« Le phénomène de l’esclavage sexuel est un drame » pour « toutes » les femmes candidates à l’émigration clandestine, affirme l’écrivaine ivoirienne Patricia Hourra, auteur de « Christelle ou le destin d’esclave sexuelle » (Éditions Matrice), dans un entretien avec l’AFP.
Q: Qu’est ce qui pousse des femmes à tenter l’aventure vers l’Europe?
R: La pauvreté prend de plus en plus un visage féminin. Les femmes sont contraintes de vivre de petites activités. Elles sont donc des proies faciles pour des personnes qui viennent vendre des rêves en disant qu’il est possible que leur situation change si elles effectuent le voyage vers l’Europe.
La femme a envie d’être autonome financièrement. N’étant pas suffisamment instruite, elle a du mal à accéder aux prêts bancaires et reste confinée aux activités informelles. A la moindre crise ou perturbation sociale, elle va tenter l’aventure.
Enfin, pour les femmes africaines en général et ivoiriennes en particulier, l’homme européen est l’époux idéal. On estime qu’il a des moyens financiers, qu’il est plus attentionné, qu’il ne la bat pas. Partant de ce fait, elles rêvent d’avoir un compagnon européen, et la meilleure chance pour cela est d’être sur le territoire européen.
Q: L’émigration clandestine peut-elle générer l’esclavage sexuel ou la prostitution?
R: L’émigration est motivée par une volonté de mieux-être. Malheureusement pour la femme, l’émigration clandestine n’est pas forcement source de joies. La plupart des femmes se retrouvent esclaves sexuelles dans des maisons closes ou chez des particuliers. Ce sont des femmes traumatisées, même quand elles arrivent à s’en sortir, ce sont des femmes déconstruites qui ne peuvent vraiment plus rien attendre de la vie.
La part des femmes dans l’émigration a augmenté de 25 à 30% cette dernière décennie. Le phénomène de l’esclavage sexuel est un drame pour toutes ces femmes candidates à l’émigration clandestine.
DONC, en Afrique il n’existe pas ce système bancaire qui existe en INDE et qui attribue des prêts aux plus démunis. Aider ces personnes à créer des petits commerces leur permettrait de vouloir rester à demeure. Maintenant il reste toute une éducation à faire envers l’homme africain, celui de modérer son machisme, sa toute puissance.
Bon, ce n’est pas aux banques puissantes et dominantes aux USA, en CHINE ou à la CITY qu ‘on peut demander de créer ce type de banque modeste pour les plus modestes.
Ces messieurs des grandes banques préfèrent que ces « modestes ou pauvres dames » viennent grossir le flot des migrants vers l’Europe.
Elle ne parle pas ici de son atout principal – comme on lui a appris que tout le monde il est bon et tout le monde il est gentil, il est souvent extrêmement naif, crédule et embobinable à merci – un pain béni pour les ressortissants d’une « culture » ou le mensonge, la manipulation et la triche se pratique aussi souvent que de respirer – et le résultat est ce qu’on voit de plus en plus dans nos rues et espaces publiques: des dociles petits hommes blancs rasant les murs, au démarche minable, triste et pitoyable, engloutis dans une tribu africaines qui l’entoure, tenant dans ses bras un petit métisse, le sésame qui a fait gagné le gros lot à toute la tribu…
A voir ce que j’ai vu , en général ces plans ne durent pas .
Vous datez, Madame l’écrivaine. L’Homme Blanc est à bannir, vous ne le saviez pas ? Aujourd’hui, il faut de la couleur et si possible quelque chose de différent d’un mâle, vous voyez ce que je veux dire ? Autre chose, les femmes adorent être battues, violées voire recevoir des pierres. Mais qu’écrivez-vous donc, Madame ? Et à qui ?
parce qu’elles s’imaginent qu’un européen aisé et bien installé va s’encombrer d’une huitre ????
A part les désespérés et encore …. ils ne sont pas si bête.
Le mariage blanc a encore de beaux jours devant lui. Ainsi, l’Europe pourra continuer à se métisser et à diluer sa civilisation dans le melting pot mondial.