Névache, le village français qui soutient et aide les migrants: «L’Etat doit comprendre qu’il est face à un devoir de solidarité.»

Contrefeu de notre presse romande pro-clandestins après le travail effectué par les identitaires. Les mêmes médias qui servaient la soupe à Tariq Ramadan, faut-il le rappeler, comme Le Temps, la Tribune de Genève  (également ici) ou encore la RTS.

Loin d'avoir honte, ils continuent leur propagande en faveur de l'immigration musulmane.

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Sur la nouvelle route clandestine et périlleuse de l’Italie vers la France, le concept de solidarité en montagne joue à plein pour venir en aide aux migrants.

Bernard, militaire à la retraite: «L'Etat doit comprendre qu'il est face à un devoir de solidarité.»

 

 

Marcello, l'épicier de Névache: «Petit, j'ai appris que, quand quelqu'un sonne à la porte, l'un ouvre, l'autre met une assiette à table.»

Depuis des mois, à contre-courant d’une Europe qui se barricade, les habitants de Névache, mais aussi des centaines de bénévoles à Briançon, se mobilisent pour venir en aide aux migrants qui traversent leurs montagnes, en toute saison. En quelques mois, le col de l’Échelle, à 1700 m, et la station de ski de Montgenèvre, à Clavière, sont devenus, au fur et à mesure que les frontières se blindent (à Vintimille et à la Roya), la nouvelle route clandestine qui relie l’Italie à la France. Selon les estimations des locaux, 6000 personnes seraient déjà passées par là.

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8 commentaires

  1. Posté par Vautrin le

    Nœud-vache. Tout est dans le nom ! La tête et le style. Nous sommes tout de même une poignée de gars décidés à cacougner dur contre toute cette fange gaucharde. L’heure est venue.

  2. Posté par Claire le

    Le jour où il y aura quelques viols, en particulier sur des enfants, peut-être ces naïfs décérébrés changeront-ils d’avis, mais il sera alors trop tard!
    Certes, pour avoir fait beaucoup d’alpinisme, je sais qu’il existe une forte solidarité dans les villages isolés en montagne et c’est normal de s’y entre-aider. Mais sont-ils inconscients du déferlement qui est en train de se produire, et de la part de gens qui n’ont pas l’éthique des montagnards??

  3. Posté par Antoine le

    Ceux qui font ou on fait régulièrement des courses en haute montagne, il y règne de la solidarité, c’est normal, c’est comme en mer lorsqu’un bateau est en détresse, tout le monde s’entraide.
    Seulement, il y a un  »hic » et de taille : Ce sont les migrants/immigrés eux-mêmes qui sabordent leurs bateaux pour qu’on vienne forcément à leur secours … il y juste un différence de taille, on n’est PAS obligé de recevoir et d’accueillir toute la misère du monde !!

  4. Posté par Alberto Da Giussano le

    [Bergamo – nord Italia -]

    Je suis italien.
    Mais aussi français par ma mère et sa famille de crétins ‘’collabos-gauchiasses’’ franc-comtois …
    Ceci pour vous dire que je ne connais que trop bien la France et le manque de personnalité quasi atavique de ses naturels.
    Ceci aussi pour vous dire que ce village de Névache et le conformisme bien-pensant d’une large partie de ses habitants ne m’étonne même plus.
    POUR CE QU’IL EN EST DE LA FRANCE : LES CAROTTES SONT CUITES !
    Et d’ailleurs j’ai même vu encore bien pire en Wallonie et encore pire que pire que ça en Suède …
    C’est dire !
    Aujourd’hui j’ai choisi de n’être plus qu’italien, comme mon grand-père.
    Italien du nord et bergamasque à 100% !
    Et d’ailleurs je me suis établi en la Valteline * de mon épouse, à deux pas de la val Seriana de mes ancêtres.
    Et aussi à deux pas de votre magnifique Canton des Grison.
    ET JE REVIS !
    À deux pas de votre beau et exemplaire Pays donc, amis suisses, comme l’était aussi la province de ma mère : la Franche-Comté.
    L’était puisque cette province n’existe plus aujourd’hui du fait des réformes territoriales accomplies par Hollande … dans l’indifférence général de ses veaux -disons à 99 %- d’habitants qui ont oublié jusqu’à leur identité.

    * En Valtellina les Suisses sont parfois moqués en étant appelé : ‘’ i zucchini’’ (les courgettes). Je sais ce n’est pas très gentil, mais au moins cela ne détruira jamais leur identité, voir plutôt contribuera à la maintenir.
    Pas comme les influence mortifère qui nous viennent de France et où l’on en voit leurs résultats en Val d’Aoste et dans les Cantons infestés de gauchistes de Genève, de Vaud et, last but not least, le Canton du Juras avec ses sinistres crétins gauchistes du Groupe Bélier par exemple… qui ne me rappellent que trop certains jurassiens parents de ma mère.

  5. Posté par leone le

    «L’Etat doit comprendre qu’il est face à un devoir de solidarité.»
    Et vous, pauvres idiots, vous êtes face à un devoir de bon sens, on ne peut pas accueillir toute la misère accompagnée de tous les profiteurs du monde.

  6. Posté par UnOurs le

    Ces gros hypocrites savent pertinemment que les « migrants » ne feront que passer dans leur village, qui restera très globalement préservé.

  7. Posté par JeanDa le

    «Petit, j’ai appris que, quand quelqu’un sonne à la porte, l’un ouvre, l’autre met une assiette à table.»
    Imbécile !
    Et quand ils sont une centaine, un millier, des dizaines de milliers à défoncer ta porte ?
    Je suis sûr que tu sors le fusil de Grand-Papa !

  8. Posté par Marcassin le

    Il faudrait les contraindre de prendre en charge ces migrants eux-même. Je parie qu’ils seraient moins solidaires.

Et vous, qu'en pensez vous ?

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