Environ 400 migrants ont monté leurs tentes en plein centre-ville de Nantes, dans le square Jean-Baptiste-Daviais, à deux pas de la place du Commerce. La préfecture a mis en demeure le mairie de Nantes, Johanna Rolland, le 13 juillet de demander l'évacuation du camp, ce que celle-ci a refusé de faire.
Interviewée par France 3 Pays de la Loire, elle refuse de demander l'évacuation de ce camp, alertant aussi sur une «urgence humanitaire». Elle en a profité pour saluer le travail sur le terrain «absolument incroyable» des associations, ainsi que pour annoncer qu'à partir du 16 juillet, la ville de Nantes allait financer et co-organiser avec la Croix-Rouge et les associations locales l'organisation structurée d'une aide alimentaire. Celle-ci devrait coûter 600 000 euros. Même si elle rappelle que la loi ne donne pas aux mairies de compétences en matière d'hébergement d'urgence ou de régularisation, Johanna Rolland revendique : «Ici on a des convictions et on les assume.»
Emus par la situation des migrants, des associations et des particuliers sont venus leur apporter vêtements et nourriture. Cependant, la situation sanitaire s'aggrave. Certains évoquent «un petit Calais». Un seul point d'eau et un seul cabinet de toilettes de chantier est disponible sur les lieux. Des médias évoquent également la présence de rats, de poux et de punaises. Des cas de gale auraient également été détectés par les associations.
A l'inverse, le discours du maire ne semble ravir tous ses administrés, certains se montrant particulièrement mécontents de la situation. Ils s'expriment, notamment sur Twitter.
@Johanna_Rolland la maire de Nantes refuse de demander l'évacuation du square Daviais squatter par 150 migrants je croyais que le maire était la pour les Nantais il semblerait qu'elle soit pour la préférence étrangère ! #Nantespic.twitter.com/fzuMRisEBm
— Herouard Régis (@LeRedge76) 14 juillet 2018
Comme d'hab, on va attendre qu'il y ait 500 ou 1000 personnes, avant d'évacuer ! Pourquoi faire simple, quand on peut faire compliqué ? ?#Nantes
— SCHWARZER Brunhilde (@BruneSMH) 14 juillet 2018
Reste plus à la droit-de-lhommiste mondialisée maire de Nantes qu’à passer la nuit au square qu’elle refuse de faire évacuer pour témoigner affectivement de son soutien aux clandestins. https://t.co/xc4tsZtvzc
— rossel (@babonnay) 14 juillet 2018
"LUNDI la VILLE "DONC VOUS CONTRIBUABLE" vous allez financer et CO-ORGANISER avec la Croix Rouge et les ASSOCIATIONS LOCALES une aide alimentaire Nantes : la maire refuse d'évacuer un camp de migrants https://t.co/nE24FPz7tJ via @europe1
— Mimie (@Mimiechelle) 14 juillet 2018
Extrait de: Source et auteur
Ce maire est socialiste, n’est-ce pas ? Si tel est le cas, rien de surprenant, ces gens-là sont des ennemis de la Nation.
UNE maire qui refuse la mise en demeure de la préfecture, gaspille l’argent du contribuable en se lançant dans un pseudo-humanitaire-émotionnel et contre-productif, étale aux yeux de tous son immense égo…L’article oublie de préciser ce qui explique tout: une maire…socialiste!
Oui mais c’est une chance pour la france ! Imaginez vous ne savez pas ce qu’est une puce sur vous, des punaises dans votre lit. Près de 50 ans qu’on ne voyait plus ça en france.
Johanna Rolland (Nantes) ou Mme Hidalgo à Paris sont des maires irresponsables qui ne veulent surtout pas prendre LA décision de l’évacuation car cela risque de faire des mécontent dans leur électorat ! Ces politicards ne pensent qu’à se faire ré-élire !!
Donc chers con-tribuables, vous allez payer pour ces migrants et en plus vous aurez les maladies exotiques, les odeurs, les vols, les viols, les agressions, etc … (liste non exhaustive).
Remigration immédiate de tous les migrants illégaux !
Depuis une dizaine de jours, nous avons bien compris de quel bord est Mme le Maire.