnes ne croient plus à la réalité du mal.

 

La gauche a d'énormes ressources pour attaquer la droite. Sa perversité s'en prend à n'importe qui. Tous ceux qui sortent de la ligne de sa doctrine autoritaire sont accusés d’être des populistes d’extrême droite. Le compresseur gauchiste/islamique est bien huilé, bien financé et énorme, avec des tentacules partout: les médias, l’instruction publique, les universités, les médias sociaux, Wikipedia, Swissnfo, les chaînes de TV suisses subventionnées. Ce n'est pas une industrie sociale, c'est un cartel, un monopole. Ils ont les milliards de Soros et d’autres oligarques et ils les dépensent partout. Le milliardaire George Soros et ses comparses, dont tous ces juges de la Cour européenne des droits de l’homme qui sont membres de son Open Society, sont prêts à tout pour conquérir les marchés, uniformiser les consommateurs, infiltrer les ONG, supprimer les frontières et les Etats-nations et s’enrichir; jusqu’à désinformer, manipuler, trafiquer, soudoyer, corrompre et batailler. Comme l’ont fort bien compris et pratiqué l’islam, l’extrême gauche et l’übergauche, l’école et l’université sont l’enjeu de toute guerre idéologique. Qui éduque les enfants et les étudiants en les endoctrinant au lieu de leur apprendre à penser tient et manipule les cerveaux de l’élite future. Qui tient les cerveaux de l’élite domine l’Etat-nation.

 

Pourquoi les médias de gauche ont-ils besoin de s’allier au groupe de musulmans pratiquants qui se consacrent à «détruire la civilisation occidentale de l'intérieur», comme l'ont déclaré les Frères musulmans? L'accusation de discours de haine qui a été portée par les médias et des élus contre pratiquement tous les défenseurs de la liberté d’expression en Occident, est utilisée par tous ceux, qui comme l’übergauche, font l’erreur de faire une concession après l’autre à l’islam, pour plaire aux adeptes de cette idéologie inventée il y a XIV siècles, en croyant l’apaiser, voir même la domestiquer. L'histoire ne sera pas clémente avec ces idiots utiles de journalistes. Ils seront ridiculisés et méprisés par les générations futures qui elles aspireront à être à nouveau libres et se battront pour la liberté. Comment se fait-il que la plupart des gens n'ont aucune idée de ce qui se passe et de ce qui est en train de nous tomber dessus? La plupart des gens ne savent même pas qu'ils sont en train d’être manipulés par des ONG « suisses » financées par Soros et par les mass-médias et de perdre le don le plus précieux que l'humanité ait jamais reçu de nos ancêtres les chasseurs-cueilleurs: la liberté. Tant de gens ne savent même pas ce qui se passe sous leur nez; ces médias de gauche nous manipulent et prêchent l’islam en propageant une version pacifique historiquement inexacte de l’islam, un ersatz de religion soit-disant de tolérance, d’amour, de bonheur et de paradis. C'est ainsi que ceux de gauche utilisent leur pouvoir considérable pour désarmer le peuple contre notre ennemi djihadiste musulman de XIV siècles. Cet ennemi qui cherche à nous soumettre et à détruire l'Occident.

 

Le socialisme a aussi un autre visage qui plait aux bisounours, autres angéliques et useful idiots. Il a toujours séduit des sentimentaux moralisants particularisés par l’apitoiement, la tyrannie de la repentance et une morale gauchisante, voir déshonnête. Sentimentaux affectés de méchanceté vindicative, surtout quand ils sont de mauvais perdants lors d’élections. Cette méchanceté vindicative s’est répandue dans beaucoup de facultés de beaucoup d’universités américaines et européennes, chez nous également.

 

La dernière campagne émotionnelle de Hillary Clinton et du deep state de la gauche américaine est un modèle de ce sentimentalisme moralisant, dirigiste et vindicatif. Récemment, le Trump Acceptance Resistance Disorder ou TARD (!), une nouvelle pathologie de type dissociatif avec un comportement psychotique, a été observé pour la première fois dans les dernières heures du 8 Novembre 2016, a augmenté de  sévérité et s’est répandu avec le passage du temps. Les victimes du TARD présentent souvent une dissonance cognitive prononcée, des accès soudains de rage, d’exhibitionnisme, voir même de désir d’assassiner, des cris et des pleurs incontrôlables, des idées « suicidaires » et une extrême tristesse puis, mentent, désinforment et manipulent.(http://newobserveronline.com/trump-acceptance-resistance-disorder/).

 

Comme chez les fervents musulmans en guerre sacrée, le fanatisme moralisant des fervents socialistes en guerre politico-idéologique est dangereux parce qu’il rend partial, violent et meurtrier. Autre ressemblance, comme tout pays musulman, un Etat socialiste ou communiste est un Etat sacral donc intolérant, un Etat pseudo-démocratique ou non-démocratique et quasi bolchévique où le pouvoir n’appartient pas au peuple le Souverain mais à une minorité dirigeante de gauche qui se déclare plus intelligente que le peuple souverain et n’est pas toujours élue, comme le sont en UE, ces politiciens « professionnels » carriéristes qui font métier de diriger les peuples. Cette minorité, qui se dit plus intelligente que le peuple, est la gardienne et la surveillante de la doctrine socialiste pure soit radicale et guerrière. C’est la police de la pensée de la nouvelle Inquisition du politiquement correct et de l’islamiquenent correct. N’oublions pas que le socialisme et le marxisme ne sont pas d’origine russe mais européenne (économie anglaise, philosophie allemande, socialisme français, accueil et intégration de l’immigré Lénine en Suisse) ce qui fait que le bolchévisme est d’origine européenne et reste bien implanté dans toute la gauche et l’extrême gauche européenne. Voilà pourquoi tant le fervent socialisme que le fervent islam n’aiment pas, si ce n’est méprisent notre hymne national, notre drapeau, notre patrie suisse, son Souverain, sa démocratie directe et sa Constitution.

 

La dictature socialiste repose sur la force et s’est associée, en Occident et en Amérique du nord, au totalitarisme musulman. A part quelques heureuses exceptions clairvoyantes, la gauche élargie applique son principe de l’inversion des valeurs et persiste à considérer tous les immigrés comme des victimes et l’Occident comme coupable. La tyrannie de la repentance à propos des heures sombres de la fin de l’histoire colonisatrice de l’Occident, si chère aux angéliques de gauche, est devenue une rééducation de l’Occident exigée par les musulmans colonisateurs, les Africains et leurs complices de l’übergauche. Notre devoir de mémoire et notre repentance concernant les croisades, la colonisation européenne, l’esclavage et le nazisme sont devenus une autoflagellation masochiste, sans aucun fondement puisque nous n’étions pas encore nés. En œuvrant pour la réapparition d'un étatisme radical, cette gauche actuelle collabore, ce qui est aberrant et dangereux, avec des idéaux nazis les plus destructeurs pour l’économie et la société. Le nazisme, Nationalsozialistische Deutsche Arbeiters Partei soit le NSDAP, ou, traduit correctement de l’allemand, Parti socialiste-national des travailleurs allemands) n'était-il pas une forme de socialisme modéré et « progressiste » pour attirer la masse populaire, socialisme fortement attaché à la nation allemande et à son territoire, soit aussi nationaliste, dans le but d’offrir aux travailleurs une alternative au marxisme internationaliste qui, tant en Russie qu’en Allemagne, ne libérait les travailleurs que pour leur mettre de nouvelles chaînes?

