Islam de France – Gouverner par la terreur

Michel Garroté
Politologue, blogueur
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Michel Garroté -- Sur Le Salon Beige (cf. sources en bas de page), Michel Janva signale qu'en France -- où le salafisme est aujourd’hui en position d’hégémonie et où 28% des musulmans sont proches d’une façon ou d’une autre d’un système de valeurs opposé aux valeurs de la République -- on note un glissement de la communauté au communautarisme, ainsi que la "halalisation" de la vie quotidienne. Les idéologies frériste et salafiste -- en France en particulier et en Europe en général -- ces idéologies partagent des symboles communs, comme la question halal ou celle du voile.
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Ces particularismes du quotidien sont des marqueurs de distinction qui peuvent servir de leviers identitaires, car ils impliquent un surcroit de visibilité. Ce sont donc plus que des obligations ou des pratiques religieuses, comme elles sont fréquemment présentées, puisqu’elles recouvrent à la fois des intérêts religieux, communautaires, et, parfois, économiques.
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Concernant l'organisation de l’islam de France, l'abbé Michel Viot revient sur le projet gouvernemental (extraits adaptés ; cf. sources en bas de page) : Puisqu'on agite sous nos yeux pour nous imposer une organisation de l’islam de France et recommencer une campagne pro avortement, je voudrais vous inviter à une réflexion sur cette méthode de gouvernement par la terreur dont le raffinement subtil est français.
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Si elle avait pu donner lieu à un brevet, la France serait riche de droits d’auteur, tant elle a été copiée, et même « améliorée », ce qui prouve au passage les qualités certaines de son système. Par pédagogie, pour mieux découvrir la puissance de la terreur, faisons un moment son éloge, découvrons sa séduction. Au point où nous en sommes en France, c’est le seul moyen de faire comprendre que le diable est dangereux, tout simplement parce que sa beauté existe.
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La première chose à comprendre en ce qui concerne la terreur noble, la bonne, celle que nous avons inventée, c’est qu’elle vise un bien universel capable d’être instauré partout sur notre terre. L’Église ne parlait et ne parle toujours que de bien commun, pour sa doctrine sociale, ce qui ne peut faire venir à l’esprit que le spectre de la médiocre charité chrétienne. Les maîtres à penser de notre terreur française visent le Bien absolu pour toute l’humanité, sous-entendez pour ceux qui mériteront d’y participer en portant le titre de « vrais hommes », j’y reviendrai, et cela pour la vie en ce monde, voire l’au-delà pour ceux qui y croient d’une manière conforme au pacte de progrès social.
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Revenons à la réforme « islam de France » et aux questions gênantes qu’elle suscite. Celle de l’apprentissage de l’arabe à l’école publique, présenté comme remède à l’islamisme. Pourquoi, comme le suggère une petite affiche humoristique, les gardiens du temple de la Laïcité ne proposent-ils pas alors l’apprentissage généralisé du latin pour combattre l’intégrisme catholique ? Et que dire de la question financière ? La fameuse taxe sur le halal ? Nous touchons là à une nébuleuse. Certes, on connait les trois mosquées qui se partagent l’attribution du label en France mais la distinction réelle entre ce qui est « halal » et ce qui ne l’est point est pour le moins opaque au niveau des ventes.
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En clair, pour ce qui relève de la viande, on vend comme non halal ce qui a été abattu comme tel et taxé en conséquence. Et pour le reste, hors viandes – cosmétiques, produits agroalimentaires, etc. – on voit se multiplier une labellisation très discrète, nourrissant le communautarisme, et qui, là encore n’est pas clairement affichée. Les labels « non halal » ou « filière traditionnelle » étant quant à eux interdits au nom de la lutte contre les discriminations. Ainsi, des non-musulmans subventionnent-ils le culte musulman en achetant viande et produits de grande consommation sans le savoir. Ce flou pourrait certes être levé. Non seulement il s’agit d’un préalable indispensable à toute réforme « islam de France », mais également d’une mesure de simple bon sens. Mais comme le flou et le doute profitent à beaucoup, on n’entend guère de voix s’élever en ce sens.
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Ce qui est arrivé au docteur Bertrand de Rochambeau est sur ce sujet pour le moins inquiétant. Suite à cette interview, il y eut une avalanche de commentaires instituant une véritable terreur intellectuelle et aboutissant au lynchage médiatique de ce médecin courageux. Pourquoi cette fureur ? Tout simplement, parce qu’en vérité, avec le recul, on se rend compte des dégâts psychologiques créés par l’avortement banalisé et utilisé comme moyen de contraception, le tout en opposition absolue avec les intentions de la loi Veil. Des médecins, de plus en plus nombreux, refusent donc de pratiquer cet acte homicide, car c’est bien le nom qu’il faut lui donner. La manière dont deux ministres du gouvernement sont intervenus dans cette affaire m’a paru exagérée.
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« Nous ne devons laisser passer aucune attaque, d’où qu’elle vienne, contre le droit des femmes à accéder librement à l’avortement ». Un simple rappel de l’existence de la loi permettant cet acte aurait été suffisant. Mais l’utilisation d’un pareil vocabulaire est hautement critiquable. On fait un procès d’intention au docteur de Rochambeau, qui n’a formulé qu’une opinion personnelle et justifié son refus de pratiquer un avortement en expliquant que pareil acte ôtait la vie. On peut bien évidemment en déduire qu’il ne considère pas l’avortement comme faisant partie des droits de la femme. Mais je rappelle alors à Mesdames les ministres qu’il n’est pas le seul à penser ainsi. C’est en effet la position de l’Église catholique. Je rappelle le texte du code de droit canon de 1983 article 1398 : « Qui procure un avortement, si l’effet s’en suit, encoure l’excommunication latae sententiae ».
