Politique migratoire de la Hongrie : Szijjártó répond aux questions de la BBC

Péter Szijjártó, le ministre hongrois des affaires étrangères, répond brillamment aux questions hostiles voire souvent calomnieuses de la journaliste de la BBC sur la politique migratoire de la Hongrie.

Vidéo 7:38 minutes en anglais facile :
Hungarian foreign minister challenged on migration policy - BBC Newsnight

10 commentaires

  1. Posté par pierre frankenhauser le

    Pour une journaleuse travaillant pour un pays qui va quitter prochainemnt le Titanic UE et qui traite l’activiste patriote Tommy Robinson comme un criminel, elle est plutôt gonflée de vouloir donner des leçons de démocratie et d’humanisme à ce grand ministre des Affaires étrangères. J’aimerais bien savoir dans quel genre de quartier elle habite. Certainement un beau quartier avec des gosses qui fréquentent une école privée. C’est une activiste mondialiste déguisée en journaliste.

  2. Posté par bigjames le

    @oldswisstimer
    On est plusieurs, rassurez-vous.

  3. Posté par OldSwissTimer le

    @UnOurs : Je vous ai compris (je dois être à peu près le seul sur ce site !)

  4. Posté par UnOurs le

    L’attitude de cette journaliste est simple à comprendre, il suffit de se référer à ce que Simone Weil dit ici:

    « Le déracinement est de loin la plus dangereuse maladie des sociétés humaines, car il se multiplie lui-même. Des êtres vraiment déracinés n’ont guère que deux comportements possibles : ou ils tombent dans une inertie de l’âme presque équivalente à la mort, ou ils se jettent dans une activité tendant toujours à déraciner, souvent par les méthodes les plus violentes, ceux qui ne le sont pas encore ou qui ne le sont qu’en partie. Qui est déraciné déracine. Qui est enraciné ne déracine pas. »
    — Simone Weil, L’Enracinement

    On n’en dira pas plus, mais dans « L’Enracinement », Simone Weil est parfaitement explicite.

  5. Posté par Christian Hofer le

    Je ne comprends même pas comment la BBC ose la publier. C’est une charge, une agression. mais en aucun cas une interview.

    Il a beau répéter qu’il n’enfreint guère les lois et que son gouvernement représente démocratiquement le peuple, elle démontre un mépris totalement abject, indigne.

  6. Posté par UnOurs le

    Ici, le terme de « pressetituée » me semble parfaitement adapté.
    Quoique, regardez la rage dans les yeux de la journaliste, « quoi, on ose encore en Europe ne pas courber la tête devant l’idole mondialisme », il est fort probable qu’il n’y ait même pas besoin de la payer pour qu’elle fasse son « travail ».

  7. Posté par Anna le

    The english journalist is incredibly agressive, and the hungarian foreign minister keeps incredibly calm. I do admire him.
    Deep inside this english journalist might feel jealous that Hungary still looks like Hungary, whereas England has more and more pockets of Pakistan within the country.

  8. Posté par le râleur le

    Il se défend très bien le ministre face à la journaliste-pensée-unique-pour-les-illégaux

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