 

La liberté repose, elle, sur le volontarisme, l’esprit d’entreprise, la responsabilité de chacun, le respect de la vie des autres, de la propriété, du contrat, de la société civile et de l’état de droit. Comme l'affirmait Alexis de Tocqueville (1805-1859) il y a deux siècles: « La démocratie, c'est l'égalité dans l'indépendance et la liberté ; le socialisme, c'est l'égalité dans la contrainte et la servitude. » Est-ce pour cela que le socialisme aime tant l’islam qui régit le quotidien des musulmans minute par minute dans la contrainte et la servitude? Ceci représente les choix essentiels que chacun doit faire afin de décider si nous voulons vivre en liberté et progresser vraiment ou être soumis aux eurocrates et, pire, aux musulmans qui veulent nous imposer l’inégalité dans la contrainte et la servitude.

 

Seule une identité vraiment commune, décidée par un consensus populaire des citoyens, soit par le Souverain, non par des décisions de dirigeants et de technocrates, souvent même pas élus par le peuple comme ceux de Bruxelles, permet aux citoyens de se sentir solidaires de leur passé, de leur futur et de leurs valeurs ou, mieux dit, de leurs vertus. Place au peuple souverain de la démocratie directe, maître du pouvoir. La construction européenne de l’UE a servi à masquer tant la période terminale des souverainetés nationales des nations européennes que l’action blâmable qu’est l'hégémonie américaine dans le monde, hégémonie oligarchique hypocritement dénommée pax americana. La paix, bien qu’étant l’opposé de la guerre, n’est qu’un espace de temps entre deux guerres. La vraie paix, c’est quand la guerre n’est plus plausible. Malheureusement il n’y a jamais eu de paix véritable dans le monde. Si la guerre est devenue moins profitable qu’à l’époque de Mahomet, que le coût de toute guerre s’envole et ses profits sont vains, la paix est devenue plus lucrative que jamais. Il n’en reste pas moins que des guerres sont encore livrées dans l’intérêt d’investisseurs, en pure perte; la guerre elle-même est devenue une marchandise. La pax americana signifie en pratique que le monde doit rester soumis aux souhaits mondialistes des USA. Dès que des Etats-nations ou des contre-pouvoirs émergents comme la Russie ou la Chine remettent en question l’impérialisme américain, la pax americana tend à se transformer en une bellum americanum d’ingérences. Depuis une génération, l’Union européenne et ses technocrates, qui bataillent pour que l’identité européenne, de plus en plus merkelisée et germanisée avec sa pax germanica et sa conquête économique, se substitue aux identités nationales, est en crise. Les armées des pays de l'UE sont aux ordres de leurs dédaigneux « protecteurs » américains au nom de l’Alliance atlantique, alors que l’industrie militaire européenne est prise en mains par les Allemands. Les collabos de France, etc, et de Bruxelles ont à nouveau accepté l’’hégémonie allemande sur le continent européen. Les décisions essentielles de l’UE ne se prennent plus sans l’approbation voir la permission de l’Allemagne. La moitié des Allemands, eux, voudraient émigrer! Quel est le progrès?

 

L’UE titubante ne tolère plus aucune discussion, aucune contestation de son idéologie supra-nationaliste que les bruxellisés appellent bien à tort  «état de droit» alors que cette idéologie abolit la souveraineté des peuples. En UE, tout ce qui est national-patriotique est devenu honteux, égoïste et dangereux. L’UE est devenue l’apôtre de la déculturation et de la désagrégation des nations européennes soumises à Bruxelles. L’UE veut que notre ordre juridique ne soit plus fondé sur la souveraineté du peuple, mais sur la religion droit-de-l’hommiste et ses juges-prêtres qui décident selon leur conscience et pas selon la loi, alors que chaque citoyen libre doit pouvoir choisir avec réalisme entre l’amour des Siens et de soi et l’amour des Autres. Comme l’islam, l’UE et ses juges entendent traiter de toutes les questions d’idéologie, de politique, de droit, de fiscalité, de travail, de famille, de couple, de suicide, d’utérus, etc. Au nom des droits de l’homme, on méprise les droits des citoyens et leur Liberté. Au nom de l’UE, on méprise la nation et son peuple souverain. Au nom de l’amour des Autres, on méprise la Patrie et les Siens, ce que ces derniers veulent, la préférence nationale et la préférence civilisationnelle. Pire, nos législateurs  écrivent sournoisement nos lois sous la dictée de juges droit-de-l’hommistes étrangers et transforment notre démocratie directe en « démocratie » constitutionnelle puis en démocrature. Pourtant au printemps 1995, alors qu’il présidait son dernier Conseil des ministres en tant que chef de l’État, François Mitterrand déclara « Méfiez-vous des juges. Ils ont tué la monarchie, ils tueront la république. » L’übergauche internationale et mondialiste ne devrait-elle faire siennes ces paroles de son défunt maître pétaino-socialiste?

 

Se voulant politique et supra-nationaliste et pas seulement économique comme cela avait été justement propagé et comme cela devrait être, l’Union européenne (UE) est en plein milieu d’une crise universaliste et d’une déconfiture économique, ce qui convient fort bien aux USA, à l’islam et même à la Chine. N’oublions pas que la puissance dominante dans le monde a été, est, sera toujours celle qui est la plus dominante du point de vue économique et innovateur. Aujourd’hui la Chine communisto-capitaliste désire supplanter les USA qui avaient supplanté l’Europe. Suivant l’exemple du capitalisme de la gauche américaine, le capitalisme UE troque une économie de production, d’industrie productrice et d’épargne pour un système reposant sur la consommation, le crédit, l’industrie du social. le marasme des affaires, le chômage et y ajoute la main-mise de technocrates et de politiciens bruxellisés.

 

Comme l’avait expliqué Alexander Fraser Tytler, la démocratie dépérit en UE, d’autant plus que l'impérialisme européen promet à la populace sécurité et survie matérielle et ne tient pas ses promesses-pièges. Vu les conflits et les crises économiques et sociétales qui traversent l’UE, sa faible audience et ses piteux résultats en matière de politique étrangère, sécuritaire européenne et économique, l’hostilité vis-à-vis de l’UE ne va pas disparaître par magie, surtout que l’UE est en majeure partie composée de sacripants, d’arrivistes et d’imbéciles. En Europe ce qui était difficile à 28 deviendra encore plus difficile à 36 ou plus. Citoyens d’Europe, le temps gélatineux des discours mensongers, des promesses-pièges et des utopies politiques est passé.

 

Depuis le début des années 1990, il a été clair que les eurocrates ou UEcrates ou encore UEcrasses, comme Jacques Delors. etc, ont complètement échoué. Schengen-la-passoire, face à l’immigration militante musulmane et africaine, au terrorisme musulman et à la criminalité trans-frontalière, n’est qu’une petite part de cet échec. Le traité de Maastricht fut un changement de régime comploté par les technocrates de l’UE et les USA contre les peuples européens souverains, tout comme le fut par la suite Schengen et ses frontières passoires; l’UE passa, de manière dissimulée, du déficit démocratique à l’oligarchie mondialiste. De fait, au nom de la « religion » droit-de-l’hommiste, l’UE et la gauche américaine pratiquent une forme trompeuse, insidieuse, et redoutable de néocolonialisme oligarchique hypocrite et mondialiste, d’ingérences et de dictature silencieuse. La droite pratique trop la modération et la gauche mène bien trop des politiques guerrières et de violence, au lieu d’écouter les citoyens. N’oublions pas que les massacres du nazisme nationaliste, du communisme internationaliste soviétique, du maoïsme, du castrisme, de la colonisation musulmane, etc, ont toujours été des processus d’élimination de masse au nom de l’évangile des droits des gens, du progrès et du bonheur présent et surtout du bonheur futur promis aux individus. Comme l’islam, la gauche est fondée sur l’affrontement de deux objets antagonistes, le bon (la gauche évidemment) et le mauvais (la droite et les moyens de production en mains privées). Est bon tout ce qui privilégie la gauche ou l’islam « salvateurs », est mauvais tout ce qui  leur fait obstacle.

