Migrants : les femmes souvent plus “radicales” que les hommes

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Une nouvelle étude tord le cou à l’idée préconçue selon laquelle les rangs populistes ne sont garnis que d’hommes blancs en colère.

Trop masculins, les extrêmes ? Contrairement aux idées reçues et selon une étude de la fondation Friedrich-Ebert, affiliée au centre gauche allemand, il semblerait que les femmes soient de plus en plus nombreuses à être attirées par les partis anti-immigration, rapporte le média Deutsche Welle.

« Plus exposées au risque de pauvreté »

L’étude, qui s’est penchée sur l’électorat qualifié de populiste d’Allemagne, de France, de Grèce, de Pologne, de Suède et de Hongrie, fait un constat surprenant : les femmes se montrent parfois plus « radicales » que les hommes. En Pologne, par exemple, lors des élections législatives de 2015, les femmes étaient plus nombreuses à voter pour le parti au pouvoir Droit et justice (PiS), caractérisé comme eurosceptique et populiste, que les hommes. Malgré les accusations selon lesquelles les partis populistes véhiculent une image rétrograde de la femme, cela n’a pas empêché 17% des habitantes d’ex-RDA de voter pour le parti AfD.

Selon Elisa Gutsche, qui a dirigé l’étude, de nombreux partis populistes chercheraient à recueillir les votes féminins en promettant de renforcer le système de protection sociale. « Les partis déclarent qu’ils augmenteront les allocations familiales et alloueront des allocations pour promouvoir la famille », explique-t-elle. Par exemple, l’AfD préconise une « culture d’accueil pour les enfants », en contraste avec la « culture d’accueil » du pays envers les migrants. Les femmes, « plus susceptibles d’avoir des emplois mal rémunérés » et donc « plus exposées au risque de pauvreté » selon Elisa Gutsche  se retrouveraient ainsi « en concurrence avec les migrants » et seraient donc plus enclines à se raccrocher à de « fortes croyances xénophobes ».

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4 commentaires

  1. Posté par miranda le

    PARCE QU’ELLES PORTENT AUSSI LEURS ENFANTS.
    Quand une femme donne naissance à un enfant, il devient le prolongement de sa chair et aussi une sorte de miracle. Comment après une telle expérience, quasi magique, une femme pourrait voir son enfant DEVALORISE parce que des êtres « non humains » ont décidé d’un programme
    mondialiste INHUMAIN ? Elles peuvent devenir des lionnes ou des louves et C’EST TANT MIEUX.
    Il y a une autre prise de conscience aussi chez elles : elles voient comment l’Islam considère la femme. De cela elles n’en veulent pas et cela pourrait bien créer la première guerre hommes-femmes de l’histoire. Et la réponse ne sera plus « masochisme soumis à la violence », mais VIOLENCE CONTRE VIOLENCE.

  2. Posté par Sylvie du Parvis le

    Enfin du réalisme ! c’est tout à fait en ce qui concerne toutes les femmes qui m’entourent, toutes celles de ma famille, ma fille, mes amies, la plupart de mes collègues. On en discute souvent ouvertement et considérons que le danger nous menace en premier quel que soit nos âges – contrairement à ce que l’on entend souvent puisqu’il y a beaucoup de femmes âgées agressées par ces types. Puisque les hommes suisses et européens se sentent moins menacés et ne le vivent pas au quotidien, il est clair que les décisions en matière de migrants trainent en longueur. Dans les commentaires dans les journaux, les types de gauche sont ceux qui les défendent le plus. Quand aux histoires de soit-disant concurrence, on s’en fiche royalement puisqu’il s’agit d’abord de notre sécurité et celle de nos enfants. P.S.: parlons aussi de l’agressivité verbale et psychologique de leurs femmes et filles, parce que ce n’est pas à occulter.

  3. Posté par Anna le

    Merci, ça fait plaisir à lire et ça change de ces malins qui accusent les femmes d’être pro-migrants à cause de Mmes Sommaruga ou Brunschwig-Graf. Les femmes ont beaucoup plus à perdre de l’islamisation de l’Europe, et celles qui ne l’ont pas encore compris doivent être informées. Je ne pense pas que ce soit une question de concurrence pour des emplois mal rémunérés, car la plupart de nos migrants, entre 80 et 90 % ne travaillent pas après 10 ans.

  4. Posté par Michel le

    Si les Européennes n’ont acquis que récemment le « droit de vote », elles ont toujours été au coeur de la société et ne comptaient pas « pour du beurre ».
    Depuis la nuit des temps, nos femmes ont été confrontées à des difficultés, des dangers et ont fait le nécessaire pour les surmonter : Elles savent que tout problème à sa solution .
    Alors, devant les dangers auxquels elles sont de plus en plus confrontées, port du voile, de la burqa , attaques, vols, viols, assassinats, elle sont simplement en train de reprendre en main leur destinée dont dépend celle de leurs enfants.
    Dans le cas de cette invasion migratoire organisée, elles constatent des faits – qui ne sont pas des « sentiments » ! – , que les partis immigrationnistes voulaient à tout prix leur cacher.
    Le risque est là : Tout hors-la-loi , tout soi-disant « migrant », qui veut mettre le pied en Europe. est à considérer comme un danger potentiel .
    Alors, fidèles au bon sens bi-millénaire, hérité de leurs aïeux, elles veulent que des moyens énergiques et efficaces soient pris pour que cesse cette invasion de sauvages.
    C’est cela être radical : Un problème, une solution !
    Il y a péril en la demeure Europe. Tous les Européens doivent se rassembler et exiger l’arrêt total de cette invasion, le retour de nos frontières intra-européennes pour l’arrêt des entrées et de la circulation des illégaux. Lorsque ce sera fait, il faudra effectuer un simple tri, qui est en règle/qui ne l’est pas, dans ce dernier cas, renvoi au pays. En même temps arrêt du regroupement familial, du tout « social gratuit », dénoncer également les « bien connus des services de police », et renvoyer toute la smala prise en défaut d’éducation, d’intégration, au bled, et mettre hors-la loi les ONG et autre « associations « négrières qui sévissent sur nos territoires et en mer.
    Défendre sa peu , celle de ses enfants, de ses concitoyens, ce n’est pas de la xénophobie, c’est du patriotisme, c’est un réflexe salutaire de survie, c’est une forme de résilience.

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