Grève chez Tamedia

Honte à ces journaleux vendus ! Durant des décennies, ils ont désinformé, manipulé la population, diffusé de la propagande et des idées de gauche, et à présent, ils veulent que la population les entretienne pour pouvoir durer !

Le fait que le Matin ne soit pas rentable, c’est une logique financière : « Le journalisme n’a pas vocation à être rentable » ! (2:28)

Il faut déjà préciser que sans les subventions indirectes des contribuables, la majorité de la presse romande serait une relique du passé. Déjà actuellement, en effet, elle nous doit sa survie, car chaque service de l’Etat est abonné à un ou deux journaux (cafétérias, hôpitaux, voirie, services sociaux, justice...) et le nombre de ces services ne cesse de croître.

Et puisque les journaux n’auraient pas la vocation d’être rentables, ils pourraient alors se passer de l’argent des contribuables et travailler gratuitement, comme le font les rédacteurs de ce site. Par amour de la vérité, par désir d’informer… et travailler tard le soir, tout comme nous, lorsque notre temps nous permet de diffuser ce que nous croyons être vrai.

Vos larmes hystériques sont une offense à l’encontre des vendeuses qui ont perdu leur travail après la faillite de Yendi, d’OVIS, et de tous ceux qui ont été licenciés sans que vous ayez daigné faire le moindre reportage ! Vos réclamations pour des subventions à vos organes de propagande politiquement correcte sont indécentes, à l’image de l’idéologie que vous diffusez !

Vous pleurez pour votre support papier ? Même les prostituées se mettent à diffuser sur le web les annonces que vous chérissez tant ! Il faut vivre avec son temps !

A partir de là, votre concurrence déloyale cesserait vis-à-vis des sites de réinformation… sites que vous haïssez et dont vous ne dites pas un mot car vous savez pertinemment que tout esprit libre vous abandonnerait à leur profit s’il les connaissait. Les gens pourraient choisir, ne pas avoir la même soupe servie dans leur assiette, bon gré, mal gré, rapidement le règne de la « gauche » prendrait fin.

Pour rappel, trois quarts des journalistes sont « de gauche » et, en Suisse, il n’y a plus que deux partis, la Gauche et l’UDC.

Cenator, 5 juillet 2018

10 commentaires

  1. Posté par Bryan Lyon le

    Sachant que les propriétaires des grands groupes de presse, suisses et étrangers (Tamedia, Ringier pour la Suisse) sont les invités réguliers du groupe de Bilderberg, on ne va pas pleurer sur le sort de leurs petits soldats journalistes qui participent de la désinformation organisée à grande échelle, sans même sans rendre compte! A eux d’ouvrir les yeux…..

  2. Posté par toyet le

    Les journalistes n’ont que ce qu’ils méritent! ils ont mangé dans une main qui les tues retenons la leçon.

  3. Posté par Jacques le

    Ils ne se sont pas mobilisés pour sauver l’excellent Journal de Genève !

  4. Posté par mac'oest le

    Je les attends sur mes chantiers, quand ils seront en programme d’occupation…. Ils vont découvrir ce qu’est un rendement, ce que c’est que de ne plus pouvoir descendre un escalier juste après le saut du lit à 5h du matin. Ils iront chez le médecin, pour de forts anti-douleurs et attendront leur tour, verront défiler ceux qui ne paient pas d’assurance maladie et encore moins de franchise ni cote-part. Ils vont y retourner coûte que coûte, sur le chantier, car s’en sortir de justesse en travaillant à 100% deviendra impossible à l’assurance avec 80% de son salaire….. et ils ouvriront les yeux, à 18h, quand ils verront tous ces dealers, ou Érythréens bourrés assis sur des murets avec leurs pacs de bière. Auront-il un blog internet sur lequel ils continueront à défendre leurs si belles idées d’ouverture des frontières, de dilapidation d’argent public, d’accueil de tous ces « pauvres gens » dans notre pays si prospère? Dans les conditions décrites, nul doute qu’ils deviendront pragmatiques à vitesse grand V….. Mais bien entendu, tout ceci n’arrivera pas. Ces chérubins seront réaffectés dans le social ou d’autres gaucho-boboseries. Qu’ils crèvent!

  5. Posté par combattant le

    Souhaitons que la RTS suive le même chemin que cette presse GAUCHISTE.Le télétexte de la RTS est déplorable,aucune corrections des fautes d’ortographe,fausses INFORMATIONS dictées par nos socialaux,bolchèviques.NON A L’IMPÔT pour la TSR!

