«Il existe des motifs raisonnables de croire que des crimes contre l'humanité ont été commis au Venezuela depuis au moins le 12 février 2014», affirment «des experts indépendants» de l’Organisation des Etats américains (OEA) dans un communiqué publié ce 29 mai.
Pour justifier leurs accusations, ces derniers – désignés par le secrétaire général de l'OEA Luis Almagro, particulièrement critique envers le président Nicolas Maduro – se sont appuyés sur 26 récits de témoins qui se sont exprimés au cours d'audiences publiques tenues en septembre, octobre et novembre 2017 et «des dizaines de témoignages de victimes, de familles de victimes et autres parties».
Le rapport fait en outre état de la mort de 131 personnes lors des manifestations de 2014 et 2017 dont l’auteur serait «membre des forces de sécurité de l'Etat et/ou des colectivos [des groupes de civils armés par le gouvernement]» et de «8 292 exécutions extrajudiciaires enregistrées depuis 2015».
Enfin, le document assure que plus de 12 000 Vénézuéliens ont été détenus ou emprisonnés «de manière arbitraire» depuis la présidentielle de 2013.
En conséquence, le secrétaire général de l'organisation panaméricaine devrait convier les Etats signataires du Traité de Rome à «appeler à l'ouverture d'une enquête sur les crimes contre l'humanité présentés dans ce rapport».
Ce rapport est publié alors que les Etats-Unis et l’Union européenne veulent accroître les sanctions financière contre le Venezuela. Réunis à Bruxelles ce 28 mai, les ministres des Affaires étrangères des pays de l'Union européenne (UE) ont annoncé vouloir «sanctionner les nombreuses irrégularités constatées lors de l'élection présidentielle remportée par Nicolas Maduro».
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Mais oui , mais oui . . . la fiole de powell , les bébés dans les couveuses , les charniers de Timisoara , le gaz de Bachar . . . Alors on se calme !
Vouai ! Si ç’est du même tonneau que la fiole powellienne ou le gaz bacharien , on prend des pincettes . . . . .