La Basler Zeitung était l'un des journaux qui transmettaient de nombreuses informations sur ce qui se passait réellement en Suisse, évitant la censure. Nous avions fait de nombreuses traductions par le biais de ce média.
Il est à craindre que la vérité ne fasse désormais partie du passé et que ce journal devienne un outil de propagande de gauche comme Le Matin.
Visiblement dans ce cas, puisque ce n'est pas Blocher qui en prend possession, tout va pour le mieux selon nos journalistes de gauche.
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Tamedia rachète la Basler Zeitung à la société Zeitungshaus. En contrepartie, cette dernière rachète au groupe de médias zurichois sa participation au Tagblatt der Stadt Zürich ainsi que divers journaux gratuits, dont GHI et Lausanne Cités.
L’intégration de la Basler Zeitung au réseau de Tamedia garantira une rédaction régionale forte, assure le groupe alémanique. Le quotidien bâlois continuera à proposer à "ses lecteurs un journal produit à Bâle pour les Bâlois", précise le communiqué.
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Nos remerciements à Info
Voilà exactement le cancer qui ronge l’esprit national au profit de l’internationale crypto-communiste, socialo-islamo-bolchévo-fasciste. Les stratégies des gauches dans notre pays sont orchestrées et mises en œuvre avec de l’argent publique piqué dans nos poche. Nombres d’associations alibis servent à financer ces paravents de mensonges permanents par des partitcipations croisées, qui doivent largement dépasser en terme financier les capacités de Chr. Blocher. No-Billag a démontré que cette assertion est totalement fondée. Avec No-Billag on a compris que l’origine du complot permanent est un phénomène entièrement dû à la presse totalitaire noyautée par des « journalistes » à 90% de gauche, qui ne font que de la propagande électorale dans ce sens, au profit de l’Europe et de l’immigration. Ils peuvent faire illusion en soutenant très opportunément des gens soi-disant de droite. Mais ce sont souvent des alibis falot incapables de donner le change pour redresser la situation, tout justes bons à caqueter avec les gauches pour protéger leurs intérêts personnels financier. PDC et PLR sont dans le même bateau que les gauches. C’est-à-dire avec les mêmes dérives mafieuses corruptrices.
Il faut y voir un grave avertissement pour le pays. En Suisse romande la défection des électeurs de droite est un phénomène étroitement lié à ce manque flagrant de contre-poids à l’arbitraire médiatique. Les élections sur Genève démontrent qu’aucun parti national, c’est-à-dire autre que représentant les gauches et la criminalité qu’elles soutiennent, ne peut vivre sans un véritable journal de droite, pour contrecarrer cette propagande qui se sucre sur notre dos tout en sous-traitant une bonne partie des infos liées aux médiocres de l’AFP, véritable Pravda de l’Etat français et donc qui navigue aussi avec l’argent de l’Europe qu’on nous pique..
La diversité et la liberté de la presse en Suisse sont en DANGER !
Attention à l’enfumage de la gôche !!
Depuis 2 ans je lis les observateurs, Insideparadeplatz et la Basler Zeitung. Avec cela j’obtiens une bonne information. Ce qui n’est pas le cas avec la TSR, le Matin, la NZZ et le Blick. Je vais laisser tomber la BAZ et chercher mes infos sur Youtube. C’est très triste, le 95% de la presse Suisse est dans les mains de la gauche caviar.
Plus exactement, « Bilderberg (Pietro Supino) étend son emprise en rachetant la Basler Zeitung. »
En résumé, nous perdons le seul journal de droite existant en Suisse. Donc, la presse écrite est morte.
Non, ils se portent très bien.
Tamedia, je les croyais presque en faillite ?