 

L’UE actuelle islamo-collabo qui affirme qu’il n’y a pas de menaces particulières, alors que des immigrants musulmans et des européens musulmans assassinent  des Européens, n’est que soumission qui marche de plus en plus à reculons vers sa perte. L’UE ne survivra pas dans sa forme actuelle dirigiste, supra-nationaliste, anti-souverainiste, politisée et centralisée. Si elle veut survivre, l’UE sera forcée d’écouter ses habitants, c’est-à-dire les peuples souverains d’Europe, de respecter les souverainetés nationales des Etats-nations européens, de devenir plus suisse, plus fédérale, plus transparente, moins politique, moins dirigiste, moins guerrière et par-dessus tout plus démocratique. Les peuples, en particulier le Suisse, l’Autriche, l’Italie et les anciens pays de l’URSS, auront, alors enfin et ainsi, moins à craindre de ou dans une telle Europe commune.

 

La Suisse telle qu’elle est maintenant ne peut pas accepter l’acquis communautaire, l’économie avec sa monnaie unique ouvrant la porte à sa fiscalité unique et confiscatoire, la politique dirigiste et suprémaciste de Bruxelles, des juges-prêtres étrangers et être commandée, menacée, si ce n’est tyrannisée, par les hauts fonctionnaires, les technocrates et les juges-prêtres droit-de-l’hommistes européens, parce que l'essence même de l'identité suisse réside dans l'autodétermination de bas (le peuple Souverain) en haut (les élus au service du peuple souverain) et dans le respect du principe de subsidiarité. L’autodétermination d’un peuple souverain est un bien inaliénable; l’abandonner marquerait la fin de notre démocratie directe en tant que telle et de notre Etat-nation. Un gouvernement démocratique de bas vers le haut comme la Suisse, face à une gouvernance impérialiste dictatoriale du haut vers le bas et supra-nationaliste comme l’UE ou l’oumma musulmane, c’est tout simplement incompatible. La logique de la gouvernance UE veut que, aujourd’hui, la Suisse soit renonce à son identité nationale, à sa souveraineté et à sa démocratie directe et nie toute son histoire, ses atouts et ses vertus, soit reste en marge de l’UE politique et de l’islam. Les Suisses doivent choisir entre une Suisse souveraine libre de culture gréco-romaine-judéo-chrétienne et de mécréance ou un coexistence multiculturaliste et multionflictuelle sous la domination de l’islam-idéologie et de l’UE. Les musulmans, eux, doivent choisir entre leur islam-idéologie chariatique de la circoncision et de l’infibulation et la Suisse du prépuce, du porc et du vin.

 

Le modèle actuel de l'UE a échoué. Les nouveaux membres ont rendu plus difficile que jamais de bien gouverner l’UE impérialiste de haut en bas, comme si elle était la France monarchique, cette France macronisée où aveuglement, incompétence, impunité, mépris pour les siens et prébendes politiciennes ont remplacé sa devise républicaine liberté, égalité et fraternité. Très bientôt, il sera nécessaire à apprendre à administrer l'Europe comme si elle était la Suisse, soit de bas en haut. L'Union Européenne doit relâcher son emprise sur les Etats-nations et leurs citoyens, démocratiser les prises de décision, se fédéraliser, décentraliser ses institutions, appliquer le principe de subsidiarité, se dépolitiser et surtout écouter tous les citoyens d’Europe, soit les peuples souverains et les faire participer aux décisions en votant. Plus l’Union européenne évolue vers une union économique libre, fédérale, démocratique et respectant les souverainetés nationales et ne s’ingérant plus dans les pays extra-européens, plus elle sera, comme la Suisse, fédérale et démocratique et plus elle deviendra, enfin, utile aux citoyens et aux nations de l’Europe tout en se libérant de l’impérialisme des USA et de la prépondérance allemande. Savez-vous que dans cette pseudo-démocratie impérialiste des USA, dans leurs Etats où il y a le référendum, ces référendums votés par le peuple peuvent être annulés par les juges de ces Etats, voir par les neuf juges de la Cour suprême fédérale des Etats Unis, soit par le pouvoir oligarchique et socialiste qui se cache sous leur terme de démocratie constitutionnelle? Un Etat comme les USA, la France ou l’Espagne où quelques  juges peuvent bafouer et annuler, à l’inverse de la Suisse, le vote de millions d’électeurs, est-elle une vraie démocratie et un exemple démocratique à exporter dans d’autres Etats-nations souverains? Pourquoi tant de politiciens suisses veulent-ils les imiter? Ces mêmes politiciens de gauche avaient déjà accusé le résistant Alexandre Soljenitsyne d’être un horrible réactionnaire parce qu’il critiqua les pseudo-démocraties occidentales en disant qu’elles étaient des oligarchies corrompues qui n’étaient pas à l’écoute de leurs peuples souverains. De même en 1940 en France soumise, des Français traitaient déjà les premiers résistants de terroristes. Ces politiciens suisses de gauche auraient du être fiers que dans son livre de 1998, Le grain tombé des meules, Soljenitsyne fait l’éloge de la démocratie directe suisse et milite pour qu’elle soit exportée en Russie. Les Suisses devraient aussi s’inspirer et prendre exemple de son discours de Harvard de 1978: Le déclin du courage. A le lire, les USA de Carter à Obama ne furent bien qu’un impérialisme et qu’une pseudo-démocratie dont nous devions nous distancer. Soljenitsyne avait compris que capitalisme sauvage et communisme étaient deux visages d’un même matérialisme dédaignant nos identités, nos souverainetés, nos racines, nos croyances et notre foi.

 

Le devenir de la Suisse moderne pourrait être un cas d’école pour tous les empires tels que les USA et l’UE et pour toutes les nations qui reculent devant un renforcement de la démocratie directe parce qu’ils redoutent le peuple souverain. À ce jour, il n’a jamais été démontré, qu’un peuple soit plus stupide que la moyenne de ses élus. Sans oublier que les peuples, qui comme le Souverain suisse, ont leur mot à dire lors du choix des taux des impôts, s’en tirent toujours à meilleur compte. La « volonté de tous » selon Rousseau, « crée la justice et le bien du peuple le Souverain »; on a même dit que la vox populi est la vox dei.

 

Niccolo Machiavelli, le penseur humaniste italien de la Renaissance (1469-1527) a écrit dans son Il principe: «gli Svizzeri sono armatissimi e liberissimi» (les Suisses sont les plus armés et les plus libres). Ne l’oublions pas et soyons fiers de nos traditions, de nos vertus, de nos libertés et de nos armes de service à domicile ou mieux sur nous. Notre mythique héros Tell dans Wilhelm Tell de Schiller a dit: « Celui qui veut se frayer un chemin à travers la vie doit avoir une arme pour la défense et pour l’attaque. » … « Le bras me manque quand l'arme me manque. » Qu’attendent nos centaines de milliers de soldats de milice vétérans pour se réveiller, revivre et adhérer à ProTell?

