L’UE encore plus délirante : Finies les photos de classe – à cause d’une directive de l’Union européenne

Claude Haenggli
rédacteur/traducteur, Berne, Suisse

Finies les photos de classe - à cause d’une directive de l’Union européenne

La directive de l’Union européenne sur la protection des données n’a pas seulement provoqué des frais énormes et une perte de temps considérable aux entreprises et aux particuliers, voilà qu’elle étend ses effets nocifs à la vie privée. Finies les photos de classe que l’on regarde avec émotion des années plus tard et sur lesquelles on reconnaît ses petits camarades d’alors et se souvient peut-être de ses amours de jeunesse. Cela n’est plus possible, car l’école ou la garderie prennent trop de risques en publiant les visages des enfants, ainsi que l’école maternelle de Dormagen-Hackenbroich en Rhénanie du Nord-Westphalie l’a reconnu. Elle a par conséquent barbouillé de noir les visages des enfants, à l’exception de celui qui recevait l’album-souvenir.

http://www.pi-news.net/2018/08/eu-schwachsinn-kita-schwaerzt-gesichter-auf-gruppenfotos/

Traduction (Claude Haenggli) : La peur règne en Europe. Pas seulement celle des hordes violentes qu’on nous impose, mais aussi celle des législations toujours plus folles et des représailles qui nous menacent si nous ne les appliquons pas. Le curé de la paroisse Sainte-Catherine de Dormagen-Sud, à laquelle ce jardin d’enfants appartient, trouve la mesure correcte et déclare qu’on a ainsi trouvé « un chemin sûr » pour éviter des plaintes. Andreas Buchholz, avocat spécialisé dans les affaires de protection des données, dit lui aussi que le comportement de la garderie était entièrement justifié.

Claude Haenggli, 4.8.2018

 

5 commentaires

  1. Posté par Gérard Guichard le

    Ben, avant même la question actuelle des migrants, moi j’ai toutes mes photos de classe de la maternelle au bac et, ainsi, depuis la rentrée 1968, j’ai la preuve de l’évolution qui a déjà affecté les populations européennes. Et, à l’époque, ce n’était pas des migrants, c’était encore des blancs!…

  2. Posté par JeanPaul le

    Le temps de la désobéissance a sonné. J’espère que les écoles suisses ne suivront pas les directives de l’UE. Pourquoi masquer la réalité ? Cela signifie cacher le caca du chat sous le tapis (berbère?)

  3. Posté par Jacques Beckie le

    Évidemment lorsque les gens constateront sur les photos de classe qu’en fait il n’y a pratiquement que des colorés sur la photo ils ne pourront plus nier Le Remplacement En Marche (LREM, les républicains en marche). L’équipe de France en est une démonstration flagrante.

  4. Posté par pepiou le

    C’est une façon très hypocrite de ne pas laisser paraître le déséquilibre en défaveur des européens de souche face à une mixité raciale toujours plus visible et hégémonique. Ce que l’on ne nomme pas n’existe pas et ce que l’on ne voit pas n’a pas de réalité tangible ; c’est aussi simple que ça. On peut sans exagération, qualifier ce genre de déni de révisionnisme socioculturel et cela participe à une forme vicieusement élaborée de génocide des populations halogènes car le processus s’étalant sur un temps relativement long.

  5. Posté par Jacques Dubois le

    La vérité, c’est parce qu’il veulent pas qu’on voient comment le européens se font « grand-remplacer ». C’est la seule raison. La protection des données n’est qu’un prétexte bidon.

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