Nous l’avions écrit ici même : en dépénalisant le soutien actif aux clandestins, le Conseil constitutionnel a ouvert une boîte de Pandore, avec ce sophisme : « aider des clandestins, c’est un acte de solidarité. Un acte de solidarité ne peut être un délit. Donc toute action d’aide aux clandestins sans recherche d’enrichissement personnel est légale, de fait ». C’est ainsi que la mairie d’Argenton-sur-Creuse (la ville du socialiste hollandais Sapin), a organisé le 22 juillet, sous l’égide du parti communiste, le « parrainage républicain » de cinq familles de clandestins, des sans-papiers, des hommes et des femmes, voire des enfants, en situation irrégulière, venus du Mali, du Congo, d’Algérie…. Dix-huit personnes, au total… Ce n’est bien évidemment pas le parti communiste local qui pouvait souligner l’étrangeté d’une situation où les ressortissants d’anciens pays colonisés déferlent vers l’ancien pays colonisateur, indifférents aux « combats libérateurs » de leurs parents. Et paradoxe suprême : Le PC grand promoteur des luttes anticolonialistes et « libératrices » d’hier, parraine à présent la fuite des habitants de ces mêmes pays vers la France, et le grand remplacement qui en découle.
Ces clandestins « ont l’obligation de se cacher » expliquent les militants d’extrême gauche, réunis au sein de Réseau Education Sans Frontière. Et l’action des parrains consiste en fait à les aider à se cacher, à travailler au noir, et surtout à empêcher le retour au pays.
Le quotidien local, La Nouvelle République, raconte tout cela avec des trémolos dans le stylo, une grande complaisance, et une parfaite indifférence à l’opinion de ses lecteurs, monopole oblige.
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