 

Malheureusement la majorité ignorante de nos élus n’ont toujours pas compris que le sucre surtout et la graisse sont bien plus dangereux que les armes qu’ils veulent empêcher les Suisses de porter. Si les populations syrienne, haïtienne ou somalienne sont affamées et qu’en France 10 % de la population souffrent d’insécurité alimentaire, c’est que des politiciens en sont les responsables, pas les armes. Il n’y a plus dans le monde de famines naturelles, que des famines politiques. Si, année après année dans le monde, l’obésité tue 3 millions de personnes, alors que la faim n’en tue que 1 million et les violences et la guerre en tuent moins de 1 million, c’est la faute aux obèses et à la société de consommation, pas aux armes personnelles des Suisses.. Chaque année, les Américains du nord en surpoids dépensent plus d’argent pour maigrir qu’il n’en faudrait pour nourrir tous les gens qui ont faim dans le monde. L’obésité est une double victoire pour le consumérisme mondialiste: au lieu de manger peu, les gens mangent trop puis achètent de coûteux produits diététiques, ce qui contribue doublement à la croissance du PIB.

 

Après 45 ans de guerre froide, nous pouvions enfin moins nous préoccuper des relations entre l’URSS idéologique et les USA impérialistes et moins investir dans notre Défense nationale; maintenant nous devons craindre, en particulier, des agressions sournoises économiques et idéologiques et des attaques entre les USA, l’UE, la Russie, la Chine, l’Iran, la Corée du nord, conflit nucléaire entre l’Inde et le Pakistan, etc, et surtout le monde musulman qui nous a déclaré la guerre à tous.

 

Europol estimait qu’en 2016 l’État islamique a envoyé en Europe plus de cinq mille de ses fanatiques soldats musulmans sans uniforme. Les terroristes musulmans et les combattants sans uniforme de DAECH, etc, ne seront pas détruits par la récupération de Mossul ou d’Alep. Réislamisés pur et dur depuis plus de trente ans, ils s’évaporent, ils reculent temporairement, ils s’adaptent par exemple en encourageant leurs combattants vivant dans un pays étranger à agir en toute liberté tactique; appliquant avec rigueur et ferveur le coran ils ne renoncent jamais. La réislamisation lancée fin des années septante par Khomeini est entrée en conflit avec le monde et avec les musulmans non-pratiquants. Les scénarios géopolitiques de conflits dépendent actuellement du rapport de force entre la puissance militaire dominante que sont actuellement les États-Unis, leur adversaire l’islam et les puissances susceptibles d’influencer l’équilibre, Russie, Chine, Iran, Corée du Nord, voire UE à la condition qu’elle ne soit plus soumise à l’impérialisme américain, croie Merkel et se cache derrière l’OTAN des USA et l’Alliance atlantique. Expériences faites, l’arbitrage de l’ONU islamisé reste virtuel, totalement inefficace et très très coûteux. En réalité, alors que les USA et leurs états marionnettes européens s’ingèrent et font la guerre partout et s’activent à occuper le monde, l’ironie est que les USA et l’Europe sont envahis par le monde musulman.

 

Malgré ce qui transpire dans quelques médias, nombre de citoyens restent aveugles. Ces citoyens n’ont pas compris qu’il convient de prendre avec la plus grande circonspection tout ce qui est publié dans les journaux et dit à la télévision parce que les médias européens sont actuellement avant tout des instruments de manipulation mentale au service de la gauche, de l’islamosphère et de la tyrannie de la repentance. Le tsunami migratoire qui déferle sur l’Occident a été prévu, organisé, financé par des Européens admirateurs de l’Eurabia et a même été décrit dans plusieurs livres prophétiques, en particulier dans d’admirables romans d’anticipation. Notre langue française compte une excellente suite de ces romans-prophéties ayant trait à l’islam et aux immigrants militants, livres qui auraient dû nous rendre tous, élus et citoyens, beaucoup plus clairvoyants. Cette suite est pourtant exemplaire:

 

  • Driant Emile-Cyprien: La guerre au XX ème siè L'invasion noire.1895

 

  • Raspail Jean: Le camp des sains. 1973

 

  • Tchoudinova Elena: La Mosquée Notre-Dame de Paris : année 2048. 

 

  • Houellebecq Michel: 2015

 

A cela s’ajoute des publications telles que le livre de Alfred Sauvy: L’Europe submergée. Sud-nord dans 30 ans, publié chez  Junod en 1987 déjà.

 

La Suisse veut-elle imiter les USA, l’Argentine, la France et autres démocraties représentatives, qui, progressivement, n’écoutent guère plus leurs citoyens que ne le font la Chine, Cuba, le Venezuela et la Corée du Nord? La Suisse veut-elle retourner à la servitude, en particulier à l’exploitation et à la confiscation du citoyen honnête et travailleur, ou rester une petite nation innovatrice, efficiente et sûre, une démocratie directe vraiment participative et libre, dont les gouvernants ne sont pas seulement élus, mais sont également surveillés et encadrés par le Souverain, c’est-à-dire par des citoyens cultivés, instruits et bien formés qui raisonnent et accordent une grande importance à l'initiative personnelle, à l’instruction, à l’effort, à la responsabilité individuelle, à leur culture, à leur histoire, à leurs valeurs et vertus, à leur Constitution et à leurs Lois, même si et parce que cette Suisse est un Sonderfall  qui a un imaginaire historique particulier et tellement différent de celui de la fraternité ou oumma musulmane?

 

Trop de Suisses et d’étrangers accueillis vivant en Suisse ne sont pas assez conscients et reconnaissants de la chance qu’ils ont de vivre dans un petit pays capitaliste autonome et de liberté, petit pays gérable et assurant à ses citoyens tant une retraite comprenant trois piliers, dont deux heureusement fondés sur une capitalisation personnelle, pas sur des dettes que devront payer leurs descendants et ainsi pas à la charge des générations futures, qu’une formation professionnelle des meilleures, une coûteuse protection sociale et une qualité de vie encore relativement bonne. Protection sociale vraiment coûteuse, puisque cette protection sociale représente un tiers de la totalité des dépenses de la Confédération suisse. Entre 2000 et 2013, ces dépenses sociales ont même passé de 14,171 à 21,106 milliards de francs. Ainsi la Confédération helvétique dépense plus d’argent pour la protection sociale que pour les transports, la Formation et la Défense nationale réunis; ce qui, à notre avis et à voir le monde actuel, est fort préoccupant pour la paix, pour notre avenir et celui de nos enfants et petits-enfants.

 

Il n’y a que trois façons dont l'argent peut être dépensé. On peut dépenser son propre argent soi-même. On peut dépenser son argent pour les autres, par exemple en choisissant ses charités. Etant difficilement repérable sans traçabilité, l’argent liquide représente l’un des derniers reliquats de la sphère privée. Il est donc logique que l’État, main dans la main avec des grands groupes et la gauche mondialiste, veuille la suppression de ce gênant reliquat. Enfin on peut dépenser l'argent des autres pour encore d'autres personnes. Cette dernière manière de dépenser l’argent est la prérogative des gouvernements; pourtant on sait que les gouvernements ne sont pas les meilleurs allocateurs des dépenses et du capital. Certaines dépenses du gouvernement détruisent même purement et simplement de la richesse et crée la pauvreté. L’économiste américain Milton Friedman, en 1980 n’a-t-il pas dit ironiquement que si vous confiez au gouvernement fédéral des USA la gestion du désert du Sahara, dans les cinq ans, il y aurait pénurie de sable?