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La jurisprudence, comme l’encyclique de Jean Paul II Evangelium vitae (25 mars 1995), rendent justiciables de cette peine non seulement la personne qui avorte (devant avoir au moins seize ans), mais encore ceux qui l’aident, famille et corps médical. Cette peine « d’excommunication automatique » dès que l’acte est commis prive de tous les sacrements, sauf bien sûr de la pénitence qui permet aux coupables de ces homicides d’enfants de demander pardon à Dieu et de recevoir l’absolution si le repentir est réel. À mes yeux, et je ne pense pas être le seul catholique à penser ainsi, elle prive aussi de l’honneur des funérailles chrétiennes, le prêtre ne pouvant dire les prières des morts qu’en privé. La porte de nos églises devrait rester fermée pour les cercueils de celles qui, ayant avorté, n’ont donné aucun signe de repentir.
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De même pour ceux de leurs complices. Pendant l’année 2016, année de la miséricorde, le Pape François avait donné pouvoir à tous les prêtres d’absoudre une telle faute. Je crois que cela a été l’occasion de constater pour beaucoup de prêtres, moi-même en particulier, l’étendue des dégâts psychologiques, pour ne parler que d’eux, provoqués par l’avortement. Si Madame le Ministre de la santé en avait la plus petite idée, elle n’aurait certainement pas emboîté aussi vite le pas et le style de sa collègue, au nom de la médecine qu’elle exerce elle aussi à un haut niveau, comme l’est également celui des frais de santé (ceux de l’avortement lui-même et de ses conséquences). 240'000 avortements par an, cela se paie très cher et pas qu’en euros. Et le terrorisme intellectuel légalisé met tous les Français à contribution forcée. Où est la liberté des consciences ?
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Quand deux ministres d’un État comme la France font si peu de cas de cette liberté, comment ce même État peut-il espérer qu’on lui fasse confiance pour organiser la pratique d’un culte et « assurer la liberté des consciences » garantie par la loi de 1905 ? Certes, les musulmans n’ont pas des règles identiques à celles des catholiques sur l’IVG. Ils ne considèrent pas pour autant qu’on se débarrasse d’un fœtus comme d’une verrue. Même chose pour les Juifs et pour les chrétiens non-catholiques. Ce qui vient de se passer autour des propos du docteur de Rochambeau s’ajoute à la longue liste des immoralités qui nourrissent la propagande islamique contre l’Occident, et dont la loi Taubira a constitué un des points d’orgue. Que ces réactions contre notre actuelle civilisation soient sincères ou teintées d’hypocrisie n’a strictement aucune importance. Quand deux formes de terreur s’affrontent, c’est la plus forte qui l’emporte, et la vérité ne compte pas.
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Pour que cette dernière recouvre ses droits, il faut exclure la terreur et revenir au moins à la Loi naturelle qui seule peut ramener à la Loi de Dieu. La raison peut alors reprendre ses droits, et par elle Dieu. Le signe en sera que jamais une femme enceinte ne pourra dire que ce qu’elle porte n’est pas la vie ou encore qu’une mère ne revendiquera le droit de pouvoir tuer son enfant. Et il ira de soi qu’un Dieu bon et miséricordieux ne peut jamais demander qu’on assassine en son Nom. Que l’État comprenne alors que la promotion et la défense de telles idées relèvent de sa mission concernant l’ordre public, et que ce n’est pas déroger à sa sacro-sainte laïcité que de les mettre en œuvre – et encore moins de les laisser s’exprimer. Il est encore temps de changer de cap, de mettre fin à l’éloge de la terreur, forme d’éloge d’une folie qui nous coûtera de plus en plus cher, jusqu’à nous détruire complètement. Car une fois dépassé un certain stade, la pente ne se remonte plus, la terreur devient sa propre raison et ne s’éteint qu’une fois que tout est consumé.
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Je pense, et je crois ne pas être le seul, poursuit l'abbé Michel Viot, que l’État va s’appuyer sur les idées développées par Monsieur Hakim El Karoui dans son livre "L’islam, une religion française" (Editions Gallimard-Le Débat, décembre 2017). Ce livre est important (il a été précédé par une étude publiée par l’Institut Montaigne), parce qu’il est fort intelligemment présenté et aborde pratiquement tous les points difficiles de l’entreprise. Mais des flous et des obscurités demeurent, et même ce qui peut apparaître comme des dissimulations.
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Pourquoi, par exemple, laisser entendre que ce serait la seule lutte contre l’islamisme, à partir de 2015, qui aurait motivé son engagement dans la cité comme musulman alors que Monsieur El Karoui dirigeait dès 2010-11 -- et c’était parfaitement son droit -- un établissement musulman culturel et cultuel (l’ICI de Paris). S’agissait-il alors de lutter contre l’islamisme ? C’est certes à la limite du procès d’intention fait à l’auteur ; je l’assume parce que je crois simplement que ce qu’il propose peut avoir, entre autres, de très graves conséquences sur la paix publique. Pire, il est permis de se poser la question, à la lecture de son livre, si cette mise en place d’un islam de France ne va pas en fait consister en une vaste entreprise d’islamisation de la France à fonds publics.
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L’esprit critique n’est point incompatible avec celui de foi dans la tradition catholique. Nous avons donc des questions précises à poser, tant à partir de textes religieux que de faits historiques incontestables. Ce qui se produit par exemple quand l’islam rencontre la modernité. Les siècles qui précèdent le nôtre sont riches d’exemples à ce sujet. Ils seront évoqués au cours de cette émission, avec d’autres considérations, tirées du livre de Monsieur El Karoui que nous commenterons. Je me permets de rappeler à ce propos qu’Odon Lafontaine et moi-même avons écrit "La laïcité, mère porteuse de l’islam ?" (éditions Saint Léger - Les Unpertinents) qui traite ce sujet au fond, conclut l'abbé Michel Viot (extraits adaptés ; cf. sources en bas de page).
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Adaptation de Michel Garroté pour LesObservateurs.ch, 5.10.2018
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Sources :
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https://www.lesalonbeige.fr/la-fabrique-de-lislamisme-lislam/
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https://www.lesalonbeige.fr/cette-methode-de-gouvernement-par-la-terreur/
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https://michelviot.wordpress.com/2018/08/25/islam-de-france/
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2 commentaires