  6. Posté par Dominique Schwander le

    Les citoyens ont crée leur Etat-nation pour assurer leur sécurité pas pour subventionner des entreprises privées, surtout pas des journaux alors que les journalistes sont devenus pour la majorité des prostituées intellectuelles. Les journaux pas rentables tout comme les restaurants pas rentables doivent faire faillite et disparaître. Nous ne payons pas des impôts pour subventionner des journaux, des restaurants, des bordels…

  7. Posté par Bernard le

    L’idée de Constantin de racheter Le Matin et d’en faire un journal dédié au sport me plait.

  8. Posté par Christian Hofer le

    Vous devriez lire les âneries sur le 24H:

    « L’équation est finalement assez simple. Comment l’État peut-il ou doit-il soutenir ce secteur privé tout en lui laissant son rôle de contre-pouvoir et l’indépendance qui va avec? Il y a cinq ans déjà, le Parti socialiste suisse avait avancé l’idée d’aides directes soumises à une certification de «qualité» que des commissions étatiques attribueraient sur des critères «objectifs».

    L’autre piste est de considérer qu’une information locale fait partie de l’instruction civique et de l’intégration des nouveaux citoyens. Et qu’à ce titre on pourrait abonner à des journaux encore plus généreusement cafétérias, salles d’attente, administrations, hôpitaux, écoles, gymnases, universités, postes de police et autres prisons. »

    https://www.24heures.ch/signatures/editorial/presse-locale-nom-public-independance/story/12046117

    Et qui retrouve-t-on comme par hasard dans la combine en faveur de ces médias orientés à gauche? Le parti socialiste. La boucle est bouclée.

    Vous noterez dans ce bijou de manipulation qu’ils prétendent être « indépendants » et représenter « un contre-pouvoir » sans jamais démontrer l’une ou l’autre de ces affirmations, le but étant de se revêtir des habits du bien afin de vampiriser financièrement le contribuable, même s’il le refuse. Du fric à vie, sans jamais avoir de compte à rendre. La RTS a dû leur donner bien des envies…

    Ainsi, leur propagande pourrait s’étaler à longueur d’année tout en se gavant de ce peuple qu’ils méprisent tant.

  9. Posté par Hotch le

    Le pire est de voir le gouvernement vaudois prendre fait et cause pour cette publication qui ne répond plus à aucune demande, en affirmant -c’est nouveau- que le matin serait indispensable à la démocratie.
    Où étaient-ils lorsque des produits nettement plus utiles sont passés à la trappe : cassettes 8-pistes, boutons de guêtres, disquettes souples 3,5″, VHS, telex, etc. ?
    Plus sérieusement, j’ai parcouru aujourd’hui la version « light pour cause de grève » du matin… et je n’ai pas vu grande différence avec la version « normale ».
    Donc si leur « journal » peut sortir avec une large majorité de son personnel en grève c’est bien la preuve qu’il y a beaucoup trop d’inutiles à la rédaction, ce qui doit conforter Tamedia dans sa démarche de réduction des coûts.
    En plus, ça donnera à cette pseudo-élite journalistique une salutaire leçon de vie, eux qui prétendent former les opinions plutôt que de simplement informer leurs lecteurs.
    A ce stade, le plus jouissif serait que M. Blocher fasse une offre publique de reprise du titre, juste pour les voir s’agiter en tous sens.
    (Aurais-je des penchants sadiques ?)

  10. Posté par JeanDa le

    Ces journaleux qui se plaignent de la fermeture d’un journal ont eux-mêmes scié la branche sur laquelle ils étaient assis !
    A force de se battre pour faire passer leurs idées et concepts gauchistes, pour « éduquer » le citoyen, en lui faisant manger leur infâme potée empoisonnée à la sauce gauchiasse, ils finissent par dégoûter leurs lecteurs jusqu’au point de vomissement. Alors les gens auxquels il reste quelques neurones en état de marche, finissent par se lasser, fatigués de se faire dire ce qu’ils doivent penser, et se désabonnent ! Il ne faut pas chercher plus loin la cause de la diminution du nombre des lecteurs, qui entraîne celle des recettes publicitaires. Alors, comme dans toute entreprise dont les recettes diminuent et les dépenses ne font qu’augmenter : les dirigent (qui n’aiment pas plus que vous et moi perdre de l’argent) prennent la décision qui s’impose : la fermeture.
    L’alternative ? Elle est dans les mains des journalistes eux-même : écrire des articles politiquement équilibrés, sans prise de position ou alors en respectent la diversité des opinions (on leur demande d’informer / décrire, pas de former / déformer / manipuler). Ce faisant, nul doute que les lecteurs reviendraient progressivement (mais il faudra du temp et de la patience).
    Ce n’est pas en pleurant dans la rue que leurs lecteurs reviendront, au contraire.

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