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Le DDC devrait se retirer de partout, l’argent (bien pas de 1 milliard) devrait être versé à l’AVS et les collaborateurs devraient se trouver un poste de travail dans l’industrie productrice.
Le défaut fondamental et essentiel de l’aide publique au développement est qu’elle détruit les incitations à évoluer, à se réformer, à se développer, à faire des efforts, à innover et à trouver le chemin d’une croissance durable. Preuve en est que tous les pays qui ont connu un développement important, que ce soit en Europe, en Amérique et en Asie, doivent leurs performances non pas à l’aide publique venue de extérieur mais à leur propre capacité à créer des richesses. Il y a trente ans, le Malawi, le Burundi, le Burkina Faso et Haïti disposaient d’un revenu par habitant supérieur à celui de la Chine. Mais c’est la Chine qui a obtenu une croissance soutenue et a diminué ses pauvres parce qu’elle a réussi à gagner en compétitivité et à attirer à elle des investissements étrangers mais pas de l’aide publique au développement. Avec une vision à long terme, la Chine est le pays aux résultats les plus spectaculaires; en une génération, l’extrême pauvreté y serait passée de 60% à 12%. Les Chinois ont pourtant leurs milliardaires. Il est judicieux d’examiner la situation et les stratégies de la Chine qui, contrairement à nombre de pays musulmans la Palestine en tête, n’a pas profité et vécu sur l’aide publique au développement de l’Occident.
Par exemple, au cours des cinquante dernières années, le montant total de l’aide au développement transféré des pays « riches » et endettés vers l’Afrique a représenté plus d’un trillion de dollars. La pauvreté n’en a pas reculé, bien au contraire. L’Afrique reste un continent riche, mais peuplé de pauvres et de quelques très riches, le plus souvent très corrompus. L’Afrique est le continent le plus assisté en termes d’aide humanitaire et de coopération au développement. Tout comme pour tout pays, que se soit Haïti ou ceux d’Afrique, le développement ne peut pas s’importer. L’Afrique et l’Amérique latine doivent davantage produire d’eux-même leur développement, comme l’ont fait des pays européens, la Suisse par exemple il y a plus d’un siècle, alors qu’ils étaient très pauvres. Moins d’argent donné par les autres, moins de corruption et une meilleure gouvernance, voilà ce dont ont besoin les pays africains, Cuba à qui la Suisse donne des millions, le Nicaragua…, qui du reste en auraient tous les moyens si leurs habitants le voulaient.
J’ai travaillé et vécu des années en Amérique centrale. Je sais!