  1. Posté par miranda le

    @ Maury
    Ce ne sont pas n’importe quels dirigeants dont il s’agit, mais de la nébuleuse gauchiste libérale- mondialiste qui a cédé à l’appel d’un nouvel ordre mondial ou gouvernance mondiale. Je n’ai pas le sentiment que la droite « traditionnelle  » pourrait céder si facilement à cet appel. Disons qu’elle y est contrainte.
    En ce qui concerne la pseudo soumission de nos dirigeants à l’ISLAM, elle n’est que temporaire en raison des besoins financiers dans lesquels cette gauche libérale se trouve. Le temps du pétrole et des pétrodollars cessera un jour et ce jour là, se fera sous nos yeux une volte-face de cette gauche. ( en imaginant qu’elle ait gardé le pouvoir jusque là).

    Mais en attendant ce jour, une ou deux générations auront fait les frais de cette « coopération intéressée » avec l’Islam et auront peut-être perdu leur identité en se convertissant pour préserver leur sécurité et celle de leurs enfants. Ils ne seront plus récupérables tant cette religion a de capacités de « fascination ».

    Mais aujourd’hui tout le monde se demande pourquoi l’on veut notre anéantissement. Comme disait quelqu’un de trop connu (Aldous Huxley ) « il n’y a pas une seule raison à la guerre ».