 

Nous devons en débattre. Pire, place à l’UE souveraine supra-nationaliste, « après moi le déluge », « place à l’islam », « ne touche pas aux pétromonarchies, aux pétrothéocraties et au romantisme de l’Arabie classique », «gentil islam, on t’aime car nous sommes de bons chrétiens», « vous n’aurez pas ma haine », illustrent assez bien l’état d’esprit de nombreux concitoyens, en particulier de nombre d’élus. De là, l’urgence d’une réflexion et d’un concours d’idées qui soient au niveau des questions que l’UE et l’islam-idéologie nous posent. Comment reprendre le pouvoir et le sens sur un cours du monde qui nous échappe progressivement et pour quoi faire? Tout fiche le camp, le déclin de l’Europe menace; les USA ont même prétendu vouloir la sauver avec un nouveau plan Marshall. Ce ne sont pas les tièdes politiciens de Berne ou mollassons de Bruxelles, vu leurs erreurs passées et présentes dans leurs relations avec l’islam-idéologie, leur manque de courage, de détermination et de clairvoyance, sans oublier leur soumission à l’impérialisme des USA, à l’UE, à l’Allemagne, qui vont redresser la situation. Soyons sur nos gardes. Le Souverain doit se manifester énergiquement et prendre les choses en mains. Nombre d’habitants de la Suisse ont de moins en moins conscience qu’ils bénéficient d’un niveau de vie élevé, de liberté et d’une qualité de vie encore relativement bonne et sont donc moins disposés, comme il le furent pendant la deuxième guerre mondiale à fournir les efforts nécessaires pour les conserver. Des efforts constants sont nécessaires pour notre réussite à long terme et pour préserver nos libertés. Je n’ai pas ménagé mes forces. Ceux qui ont consacré du temps pour comprendre et des efforts à observer, ils peuvent et doivent parler, ils savent.

 

Depuis le VII ème siècle, les musulmans pratiquants, pas seulement les musulmans radicaux ou fanatisés, divisent le monde en deux: eux les musulmans soit les meilleurs du monde et les autres, les mécréants. Ils se disent être de bons croyants, raisonnables, tolérants, pacifiques, les meilleurs, etc, et disent être les gentilles victimes pontifiardes qui aspirent à vivre en sécurité et dans la paix de la maison de l’islam ou prévaudrait la vraie paix (dar al-islam soit domaine de la soumission à allah et à la charia), alors que tous les autres, Suisses compris, sont des mécréants, des terroristes hérétiques, des croisés, méchants, cruels, libertins, lubriques, irrespectueux, impies, insoumis, déraisonnables et irraisonnables, etc, soit des assassins qui vivent perpétuellement en conflit dans la maison de la guerre (dar al-harb, soit domaine de la guerre) que sont les terres non encore rendues aux musulmans, comme il se doit puisqu’elles auraient toutes été créées par leur allah. Pour tous les musulmans pratiquants, la paix ne serait possible que dans les territoires et chez les peuples islamisés ou gouvernés par un État musulman, mais pas dans les Etats où règne la mécréance. De plus la «paix » avec les non-musulmans, c’est-à-dire les mécréants, ne peut être qu’une trêve temporaire en particulier pendant une suspension du conflit; c’est le dar el-solh, la demeure de la trêve, qui ne peut pas dépasser dix ans mais peut être reconduite plusieurs fois.

 

Depuis la petite enfance, on enseigne aux musulmans que le seul dieu, soit allah, est sévère avec les croyants d’allah et vindicatif avec les incroyants à allah qui sont tous qualifiés de mécréants et d’impies. De plus, depuis XIV siècles, les musulmans prennent les juifs pour bouc émissaire et les tiennent comme responsables de leurs échecs et de leurs retards militaires, colonisateurs, économiques et technologiques. La philosophe d’origine allemande Hannah Arendt (1906-1975) a dit fort justement: « La théorie du bouc émissaire est une des nombreuses théories dont la raison d’être est la fuite devant les vrais problèmes ». Aux musulmans de prendre en main leurs vrais problèmes et de ficher la paix aux juifs et aux Israélites.

 

Au VII ème siècle, le messager d’allah Mahomet lui-même aurait confié à tous les musulmans la mission sacrée de combattre tous les non-musulmans jusqu’à la fin des temps et d’exterminer tous les juifs. Tout est la faute de l’autre, et l’autre le plus proche est le juif d’Israel puis le chrétien. Le mâle musulman est le produit de cet enseignement de l’islam, d’un enrégimentement obscurantiste et de comportements sociaux et légaux totalement différents des nôtres; depuis le VII ème siècle, l’homme musulman n’est pas dans le registre de la raison mais dans celui de la foi en une idéologie totalitaire et prosélytique. Il ne sait pas prendre des responsabilités personnelles, ni n’est capable de gérer la liberté, ni se sent responsable de ses erreurs, ces dernières deux attitudes plaisant aux politiciens occidentaux de gauche et aux angéliques.

 

Et que font nos dirigeants politiques suisses? Nos élus et dirigeants politiques comme Sommaruga, Berset, Levrat, Darbellay, etc, et tant de leurs collègues avocats ou syndicalistes ne connaissent pas réellement le monde des entreprises, n’ont jamais vraiment gagné leur vie comme Mitarbeiter dans une entreprise, ou créé une entreprise et des postes de travail. Ils ne jurent que par la sphère publique et plus de gouvernement, en créant des aménagements et des équipements publics, de surcroit centralisés au gouvernement fédéral, quand ce ne sont pas des dérangements, et en créant plus de fonctionnaires et davantage de bureaucratie, de centralisation et d’industrie du social pour, soit-disant, résoudre les difficultés. Ils feraient mieux d’écouter le troisième Président des Etats-Unis Thomas Jefferson (1743-1826) qui a dit: « Mes lectures de l'histoire me convainquent que les plus mauvais gouvernements sont le résultat de trop de gouvernement ». Ces élus ne favorisent pas la création d’entreprises qui créent des bénéfices et des postes de travail. Ils ont la perverse illusion que l’Etat va, comme soit-disant en France socialo-macronisée, créer des postes de travail. De plus en plus de projets gouvernementaux donnent l’illusion de créer des postes de travail pour certains. A cela s’ajoutent la création de plus de fonctionnaires et de travailleurs de l’industrie du social qui eux sont bien réels et coûtent. Il faut que quelqu’un paie pour cela et ce quelqu'un est le contribuable suisse. Si l’argent nécessaire est prélevé du marché obligataire, il ne vient pas directement des poches du contribuable d’aujourd’hui mais il lui sera confisqué demain. Un autre grave effet pervers est que cet argent soit détourné de dépenses à budgétiser pour d’autres tâches plus utiles de l’Etat, tout particulièrement la Formation, la Défense, les routes, les transports publiques, sans oublier l’AVS.

