Nous utilisons des technologies telles que les cookies pour stocker et/ou accéder aux informations relatives aux appareils. Nous le faisons pour améliorer l’expérience de navigation et pour afficher des publicités (non-)personnalisées. Consentir à ces technologies nous autorisera à traiter des données telles que le comportement de navigation ou les ID uniques sur ce site. Le fait de ne pas consentir ou de retirer son consentement peut avoir un effet négatif sur certaines fonctonnalités et caractéristiques.
Le stockage ou l’accès technique est strictement nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de permettre l’utilisation d’un service spécifique explicitement demandé par l’abonné ou l’internaute, ou dans le seul but d’effectuer la transmission d’une communication sur un réseau de communications électroniques.
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de stocker des préférences qui ne sont pas demandées par l’abonné ou la personne utilisant le service.
Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement à des fins statistiques.
Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement dans des finalités statistiques anonymes. En l’absence d’une assignation à comparaître, d’une conformité volontaire de la part de votre fournisseur d’accès à internet ou d’enregistrements supplémentaires provenant d’une tierce partie, les informations stockées ou extraites à cette seule fin ne peuvent généralement pas être utilisées pour vous identifier.
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire pour créer des profils d’internautes afin d’envoyer des publicités, ou pour suivre l’internaute sur un site web ou sur plusieurs sites web ayant des finalités marketing similaires.
Y a pas de quoi s’extasier, le grafiti n’est que l’expression du vandalisme de rue initié dans les écoles aux mains des socialo.islamo-bolchévo-fascistes. Oui c’est un fascisme, « la rue est à moi » que ce soit comme cela ou avec des cyclistes sur les trottoirs alors qu’il y a des pistes à dispo dans les deux sens. Des crottes picturales imposées à la vue de tous, sous prétexte de culture. Des graphistes médiocres et en surnombre qui pensent ainsi trouver un emploi, alors qu’il s’agit de les immobiliser dans une illusion pour faire baisser les statistiques du chômage. Et généralement ils désignent des endroits où les drogues sont disponibles, celles qui justement les inspirent et les libèrent non pas pour l’art, mais pour la permissivité en toutes matières, même celle des violences sanglantes et mortelles.
Habile et magnifique : on peut effectivement y lire un U, mais dans cette première lettre trônent les armoiries de la Hongrie, alors plus de doute…
J’avais lu « Urban » et je ne comprenais pas !
Déjà, du très beau graffiti alors que certains sont d’une grande banalité. En plus, un bel hommage à Mr ORBAN tout de même. Ce Monsieur mérite bien cela.
Allez, les graffiteurs exprimez votre reconnaissance à Mr ORBAN, partout, partout, partout car de nombreux français ne savent pas « qui » est Mr ORBAN. Désolant, non?
A quand un « Lausanne Orban Festival » en complément du Lausanne Urban Festival ?