Au nom de la liberté de la presse, nous devrions supprimer toutes les aides étatiques

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Le député Emmanuelle Ménard a été interrogé dans le dernier numéro de Politique Magazine, qui consacre un dossier à la loi contre les fausses nouvelles. Extrait :

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3 commentaires

  1. Posté par JeanDa le

    Le destin de tous ces « journaux » gôchiasse est le même : l’assèchement de leur bassin de lecteurs. De moins en moins de gens croient ce que l’on peut y lire. Encore une petite secousse et ils se désabonnent et le « journal » crève entourés des cris de désespoir des socialauds et autres corniauds, (qui par ailleurs sont de moins en moins nombreux …).
    Ce qu’il faut à tout prix éviter, c’est que les gouvernements ou soros-le-maléfique les perfusent pour retarder la fin tragique.

  2. Posté par miranda le

    Mais la presse est « aussi » aux mains de : mécènes, de banquiers, d’homme d’affaires, de grands entrepreneurs qui ont forcément des opinions qu’ils veulent évidemment introduire dans les articles de LEURS journaux.
    On aurait pu dire qu’il s’agissait d’une « semi-libération , mais hélas ça ne l’est pas du tout. Le journaliste et restera l’otage de ces gens là. Heureux ou malheureux.

    ALORS, la seule solution, encouragez la presse du WEB.

  3. Posté par Léo C le

    Si on arrêtait de perfuser de nombreux torchons, la plupart de gauche, nous serions débarrassés d’officines de propagandes toxiques.

    Ces aides instituées prouvent que leur lectorat se réduit logiquement comme peau de chagrin.

    La suppression de ces aides indues permettrait une sélection naturelle qui orienterait plus objectivement la diffusion de l’information.

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