 

Vraisemblablement, ce ne sont pas des élus qui veulent faire consciemment et intentionnellement du mal aux citoyens. Comme les Bolchéviques, trop de nos dirigeants sont des carriéristes arrogants et présomptueux qui pensent savoir mieux que le peuple le Souverain ce qui est bon pour lui. Ils se refusent d’écouter ce peuple, veulent le dominer et faire carrière. Pour ces élus, faire de la politique consiste à être persuadés qu’ils ont raison, que les autres qu’ils n’écoutent pas ont tort et à mentir pour leur « bonne » cause tout en nous faisant la morale. Ainsi leur politique de grandeur et de décadence devient violente; ils refusent tout débat démocratique et partent en guerre pour manipuler et convaincre par les émotions, puis même menacent/terrorisent les citoyens de voter comme eux le veulent. Pour eux, ce qui est bon pour le peuple, c’est la fin du secret bancaire, imprimer des billets de banque, que l’Etat s’endette d’avantage que son PIB, que la densité de population augmente, que notre qualité de vie se détériore, être europhiles voir même eurolâtres, la soumission euro-atlantique aux juges-prêtres des USA et de l’UE et à l’islam-idéologie. Ces élus veulent la fin des Etats-nations occidentaux, surtout ceux qui comme la Suisse leur paraissent, bien à tort, trop petits pour résoudre eux-mêmes leurs problèmes, l’immigration galopante, envahissante, colonisatrice et militante, la fin de notre histoire, de nos vertus, de notre patriotisme, de notre culture chrétienne, des idées, et même la fin de la politique avec la fin du principe de subsidiarité, des référendums et des initiatives, cela avec un mépris effronté croissant pour les citoyens-contribuables. Beaucoup de ces dirigeants politiques, qui ne sont pas à l’écoute du Souverain, vénèrent la population non autochtone, méprisent leurs concitoyens, ont peur de ce qu’ils appellent populisme, diabolisent à la Staline ceux de droite en pratiquant leur chère reductio ad hitlerum, alors que ces élus patriotiques de droite écoutent tellement mieux les préoccupations des citoyens et agissent ou tentent d’agir en conséquence. Chez ces politiques eurolâtres, islamo-collabos et adeptes de la génuflexion et de l’augmentation de la population de notre petit pays exigu, ce cynisme n’est pas un défaut. C’est leur nature. Ils n’écoutent pas le peuple le Souverain, ne raisonnent plus, accomplissent et se soumettent à l’UE, aux USA d’Obama, des Clinton, de Carter et à l’islam-idéologie et surtout se préoccupent en priorité de leur carrière personnelle. Pour eux ce ne sont plus les idées, le Souverain le maître du pouvoir et l’identité nationale qui mènent la nation et changent le monde. Lorsqu’elles changent nos comportements, ce sont les lois du marché, la consommation, la mondialisation sauvage, le mariage pour tous, la centralisation entre leurs mains, les pressions impérialistes des USA et de son satellite qu’est devenue l’UE, sans oublier leur carrière personnelle. En fait, ils veulent placer la Suisse, notre neutralité, notre souveraineté et même l’Ukraine et les anciens pays de l’URSS, sous curatelle euro-atlantique de l’UE et des USA. Face aux euro-septiques, aux musulmans et aux terroristes de ces derniers, leurs comportements collabos voir soumis sont un scandale moral de trahison citoyenne, d’indifférence et de déni des menaces musulmanes et africaines militantistes, antidémocratiques, sexuelles et guerrières actuelles et futures.

 

La politique de l’UE refuse l’exclusion des autres, allant jusque à soutenir une idéologie non-occidentale, alors même que nombre d’États membres rêvent de mener de plus en plus des politiques dictées par la crainte d’un afflux de populations non européennes. En politique étrangère, l’UE adopte d’une part des idéaux politiques universalistes utopiques sans avoir les moyens de les imposer et, d’autre part une identité cosmopolite et consommatrice qui fait concurrence aux loyautés nationales des divers pays membres, comme l’ont compris beaucoup d’Anglais, d’Italiens et de citoyens clairvoyants des pays européens de l’ex-URSS. Même si l’UE réussit à réaliser son unité par un moyen ou par un autre, comment définira-t-elle son rôle mondial? Elle a le choix entre trois possibilités: privilégier le partenariat atlantique et sa soumission aux USA, adopter une position indépendante et neutre ou chercher une entente tacite avec une autre puissance que les USA ou un groupement de puissances extra-européennes. A voir ce qui se passe chez nos voisins français, belges et allemands, l’autre puissance serait la oumma ou fraternité musulmane supra-nationaliste.

 

La politique n’est ni un état ni le pouvoir de dirigeants arrivistes et carriéristes mais un service. Une réponse politique c’est suivre le chemin du peuple souverain et des intérêts vitaux de la nation, en remontant plus haut qu’à la question posée avec une vision à long terme, pas de chercher à faire carrière rapidement. La politique reste l’art de l’impossible. Quiconque souhaite des solutions alliant clarté, netteté, rapidité et facilité devrait se chercher une autre activité milicienne. Malheureusement aujourd’hui, pour trop de nos élus, être élu par le peuple souverain ce n’est pas être à son service et avoir une vision à long terme, c’est bien gagner sa vie, avoir rapidement une meilleure retraite que les électeurs, un bureau bien plus luxueux que le logis moyen de leurs électeurs, faire carrière et se targuer d’être devenu un noble et généreux politicien « professionnel » bien rémunéré, en trahissant les électeurs, voir même son parti et la Constitution, pour monter plus haut. Contrairement à Donald Trump, le politicien « professionnel » raconte et fait des promesses-pièges, dont il sait pertinemment qu’elles sont irréalisables. Ses discours électoralistes sont des souricières à électeurs. De tels dirigeants et gouvernants ignorent la notion d’allégeance au Souverain. Pourquoi il y a-t-il encore des citoyens suisses qui votent pour de tels élus arrivistes et corrompus?

 

Ces dirigeants politiques ignorent tout de l’histoire. Pourtant pour aimer son pays, il faut ressentir qu’il a un passé, une culture, une identité nationale, une politique indépendante, ses frontières, ses juges et qu’il ne se soumet pas aux lois d’autrui mais seulement aux lois acceptées par son peuple le Souverain.  La démocratie ne peut se concevoir que dans un espace délimité par des frontières et entre des citoyens qui partagent nombre de valeurs, de vertus, de références, d’intérêts matériels et moraux, d’histoire et de mythes communs. Dans une vraie démocratie, le Souverain, c’est-à-dire le peuple autochtone doit toujours demeurer libre de fixer pour lui-même les règles qui le régissent.

 

Ainsi ces élus et dirigeants politiques ignorent non seulement l’histoire de la colonisation musulmane mais aussi celle de l’esclavagisme musulman et africain et celle de la colonisation occidentale par le passé tant adulée par exemple par la gauche internationaliste, au point d’en abuser. C’est cette gauche qui a commencé la colonisation occidentale; elle voulait, déjà, apporter aux pays colonisés l’évangile des droits de l’homme. La vérité est que, contrairement aux Occidentaux de l’époque coloniale, les Arabes musulmans ne conquirent pas l’Égypte, l’Espagne, l’Indonésie et les pays Balkans pour découvrir des choses qu’ils ne connaissaient pas. Les colonisateurs impérialistes européens, eux, colonisèrent avec des géographes, des scientifiques, des anthropologues, des biologistes, des géologues, etc, pour obtenir de nouvelles connaissances, pour apporter leur civilisation et pour mettre en valeur de nouveaux territoires. Le grand socialiste français Léon Blum déclara en 1925: "Nous admettons le droit et même le devoir des races supérieures d'attirer à elles celles qui ne sont pas parvenues au même degré de culture et de les appeler aux progrès réalisés grâce aux efforts de la science et de l’industrie »... « Nous avons trop d'amour pour notre pays pour désavouer l'expansion de la pensée, de la civilisation française ». Pour la gauche de l’époque il s’agissait de les coloniser en allant s’ingérer chez eux, pour la gauche d’aujourd’hui, laquelle a une relation incestueuse avec l’islam, il s’agit de les attirer chez nous pour nous coloniser et qu’ils s’ingèrent chez nous. Où est le progrès?

