Samedi soir, le Ghanéen avait détruit un bar et réclamé une centaine d'euros au propriétaire. Afin de ne pas payer une bière. Les carabiniers l'ont arrêté, mais le juge d'instruction l'a libéré le soir même. Charles Opoku Kwasi, né au Ghana il y a 31 ans, n'a pas de domicile fixe et vit en Italie sans autorisation de séjour depuis au moins quatre ans. À la fin de 2013, la demande de statut de réfugié présentée pour des raisons humanitaires a été rejetée. Il aurait dû être rapatrié, mais l'expulsion est restée lettre morte.
A partir de ce moment, les déplacements du Ghanéen sont traçables à travers une série d'arrestations. Arrêté en 2015 dans la ville d'Andria (région des Pouilles) pour vol. Coincé sur le Litorale Domitio pour bagarre l'année suivante. Arrêté à nouveau dans le hameau de Pescopagano samedi dernier. Et remis en liberté. Il y a deux nuits, il a encore perdu le contrôle.
L'horreur s'est déroulée à Castel Volturno. Après avoir été arrêté pour la énième fois, le migrant, a été transféré au service psychiatrique de l'hôpital de Sessa Aurunca. Là-bas, tard dans la nuit, il est devenu fou et s'est déchaîné sur Luca Toscano, un patient de septante-sept ans, le massacrant à coups de poings au visage jusqu'à lui prendre la vie.
Les infirmiers (3 femmes et un homme) l'ont vu se précipiter vers le retraité, lançant une rafale infinie de coups de poing. Ils ont essayé d'intervenir. Mais c'était inutile. Le Ghanéen a achevé son oeuvre dans un petit couloir adjacent à la salle. Là, il s'est barricadé avec le corps sans vie de Luca, tandis que les dix patients présents dans le service et les infirmiers s'enfermaient terrifiés dans l'une des chambres. Puis les carabiniers sont arrivés. Il y eut encore des cris et des menaces.
Encore une "autre ressource" (Nd Christian Hofer : La propagande de gauche en Italie prétend que les migrants sont une ressource en terme économique et social) de la politicienne de gauche Laura Boldrini qui a fait entrer la peur et la mort dans notre pays.
Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch
ben oui ,il faut condamner ceux qui ont libéré cette ordure
Il y a plus d une decade que je serine ce que dont vous parlez Antoine .A croire que nos politiques ne sont jamais sortis de leur jardin pour enfants attardes pour ne pas mettre en garde les pays recalcitrants au retour de leurs criminels !
non aux expulsions ! oui aux exécutions ! la peine de mort aux traites et aux assassins .
Violence pas d intégration et meurtre quest ce qu il faut encore pour comprendre que la racalle va detruire l eurooe dehors. .ou peine de mort.
Aux armes citoyens !!!!
SUS a la racaille !!!
SUS aux politiques !!!
Reveillons nous ou disparaissons
En parachute ? Non, SANS parachute.
Il faut le lacher en parachute au milieu de la mer pour qu’il tente de rentrer chez lui à la nage.
»Charles Opoku Kwasi, né au Ghana,vit en Italie sans autorisation de séjour depuis au moins quatre ans. »
»Il aurait dû être rapatrié, mais l’expulsion est restée lettre morte. »
M. Salvini devra s’occuper rapidement de la police, gendarmerie et de la justice !
Ce genre d’individu DEVAIT être EXPULSE dès les premières violences !
Si son pays d’origine refuse de la recevoir, il existe des moyens de pression telle que couper l’aide que nos riches pays prodiguent à l’Afrique depuis 60-70 ans …