L'imam de Wil Bekim Alimi, canton de Saint-Gall, est suisse. Le conseil législatif de la ville s'est prononcé le 5 avril par 26 voix contre 10 (UDC et une voix libérale radicale) en faveur du chef macédonien de l’imposante mosquée albanophone locale. Celle-ci a été inaugurée récemment en présence du gratin politique suisse. A Wil, près de 10% des 24'000 habitants sont musulmans.
Le canton doit encore confirmer, mais c’est qu’une formalité. Une formalité, c’est ce que devait être tout le processus. L’imam jouit d’une image de moderniste, critique de l’extrémisme, engagé dans le dialogue interreligieux, soutenu par de nombreux politiciens et responsables d’autres religions. Ses discours correspondent parfaitement à ce qu’attendent les autorités.
Le Conseil de naturalisation de Wil était quasi enthousiaste en 2015 en proposant le passeport. Mais le parcours connait vite quelques accrocs. Le dernier en date est dû à une journaliste de la Basler Zeitung, Andrea Sommer, paru le 13avril, après la décision du conseil de Wil. Elle a interrogé des musulmans proches de la communauté –qui désirent rester anonymes par crainte de réactions et d’exclusion.
Alimi aurait deux visages, et sa face négative concerne une des obsessions des imams, le sexe des filles, ce diamant que les hommes musulmans aimeraient tant se garder précieusement. Andrea Sommer donne des exemples dont un seul, en d’autres lieux et d’autres temps, suffirait à refuser une naturalisation.
Une femme qui a suivi des leçons de Coran avec Alimi à 13 ans raconte qu’il incitait les filles à porter le foulard. «Il nous a appris qu'une femme de bonne moralité sait comment elle doit s'habiller, que nous commettons un péché si nous ne nous couvrons pas et qu’à cause de cela un homme succombe à nos charmes.» Dorothea Naeff, qui enseigne l'allemand aux migrants depuis des années, se souvient de la visite d’une journaliste dans sa classe d'allemand. Elle a demandé aux femmes en foulard si elles le portaient volontairement. Toutes ont acquiescé. «A la fin de l'heure, quand tout le monde était parti, une des femmes m'a confié en quoi consiste en réalité cette soi-disant volonté, explique Naeff. Elle a dit qu'Alimi a appris aux jeunes hommes que le port du foulard est une obligation. Ils en concluent que les femmes sans foulard ne sont pas croyantes, qu'elles ont quitté la voie de la vertu, et qu’ils ont donc le droit de les harceler impunément.»
À l'école coranique, l'imam aurait enjoint les jeunes musulmans à ne pas fréquenter des membres d'une autre religion. «Il a dit que nous brûlerions en enfer si nous nous mariions avec un incroyant», raconte une femme. Et pour que les étudiants puissent imaginer la menace, il a précisé que l'enfer commençait à 40 degrés Celsius.
Selon une autre musulmane, Alimi a déclaré aux jeunes filles que les femmes qui ne sont plus vierges sont des femmes de seconde classe avec lesquelles les hommes sont autorisés à agir à leur guise. Lors du mariage, une femme doit être «donnée» à l'homme aussi pure qu'elle est née. «On me parle de ma virginité depuis le jardin d’enfants, dit-elle. On m'a dit que je devais prendre soin d'elle, mais on ne m’a pas dit comment je pouvais la perdre.» Pendant de nombreuses années, elle a donc eu peur qu’un simple regard d'homme provoque cette catastrophe! «Dans notre société islamique, les devoirs moraux sont écrasants. Si on ne s'y tient pas, on fait honte à toute sa famille - ici et au pays d’origine.»