 

Le socialiste français colonisateur-conquérant d’hier est devenu le conquis-colonisé par l’islam d’aujourd’hui; quand il se réveillera enfin pour défendre sa liberté, il deviendra le conquérant de demain dans la guerre de plus de XIV siècles qui oppose deux antagonistes irréductibles: notre civilisation et notre culture occidentales et l’islam-idéologie de Mahomet et des califes après lui. Qui n’avance pas recule, dit la sagesse populaire; qui ne conquiert plus est conquis à son tour. L’Europe de l’Ouest  abandonna à l’islam l’Europe orientale, abandonna presque toute l’Europe aux nazis, puis après la Seconde Guerre mondiale, elle livra l’Europe au communisme et aujourd’hui cette Europe de l’Ouest se laisse lâchement coloniser par les musulmans, leur islam-idéologie et par des descendants d’anciens colonisés. Nos élus qui renient les tensions et la guerre intérieure menée par l’islam, laquelle se généralise à grands pas et avec de plus en plus de violence, renient leurs responsabilités d’hommes et de femmes d’État. Ils sont coupables de déloyauté et de trahison.

 

Nous vous conquérons pour votre bien et la paix, disaient les Perses, etc, puis les socialistes français, les nazis, les communistes, etc, et aujourd’hui les musulmans. Leurs dirigeants à tous disaient vouloir être aimés des peuples soumis et que ces peuples soient heureux d’être colonisés. Tous les colonisateurs et adeptes de l’ingérence en pays étrangers restent convaincus qu’ils apportent et propagent la culture supérieure et que les conquis et colonisés bénéficient plus encore que les conquérants. Avec le temps, comme en France en 39-45 et aujourd’hui, les collabos avec l’ennemi puis les conquis cessent de voir dans le nouvel empire un système d’occupation étranger; finalement hypocritement leurs conquérants disent voir dans leurs nouveaux sujets des égaux. Les autres sont en passe de devenir des leurs.

 

De nos jours encore, les empires justifient leurs actions bonnes ou meurtrières d’ingérence par la nécessité de propager une culture supérieure dont les conquis bénéficieraient plus encore que les conquérants. Encore au XXI ème siècle, tant d’Américains et d’Européens estiment que leurs gouvernements ont pour obligation morale et impératif guerrier d’apporter aux pays du Tiers Monde les avantages de leur modèle démocratique et la religion droits-de-l’hommiste. Beaucoup d’Américains restent convaincus que leur gouvernement a pour impératif moral d’apporter aux pays en voie de développement les avantages de la démocratie à l’américaine et des droits de l’homme, même si cela se fait avec des dizaines de milliers de forces spéciales, des drones de combat, des missiles de croisière et des F-18.

 

Pouvons-nous attendre d’être défendus par l’UE et/ou la gauche? L’UE s’oppose à ce que les Etats-nations et leurs citoyens pensent, décident, créent et innovent par eux-mêmes et décident de leurs lois. L’UE tue les souverainetés nationales, les métiers indépendants, tue le Souverain et la démocratie avec l’immigration extra-européenne et musulmane militante, tue le paysan avec la mondialisation des marchés, l’économie virtuelle et l’exploitation de la nature, tue par spoliation les déposants et la classe moyenne pour sauver les banques en difficultés et endetter l’Etat, tue l’artisan avec les délocalisations d’industries productrices vers les pays avec des coûts et des exigences salariaux et autres plus bas, tue l’innovation et le développement avec la délocalisation d’industries, tue la formation, le savoir-faire et l’innovation avec la désindustrialisation, tue le petit commerçant avec les centres d’achat-palais de la distribution au faible chiffre d’affaire au m2 (payés évidemment par leurs clients), tue les petites entreprises avec des exigences bureaucratiques et des charges sociales croissantes et compliquées, tue les pêcheurs avec les bateaux de pêcheurs industriels mondialistes et non-européens, etc, etc.

 

Mai 68 fut la naissance du boboïsme et des useful idiots, c’est-à-dire un amagalme entre l’idéologie de rejetons de bourgeois libéraux de droite et l’idéologie de bohèmes libertaires de gauche. Pour ces bourgeois libéraux et ces bohèmes de gauche, le péché, dès qu’il ne nuit pas trop aux autres devient une liberté à se faire plaisir; voilà comment le libéralisme à la Obama et à la Clinton s’oppose à notre culture judéo-chrétienne et devient libertaire.

 

Le mondialisme a fait suite à Mai 68. Le mondialisme est la nouvelle idéologie qui recycle l’internationalisme de la gauche et l’internationalisme de la droite des oligarques. Le système mondialiste actuel est une immoralité économique grave et inquiétante parce qu’il dissocie le capital et le travail productif. Le capital, trop souvent virtuel comme Fesse de plouc, prospère en bourse et pour quelques uns et le travail de tous les autres part dans des pays où la main d’oeuvre est meilleure marché et pas chouchoutée, quand ce n’est pas dans les mains d’immigrés économiques, de frontaliers en surnombre et d’ouvriers détachés. D’une part c’est un appauvrissement généralisé de la classe moyenne et d’autre part les pauvres des pays riches et des pays pauvres enrichissent les très riches des pays pauvres et des pays riches. Depuis la crise de 2008, les plus riches auraient accru leur fortune de +/- 40 % et la classe moyenne aurait perdu +/- 40 %. La soixantaine des plus riches du monde auraient autant de fortune que les 3,5 milliard les plus pauvres.

 

La gauche a livré les ouvriers et les petits employés à la mondialisation sauvage d’oligarques et prêche pour le multiculturalisme, ce mémorial UE consacré à la sépulture de l’identité nationale, de la citoyenneté, du patriotisme, de la souveraineté nationale, de la démocratie et consacré à la défense de l’islam-idéologie et des immigrants; malgré le fait que, vu les barbarismes impératifs contenus dans le coran et les textes « sacro-saints » de l’islam, l’oxymoron qu’est un islam modéré est absolument impossible. Pourquoi devons-nous croire que l'islam modéré n’existe pas? Tout simplement parce que le coran et d’autres textes rituels idéologiques musulmans, la suprématie islamique, l’attitude à l’égard des non-musulmans, la guerre contre les non-musulmans ou mécréants, la kéfirophobie génocidaire, la vengeance musulmane, les représailles musulmanes, les femmes-meubles, les infidèles-mécréants chrétiens et juifs et ce qu’est un musulman pratiquant tatillon qui doit imiter fidèlement son messager Mahomet ne le permettent pas, cela depuis XIV  siècles.

 

Pour détruire notre pays, la gauche détruit nos racines une après l’autre. La gauche est devenue islamo-collabo, islamo-gauchiste, eurolâtre, mondialiste-internationaliste, multiculturaliste, parfois altermondialiste et ethno-masochiste. Les immigrés militants de repeuplement missionnés pour nous coloniser sont leur nouveau peuple d’électeurs. Les immigrants musulmans et extra-européens sont leur nouveau Lumpenproletariat ou prolétaires de tous les pays comme le disait Karl Marx. Ce Karl Marx qui pourtant, sur plus de 1500 pages, s’est appliqué à distinguer le travail productif de celui qui ne l’est pas. Marx, du côté du travail improductif, recense maîtresses, musiciens, écuyers, clowns, jongleurs, etc, et aussi policiers, petits employés, avocats et artistes mal payés. Une raison bien marxiste de ne choisir, parmi les étrangers que nous accueillons que ceux qui sont le plus facilement assimilables, productifs et qui apportent à nos sociétés européennes. Malheureusement le multiculturalisme débridé régnant en UE méprise toute assimilation d’étrangers à nos Etats-nations.