    Nous sommes devenus gênants pour nos dirigeants parce que nous avons acquis une conscience saine de nos droits humains, alors que presque toutes les populations sur terre « ont toujours eu moins de droits que nous ». Ont-elles été moins combatives que nous? Ou ont-elles dû affronter des tyrans trop cruels?

    Nous sommes un monde « en concurrence » avec d’autres mondes exploiteurs des hommes. Ce qui produit forcément une concurrence « déloyale ».

    Pour nous faire descendre brutalement de PLUSIEURS NIVEAUX économiques et juridiques, nos dirigeants gauchistes libéraux ne trouvent pas d’autres moyens que celui de faire venir des êtres qui ont un niveau économique et un niveau de conscience du droit humain PLUS BAS QUE LE NOTRE.

    A cela s’ajoute la lutte impitoyable que mène l’Amérique face à nous et à d’autres concurrents qui pourraient la gêner dans sa volonté de rester « LA PUISSANCE ».

    Pour parvenir à nous faire « accepter » notre descente économico-juridique , qui n’est pas faisable d’un coup de baguette magique, nos dirigeants nous ont fait entrer en « CLIMAT DE DIVERSION ».

    DIVERSION PAR L’ACCABLEMENT.
    – Car c’est accablant de voir arriver des populations qui n’auront pas de travail et qui en plus vivront à nos dépens par l’aide sociale. L’ONU préconise 13.5 millions/an en Europe + regroupement familial (10 personnes autorisées à venir, minimum) donc 135 millions/an. A ce rythme là, l’EUROPE SERA MORTE.
    – C’est accablant d’assister à l’horreur des attentats.
    – C’est accablant d’apprendre que se produisent en France 1000 agressions par jour dont les auteurs subissent des peines légères.
    – C’est accablant de voir que les journaux qui nous offrent une part de vérité sont en danger au quotidien.
    – c’est accablant d’apprendre enfin que NOS NATIONS n’existeront plus dans cette EUROPE et laisseront la place aux Euro-régions beaucoup plus fragiles face à la puissante classe dirigeante européenne future. (euro-régions qui confirment le procédé : diviser pour régner)

    LA DIVERSION PAR L’ACCABLEMENT peut toutefois cesser, du moins en Europe, si nous osons ouvrir les yeux et décidons enfin d’élire des PARTIS PATRIOTES .

    LE DERNIER ACCABLEMENT
    Ils l’ont déjà exploité, c’est la guerre.
    Préparer les esprits à ne pas la faire. Tels ces soldats agissant derrière des écrans d’ordinateurs qui commandent des drones larguant des bombes à des milliers de kms de leur lieu d’opération.. Préparer les esprits » militaires » à ne pas la faire sera le plus dur des combats. C’est comme demander à des soldats de la ruche de se transformer en abeilles productrices de miel. Parce que ces êtres là ne sont plus eux-mêmes, mais SE SONT IDENTIFIES à leur rôle. Et l’armée fonctionne comme une puissante secte : elle a formaté ces soldats de façon à ce qu’ils lui soient « sentimentalement » extrêmement dévoués.

    LES PROCHAINES ELECTIONS.
    Il existe une catégorie sociale qui ne s’intéresse pas aux médias du WEB, qui aime rester dans sa zone de confort, qui aime à cultiver ses loisirs et qui préfère ne se poser aucune question sur la réalité d’aujourd’hui, PARCE QUE SA CONDITION N’EST PAS MENACEE (pour le moment).
    Cette catégorie dite BOBO, « MALADE DU TROP BIEN VIVRE  » peut se révéler DANGEREUSE aux prochaines élections. Et c’est cette catégorie là que l’on doit sans cesse, sans cesse, sans cesse, informer par n’importe quel moyen, surtout en déposant les textes essentiels qui pourraient l’amener à réfléchir, DANS SA BOITE AUX LETTRES. Ne surtout pas chercher à la convaincre verbalement, ce sera le rejet, la violence verbale, la condamnation. Il vaut mieux préserver notre moral.

    Bien sûr les financiers diront qu’ils vont nous apprendre à savoir voter, comme ils l’ont dit pour les Italiens. Mais nous avons le devoir de les « sortir de leur illusion de toute puissance ». Ce jeu n’a que trop duré.

  2. Posté par maury le

    On ne comprend pas pourquoi nos dirigeant veulent notre anéantissement , sachant que cette idéologie a déjà, et encore fait des millions de morts sur notre planète !!le contrat pétrole contre immigrés dure depuis 1985 :https://youtu.be/K5ZDF_sSl20 Alain Wagner nous explique dans quoi on s’est fourré !!!

Et vous, qu'en pensez vous ?

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