Experts en virginité
Les musulmans ouverts de Wil s’indignent… dans le silence. Ils racontent que pour être sûrs d'épouser une vierge, beaucoup d'hommes vont la choisir au pays des parents ou grands-parents. Et des musulmanes qui ont grandi en Suisse doivent prouver leur virginité au moyen d’expertises gynécologiques. «J’ai dû faire faire deux certificats avant mon mariage», se souvient une femme de 35 ans. «J'ai été autorisée à choisir une gynécologue, mais pour l'autre, c’est la famille de mon mari qui a cherché un médecin, pour éviter un certificat de complaisance.» Et après le premier rapport sexuel, son mari a dû confirmer à son père qu’elle avait saigné.
Autre épisode qui s’est déroulé il y a quelques années. Une jeune femme avec son petit ami suisse a préféré disparaître dans la nature lorsque sa relation a été révélée au grand jour et que sa famille a voulu la contraindre à épouser un Macédonien durant ses vacances. [...]
Article complet : Boulevard de l’islamisme
De toute évidence, cet imam est rigoriste, rétro et vieux-jeu, genre frère-musulman. Il devrait regagner sa Macédoine natale vite fait, parce que si on tolère ce genre d’énergumène comme imam, on va bientot devoir apprendre l’arabe à l’école.
Pourquoi on garde ces « gens » chez nous? La Suisse est devenue une vraie poubelle. Nos aïeux doivent se retourner dans leurs tombes.
Ce genre de naturalisation me dégoûte et ceux qui l’octroient sont à vomir.
Cela nous fera un Tarik Ramadan de plus!
D’ailleurs la photo en dit long…. monsieur assis sur le trône entouré de ses fils… et madame bâchée, derrière les mâles !
Bon, la bécasse a le sourire, donc elle est contente d’afficher son infériorité… !
Un jour l’addition des gens cassés par ces animaux incultes se paiera Micheline. Tu nous a livré en pâture à l’ennemi pour l’argent de soros, profites en bien de ton argent sale…
À quand une association des victimes de l’islam en Suisse ? Chaque racket de non musulman c’est la charia, chaque viol de non musulmane c’est la charia.
Réveillez vous les moutons, c’est bientôt l’Aïd….
Pourquoi les états de droits se font avoir?
Parce qu’il est tablé, sans réflexion aucune, que les migrants venant d’une culture différente, voire très différente de celle du pays d’accueil, ont la même structure de pensée que les locaux. Des locaux forgés à la culture qui a mis au point l’état de droit de leur état.
Le fait est que le sens de la nationalité (qui peut être obtenue par la naturalisation) n’a pas un sens identique pour tout le monde : pour la majorité de ceux qui la demandent, cela signifie juste d’obtenir la garantie absolue des droits et la protection du pays, tout en fonctionnant selon leurs propres critères, estimant que c’est aux pays d’accueil de s’y adapter.
Les communautés musulmanes sont non seulement définies par le respect des préceptes de leur livre (qui leur est interdit de remettre en question), ce qui les placent (les préceptes donc) au-dessus de lois décidées par un groupe humain, mais de plus ces communautés sont identifiées par une appartenance forte au pays d’origine (langue, us et coutumes, traditions).
Le slogan que brandissaient quelques jeunes musulmanes résidant en Valais : « l’islam fait partie de la Suisse », relève de la même aberration que d’afficher « La Chine (ou l’Iran ou tout autre système législatif) fait partie de la Suisse.
Depuis de nombreuses années je pensais que la différence entre islam et christianisme était de 400 ans. Là je vois que l’islam n’a pas évolué en 1’400 ans, j’étais trop optimiste de 1’000 ans.
Le conseil législatif de la ville qui s’est prononcé le 5 avril par 26 voix contre 10 était certainement au courant qu’il donnait la nationalité suisse à une personne proche des frères musulmans, donc ce point n’a pas gêné la majorité des conseillers…..
Que cet imam pratique la taqiya pour arriver à ses fins n’est pas surprenant, mais qu’est-ce qui motive ces conseillers ? Pas d’enfants et de petits-enfants… après moi le déluge ? Envie inconsciente de vivre sous la charia celle-ci simplifiant peut-être la vie …? Quoi d’autre ?
soutenu par de nombreux politiciens et responsables d’autres religions ….