 

Suisses, défendons la liberté d’expression, la liberté de conscience, l'égalité des droits de tous devant la loi, les droits individuels, la Formation, la Défense, la souveraineté nationale, notre autodétermination et la démocratie directe. L'affirmation selon laquelle cette défense serait de la haine n’est qu’une manipulation des médias politiquement corrects et islamiquement corrects, d’ONG et d’élus bruxellisés et carrièristes. La liberté d'expression est l'âme de notre nation et le fondement de toutes nos autres libertés. Si nous ne pouvons pas parler contre l’injustice, le mal et des idéologies néfastes de soumission et de déresponsabilisation, les forces du mal l'emporteront. La vérité n'est jamais odieuse ou obscène. Ce qui est haineux, obscène et menaçant, c'est Fesse de plouc et les médias de gauche qui veulent faire taire tous ceux qui parlent honnêtement de la gauche et de l’islam-idéologie lesquels motivent toutes ces attaques dont nous sommes de plus en plus les victimes. La liberté d’expression est le fondement d'une société libre. Sans cela, tandis que ses adversaires sont réduits au silence, un tyran peut faire des ravages sans aucune opposition. La liberté d’expression ne s'applique pas seulement si vous aimez le message; ça s'applique à tout le monde, à tous les messages. La vraie question n'est pas de savoir si notre liberté est menacée aux États-Unis et en UE, mais plutôt si elle est irrémédiablement perdue. Pouvons-nous la récupérer? Pourrons-nous la récupérer sans une nouvelle guerre généralisée?

 

Dominique Schwander, octobre 2018

6 commentaires

  1. Posté par Dominique Schwander le

    @ JeanDa. Je vous comprends! Voici un résumé pour vous qui déplaira aux angéliques, aux idiots utiles et à l’übergauche.

    N’est-ce pas une honte que, quotidiennement, des barbaries commises par des immigrants se déroulent, sous nos yeux, en Europe judéo-chrétienne et greco-romaine? Réveillez-vous les Suisses. Soit par le vote nous récupérons notre souveraineté nationale, notre préférence nationale et notre préférence civilisationnelle, soit nous serons soumis aux juges étrangers, à l’UE et à l’islam-idéologie. En élisant des immigrationnistes-multiculturalistes qui aiment les Autres et méprisent leurs concitoyens-électeurs, nous avons laissé le multiconflictuel, la barbarie et la « religion » dtroit-de-l’hommiste  nous envahir et, à l’image de la France voisine, avons creusé la tombe de notre Etat-nation et surtout celle de nos enfants, ce qui est irresponsable et tragique. Il nous faut élire de vrais populistes patriotes purs et durs, capables de résister tant aux idéologies néfastes tout particulièrement celles de l’UE et de l’islam qu’à l’invasion économique militante extra-européenne. Il faut en finir avec l’idéalisme à tout vent, le sentiment dans la politique, les mesures homéopathiques à la Sommaruga, à la Berset, aux bruxellisés et l’expérimentation sociale démesurée et déstabilisatrice de l’immigration à la Merkel, faire enfin preuve de réalisme et prendre rapidement les mesures suivantes:

    Restauration de l’autorité perdue des policiers, des enseignants et des autorités tels les pompiers, les médecins et autres collaborateurs de la santé.
    Armer chaque policier de pistolet mitrailleur, de pistolet électrique et d’une caméra.
    Fermeture des frontières.
    Remise en fonction des postes sanitaires aux frontières.
    Internement sans sortie de tout réfugié jusqu’à ce que preuve soit faite concernant la vérité et la justification de sa demande et qu’il ait fait preuve de sa volonté et de ses capacités à s’assimiler.
    Suppression de la double nationalité pour tout extra-européen.
    Suspension du regroupement familial
    Suspension des naturalisations jusqu’à ce que l’ordre soit rétabli et toutes les mesures prises efficaces.
    Révision de toutes les naturalisations accordées à des extra-européens et les mariages entre eux les 10 dernières années.
    Emprisonnement puis expulsion de tout immigrant clandestin/illégal.
    Interdiction de régulariser tout immigrant illégal/clandestin.
    Les Suisses d’abord, les autres ensuite: réservation de toutes les prestations sociales aux seuls Suisses.
    Tolérance zéro à l’égard de toute infraction.
    Responsabilité pénale abaissée: un mineur même que de douze ans qui fait un crime d’adulte doit être condamné comme un adulte.
    Suppression de toutes allocations et subsides aux familles de mineurs délinquants.
    Suppression du social et de tous subsides ou allocations aux adultes délinquants et à leurs complices.
    Expulsion de tout adulte délinquant et interdiction de revenir dans notre pays.

    Cependant comme je l’ai dit ailleurs: seuls les fainéants sont victimes des fake news et manipulés: si on veut savoir, il suffit de faire l’effort: chercher, lire par exemple Les Observateurs, se documenter, réfléchir, raisonner, comparer et analyser. C’est pourquoi j’encourage la lecture!

  2. Posté par JeanDa le

    Désolé Monsieur Schwander, je n’ai pas en le courage de tout lire votre article, bien que généralement j’apprécie vos commentaires.
    Si vous vouliez faire un article percutant, c’est raté. Il arrive que la forme (et la longueur) dissuade le lecteur moyen, en ce qui me concerne c’est réussi. Désolé.

  3. Posté par Bussy le

    Et oui, la plupart des gens n’ont aucune idée de ce qui se passe et de ce qui est en train de nous tomber dessus?
    Et oui, ils ne savent même pas qu’ils sont en train d’être manipulés par les Soros et leurs idiots utiles.
    Ils manquent peut-être un peu de perspicacité car il suffit d’ouvrir les yeux en se baladant dans les rue pour constater certaines choses….
    Donc le salut est dans l’information de ces gens manipulés et en fait la question est : comment faire pour que tous les Européens consultent les sites de ré-information ?

  4. Posté par Antoine le

    @ M. D. Schwander : MERCI pour cette excellente analyse très détaillée et surtout très bien structurée !
    C’est un argumentaire sans faille pour contrer les opposants à l’initiative UDC !
    Je voterai OUI pour l’autodétermination.
    J’en parle avec ma famille, mes amis et mes voisins. Cela me permettra d’en convaincre quelques uns.

  5. Posté par Nicolas le

    Magnifique contribution, merci.

  6. Posté par Migrant le

    Excuse-moi mais même si pour certains d’entre vous les suisses , l’article est excellent , toutefois la situation n’est pas tellement ainsi. Ou sont les formations professionnelles, ou sont les logements ou sont les mesures sociales? Je n’ai pas vu , en Vaud rien de ça, peut-être en etant un male blanc et venu d’ailleurs. J’ai accepté de faire les boulots sales mais je n’ai pas vu d’appréciation pour la qualité du travail. Une fois arrivé citoyen les autorités au lieu de m’aider ils m’ont invité de quitter la Suisse. Je suis d’accord je ne représentais pas un intérêt particulier pour l’économie suisse mais quand-même. C’est tout quoi , je suis d’accord que vous protégez votre pays , c’est plus que normal, mais toutefois en qualité de chrétiens ( comme vous vous déclarez la plupart d’entre vous) ne profitez plus des saisonniers et surtout des ressources naturelles bonne marche d’ailleurs. Vous avez besoin papier toilette? Coupez vos forêts à vous!! Faut plus profiter de la corruption d’ailleurs pour vous assurez vos « hauts standard » . Sinon j’ai pas de rancune et je trouve votre volonté d’autodétermination très rationnelle. Cela devrait être partout dans le monde. Bonne chance.

Et vous, qu'en pensez vous ?

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